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My sweet sweet little girl, baby love Ft. Josie Saltzman

Sujet: Re: My sweet sweet little girl, baby love Ft. Josie Saltzman   Lun 6 Avr - 0:22
Josie Saltzman
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Josie Saltzman
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Non My sweet sweet little girl, baby love



Caroline F. & Josie S.

Josie savait qu’on était souvent plus critique avec soit même que ne l’était les autres au final et elle ne réussissait pas à se voir comme sa mère la voyait, celle-ci avait un regard bien plus doux envers elle et si cela était rassurant parfois et apaisant pour la jeune femme toujours en plein doute. Parfois cela ne suffisait pas et n’éteignait pas tout les doutes envahissant la petite brune. « Je ne pense pas être dure maman je ne crois pas en tout cas … Je sais pas réellement » L’adolescence était sans doute le moment de ce genre de questionnement et de jugement envers soit même et dans la situation de la jeune femme il était facile de se comparer elle avait un double aussi différent que possible d’elle et cela la faisait se sentir bien en dessous parce qu’elle n’était pas aussi intégrée, pas aussi belle et extravertie et que la comparaison pouvait être difficile, elle ne savait pas si de son côté Lizzie était dans le même cas qu’elle et enviait certain très de caractère a sa sœur mais dans son cas à elle c’était le cas. « Je sais que Lizzie n’est pas a cent pour cent heureuse dans ses basket rien que vis-à-vis de ses crises mais quand je fais la comparaison elle a réussit a s’intégrer quand même elle est aimé de beaucoup de monde et moi on ne me remarque pas tellement, je sais que je serais jamais comme elle et je crois que je n’aimerais pas être le centre de l’attention mais j’aimerais avoir sa capacité a aller parler à des gens sans avoir peur, ou en ayant peur mais en réussissant à le contrôlé au moins un petit peu, peut-être que ça viendra » Parce qu’elle allait encore grandir et avoir le temps de se forger son caractère qui était en construction elle espérait que cela change un peu, pas tout elle s’aimait quand même sur certain point.

Et finalement quand sa mère lui parla de ne pas avoir de regret elle osa lui posé une question qui lui trottait dans la tête depuis longtemps, elle connaissait l’histoire de vie de sa mère et elle se demandait depuis un moment si la blonde ne regrettait pas de ne pas avoir fait la folie de tenter quelque chose avec Klaus, leur histoire avait été chaotique c’était le cas de le dire mais passionnelle et c’était le genre d’histoire à faire rêver, si on enlevait les tentatives de meurtre et les trahison. « La version actuelle n’est pas celle dont tu est tombée amoureuse, on ne sait pas ce qu’aurait été sa vie si tu avait écouté ton cœur, on ne sait pas ce qu’aurait été ta vie, je serais sans doute pas là mais quand tu y repense tu te dit que tu aurait du écouté ton cœur ? Si tu ne pense qu’à toi » La suite la fit sourire c’était bien sa mère ça de pensé aussi à ses amis mais au final elle voyait cette décision avec du recul des années passer et plein de nouveau paramètres à prendre en compte qui n’était pas dans la balance au moment du choix. « Tu sais maman des amis si ils aiment vraiment quelqu’un ils doivent prendre sur eux et vouloir le bonheur de leur ami sinon ils ne sont pas de bon ami. Je sais que Klaus n’a pas été un homme bon souvent, il a même pas été un bon père les trois quart de temps mais il ne mérite pas pour autant de ne pas connaître l’amour, je pense que tout le monde est capable de faire ce constat là personne n’est totalement bon, personne » Bien sur certain était plus mauvais que d’autre, comme le dit Klaus, ou encore tonton Kai mais quand même pour elle tout le monde méritait d’être aimé car cela pouvait aider à apaisé ce genre de cœur torturé et entouré de noirceur. « C’est différent de repensé à tout ça avec le recul que tu a maintenant parce qu’on est née et qu’il a changé moi j’ai pas encore ce recul la pour savoir si je fais bien ou non » Suite a son questionnement sa mère fut obligé de nuancer un peu la chose parfois il fallait écouté son cœur parfois sa raison mais comment savoir alors qu’elle situation se prêtait à quel choix ? L’amour cela semblait bien trop compliqué pour elle. « Mais comment on sait si on doit écouté son cœur ou sa raison ? Parce que si on prend le cas Pénélope j’ai écouté mon cœur en me mettant avec alors que ma raison savait qu’elle était une peste et qu’on était pas compatible mais sur le moment cela me semblait juste de lui laisser une chance et maintenant j’en souffre alors j’aurais du écouté ma raison qui me prévenait qu’on ne pourrait pas fonctionner ensemble ? » Découvrir tout ça était difficile et les premiers émoi amoureux ainsi que les premiers chagrin d’amour était fort pénible à vivre heureusement Josie avait une mère ouverte sur le sujet qui voulait bien discuté de ce sujet si sensible pour les parents en temps normal.

Et finalement la brunette agit en parfait enfant en se plaignant d’avoir faim et sa mère se fit un devoir de nourrir rapidement son enfant, c’était cool d’avoir une mère vampire car elle récupéra le ticket de leur commande et fila hypnotisé quelqu’un pour qu’il s’occupe d’elles en priorité et a peine assise et bien installé les burger, accompagnement et boissons arrivèrent sur la table pour le plus grand bonheur de Josie. « Y’a pas a dire une mère vampire c’est trop la classe, j’aurais aimé en être une » Elle y avait déjà pensé mais elle ne savait pas si c’était le cas de ses parents. « Bonne appétit maman, autre question bizarre pour continué dans la journée, tu a déjà pensé à nous transformer pour évité la fusion ? » Josie était presque sur que cela avait traversé l’esprit de sa mère qui avait temps chercher un moyen de leur évité ce fardeau de la fusion mais elle voulait entendre ce qui l’avait fait retirer cette option des choses envisageable. « Tu va croire que je suis bizarre mais ton histoire avec Klaus malgré toute ses zones d’ombres c’est pour moi l’amour tant toute sa splendeur et toute ses versions on aime parfois mal et je pense que vous, vous n’arriviez pas à vous aimez bien, ce qui rend le tout tragique a souhait et moi ça me fait un peu vibrer … C’est bête hein d’enviez ce genre d’histoire alors que vous avez tout les deux dû en souffrir au final » On ne contrôlait pas ce genre de chose et elle espérait que cela ne ferait pas trop de mal à sa maman de replonger dans les souvenirs de cette époque.


 





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Halloween
Sujet: Re: My sweet sweet little girl, baby love Ft. Josie Saltzman   Lun 6 Avr - 16:56
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"It's not a crime to love what you cannot explain"_ Klaus
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"Family first, always !"





My sweet sweet little girl, baby love
***

Tant de questions existencielles dans cette petite tête. Je souriais en écoutant ma fille. Attendrie, je me revoyais moi à l'adolescence ! C'était assez intrigant. Je caressais sa joue doucement en lui souriant. "Sweety, ce sont des questions que tous se pose à l'adolescence, crois moi, c'est normal de se chercher et de ne pas encore bien savoir qui l'on est. Et j'imagine qu'avec une jumelle c'est encore plus difficile. Tu y parviendra avec le temps ma chérie, je te le promet, tout comme ta soeur réussira à calmer ses ardeurs et ses crises. Tu sais j'étais comme Lizzie à l'adolescence, et je me suis très vite aperçu que la popularité n'était qu'une façade superficielle. Les relations humaines vont au delà de tout ça et avec le temps l'expérience, vous apprendre toutes les deux à doser... Un peu d'excentricité à la Lizzie et un peu de douceur à la Josie. Vous y parvenez déjà très bien mais il faut se laisser le temps. Vivre vos expériences, tomber, échouer, se relever, apprendre... C'est comme ça que l'on se forge. Même si ça fait mal parfois, c'est là que j'interviens ! Super-Maman pour panser vos petits coeurs et vous redonner toujours confiance et foi en vous !"

Ce moment avec Josie était réellement un pur bonheur. Je retrouvais enfin ma fille et j'étais agréablement surprise de la voir autant se livrer à moi. Je voyais sur le visage de l'adolescente qu'elle était aussi heureuse de ce petit moment privilégié. ça allait être de plus en plus important pour les filles d'avoir une certaine exclusivitée pour les aider à trouver leurs voies l'une sans l'autre. Installées, nous venions à parler de Klaus. je ne savais pas trop ce qui traversait l'esprit de ma fille dernièrement mais... alors qu'elle évoquait le fait que j'ai pu potentiellement être 'amoureuse' de l'hybride, je manquais de m'étouffer avec une frite en écarquillant les yeux. Wow le mot était un peu fort tout de même ! "Et bien je n'en sais rien Josie, je ne peux même pas te dire que j'étais "amoureuse" de Klaus. Nos sentiments ont toujours été compliqués, ambigus mais il a surtout été un ami et un mentor pour moi. Klaus compte beaucoup à mes yeux mais de là à imaginer une vie "amoureuse" avec lui... En vérité avec l'hybride tout n'est pas blanc ou noir... se référer à mon coeur ou ma raison ne m'aurais pas aidé et même aujourd'hui je ne peux pas savoir ce qui aurait été le mieux pour lui ou pour moi. On se serait peut être - certainement- entre-tué !" J'eus un rire mais franchement, vu le nombre de fois où nous avions intenté à la vie de l'autre... il y a fort à parié que nous aurions finit par réussir ! Je fronçais les sourcils au discours que tenais ma fille. Mon dieu... et après elle disait ne pas me ressembler ! Les propos de Josie faisait écho à un souvenir que j'avais avec Klaus. J'étais mourrante car il m'avait mordu -encore une fois- car je l'avais provoqué -encore une fois- et je me souvenais très bien lui avoir dit ces termes "No it's because you're hurt. Which means there is a part of you that is human. I know that you're in love with me, and anybody capable of love, is capable of being saved." Un instant intense où il pensait que je délirais à cause de venin mais... ça n'était pas le cas. J'étais consciente de chaque mots que je prononçais. Il avait fini par me sauver -encore une fois ! Ce souvenir me troubla tellement que j'en oubliais presque d'écouter et de répondre à ma fille. "Tu as raison Josie, Klaus mérite d'être aimé et je le lui ai toujours dis... il ne me croyait pas la plupart du temps. Je l'ai certainement aimé d'une certaine façon, et je tiens encore beaucoup à lui, pour ce qu'il est ou était et ce qu'il représente pour moi. Mais tu sais, je crois qu'il a trouvé sa place ici à la Nouvelle-Orléans et il y a une jeune femme qui a également retenu son attention... Je crois en lui et je suis sure qu'il finira par trouver la paix. Il le mérite plus que n'importe qui..."

Je regardais ma fille me confier des choses au sujet de cette Pénélope et je me pinçais les lèvres. "Et comment peux-tu être aussi sûre que Pénélope est juste une peste ? Tu sais en amour c'est terriblement compliqué et il faut souvent se jeter à l'eau sans bouée de sauvetage. Cette jeune femme t'as fais beaucoup de mal mais regarde... tu prends l'exemple de Klaus qui m'a au moins tué deux fois si ce n'est trois, il a fait des choses horribles autours de moi et pourtant... Il est aussi celui qui a le plus veillé sur moi et m'a peut être le plus aimé et vu telle que j'étais dans ce monde. Si tu as aimé cette jeune femme, c'est qu'elle en valait la peine par certain aspect... Rien n'est bon ou mauvais, tout dépends des situations, des points de vues, de la vie autours de nous. Des instants... Des fois c'est tout simplement pas le bon timing et ça n'est pas car ça n'a pas fonctionné à un instant T que ça ne peut pas marcher plus tard. Ou parfois ce n'est effectivement pas la bonne personne mais Sweet-heart, il faut que tu écoutes ton instinct, cette petite voix au fond de toi qui te dis vas-y fonce ou au contraire, qui te dis non, là c'est trop ! "

Installée avec notre commande, Josie se mit à faire une allusion étrange ! Aimée être une vampire ? Est-ce que ma fille avait pour projet de me tuer aujourd'hui ? J'avalais ma gorgée de coca de travers et la fixait en arquant un sourcil. J'eus un rire nerveux à sa question. "Bon dieu tu as décidé de tuer ta mère aujourd'hui ?" Je riais doucement et levais les yeux au ciel avant de soupirer. "Oui, je mentirai si je disais que je n'y avais pas songé mais... je n'ai aucune certitudes que cela puisse fonctionner. ça n'est pas car vous serez vampire que ça ne vous empêchera pas de vous entre-tuer, pouvoir ou non. Et puis, je ne vous infligerez jamais ça pour simplement échapper à une fusion. Devenir un vampire, ça n'est pas une chose aisée, ni une partie de plaisir. Je sais que toi et ta soeur avait ma vision du vampire mais... je n'ai pas toujours été ainsi, les premières années ont été dures et c'est une éternité qui nous demande énormément de sacrifice..." Même si j'avais fini par aimer ma condition et ne l'échangerait pour rien au monde -on se demande grâce à qui...- je n'oubliais jamais d'où je venais et je le chamin chaotique que cela avait été.

Je regardais ma fille qui au final, ne savais que très peu de chose sur toute cette période de ma vie. Et à nouveau, Klaus revint sur le tapis... Bon sang il allait finir par nous entendre et rappliquer. Je n'avais vraiment pas envie de devoir lui expliquer que ma fille penser à tort ou à raison que j'avais eut des sentiments pour lui dans le passé. ça n'était pas vraiment le moment ! Pourtant, les paroles de ma fille me touchèrent légèrement. J'eus un léger sourire en coin et les yeux brillants. "Aussi fleur bleue que ta mère toi... Tu me ressembles bien plus que tu ne sembles le croire Josie Saltzman !" J'eus un petit rire et je levais les yeux au ciel. "On s'est fait beaucoup de mal certainement oui mais en dépit de tout... on est encore là l'un pour l'autre même si il semble près à m'arracher la tête toutes les trentes secondes... On fait encore équipe !" Je dodelinais de la tête avant d'attraper mon hamburgue pour y mordre dedans avec appétit. "Mmmm... ché vraiment cro bon..."

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Sujet: Re: My sweet sweet little girl, baby love Ft. Josie Saltzman   Sam 18 Avr - 0:06
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La jeune femme se posait mille et une question c’était une période charnière qu’elle passait et elle avait du mal  a faire face à ce genre de questionnement qui lui retournait le cerveau et la mettait mal à l’aise avec elle-même et les paroles qui se voulait rassurante de sa mère l’aidait un peu parce qu’elle lui disait que cela allait passer. C’était une bonne chose de savoir que tout allait s’apaiser a un moment donné et trouvé un équilibre qui lui irait bien mieux la période du gros chamboulement était une horreur a vivre. «  C’est une période nulle, je veux qu’elle passe vite pour pouvoir retrouvé ma tranquillité d’esprit j’aime pas être dans cet état et tout remettre en question surtout que je ne sais même pas si quelque chose va changer au final après cette grosse remise en question si ça se trouve changer n’est pas une bonne chose, je le veux simplement parce que je remet tout en doute mais j’étais pas malheureuse non plus avant, qu’est ce que c’est chiant d’être adolescent, j’arrive pas a t’imaginé à ce moment là de ta vie mais ça devait être sport pour ta maman » Les filles n’en parlaient que peu pour ne pas faire souffrir la vampire qui avait eut du mal à accepté la mort de sa mère. «  Heureusement que super maman est là parce que la vie c’est pas super-super quand même » Bon surtout en ce moment où elle n’arrivait pas a trouvé son bonheur ou une source de joie et d’apaisement mais cela viendrait c’était la suite logique des événements, se chercher, se trouver et s’équilibré tranquillement mais surement il ne servait sans doute à rien de se presser.

Quand sa mère lui conseillait de suivre son cœur plutôt que sa raison pour faire une choix sentimentale Josie ne pouvait s’empêcher de douter un peu et de se demandé si sa mère avait dans son passé à elle toujours choisit son cœur plutôt que sa raison, elle l’avait fait en leur faisant quitter leur tranquillité à Denver pour Stefan mais l’avait-elle fait en laissant partir Klaus à la Nouvelle-Orléans là se trouvait tout le doute de la petite brune et visiblement elle avait eut raison de douté sa propre mère n’étant pas bien sûre de ne pas avoir plutôt suivit sa raison qui lui faisait choisir sa famille et ses amis plutôt qu’une relation instable et floue comme quoi réfléchir pouvait avoir du bon. «  Tu ne peux pas savoir, vous n’avez pas tenter et peut-être qu’il aurait été l’homme de ta vie, peut-être que tu a bien fait, peut-être que non mais c’est la preuve que parfois la raison l’emporte sur le cœur pour évité des choix dangereux, Klaus aurait pu t’éloigné de ta famille et de tes amis tu a fais le choix de ne pas le suivre, Lizzie doit être ma raison elle n’aimait pas Pénélope elle l’a fait fuir » Oui au final Lizzie devait être sa raison, pour l’empêcher de faire des choix dangereux quand elle-même ne se rendait pas compte du risque c’était sans doute ça, même si en réalité Lizzie était bien plus sentimentale que ne l’était Josie plus pragmatique et réfléchie. Elle était convaincue de ce qu’elle disait les méchants méritait d’être aimé et elle comprenait le point de vue des amis de sa mère qui n’aurait sans doute pas comprit qu’on puisse tomber amoureuse d’une personne qui nous a un jour voulu du mal, mais elle se mettait à la place de la personne ayant fait du mal aussi Klaus n’en était pas arrivé là par hasard, Kai non plus, leur vie les avaient poussé à se fermer à autrui et pour elle le simple fait d’être aimé pouvait aider à tempérer la noirceur de leur âme, elle voulait y croire quand elle-même était soumise à de forte envie et poussé envers la magie noire. «  Je suis content qu’il est peut-être trouvé quelqu’un, la paix du cœur entraîne celle de l’âme il ira mieux si il est aimé à sa juste valeur et pour son entière personne malgré son passé et ses actes, personne ne mérite de finir seul et au fond le manque d’amour est l’explication a la méchanceté de beaucoup de personne » C’était son point de vue de jeune femme et son analyse certain ne serait sans doute pas d’accord avec elle mais elle était réellement persuadé que sa théorie avait du bon.

«  Pénélope n’est pas pour moi maman, si elle l’avait été elle aurait fait un effort avec Lizzie, je lui ai dis mainte fois que leur guerre me faisait du mal, je l’ai dis à Lizzie aussi et aucune des deux n’a écouté, personne n’a pris en compte ce que je ressentais et Lizzie n’a réellement compris que quand il a été trop tard et que mon cœur était brisé. Si on fait du mal sciemment à une personne qu’importe combien on l’aime en retour, cela peut contrebalancer mais cela marque et Pénélope n’a jamais rien fait pour rattraper ça elle m’a fait encore plus de mal c’est moqué de moi devant tout le monde et ainsi de suite. J’ai tenté de lui pardonner plusieurs fois mais a chaque fois elle faisait de nouveau quelque chose et c’est devenue une peste à mes yeux » Fini la petite ami qu’elle aimait temps elle ne réussissait plus à la percevoir comme ça seulement comme une femme lui ayant fait beaucoup trop de peine pour qu’elle pardonne, comme sa mère n’avait sans doute pas réussit à pardonner Klaus à l’instant T comme elle le disait si bien, peut-être que dans quelques années elle pourrait tolérer à nouveau la jeune femme dans ses proches, peut-être même plus elle n’en savait rien, elle n’avait aucun pouvoir sur l’avenir et ne savait même pas qu’elle serait le siens si elle devait passer par la fusion.

«  Tu ne peux pas mourir maman l’oublie  pas » Enfin si techniquement elle pouvait mais pas de choc comme une humaine à la santé cardiaque fragile aurait pu le faire, et puis elle jouait carte sur table l’idée de devenir vampire lui avait réellement traversé l’esprit. «  Je ne parle pas de ça que par rapport à la fusion maman, elle me fou la frousse et je la redoute mais je ne vois pas que par elle, parce que sinon je serais obligée de pensée que je vais mourir hyper jeune parce que Lizzie est bien plus forte que moi avec sa magie totalement hors de contrôle, je veux juste pas mourir un jour et vous laissez » Parce qu’il était difficile de perdre un proche pour les vampires mais il était aussi difficile de s’imaginé la douleur qu’on infligerait à ceux-ci en mourant mais sa mère n’était sans doute pas prête à entendre le fond de la pensée de sa vie à se sujet là et le sujet Klaus revint sur le tapis une nouvelle fois comme pour boucler l’histoire et la conversation à ce sujet là. «  J’aime l’idée de te ressembler » Sa mère était pour elle son modèle elle ne le cachait pas cette femme devenue vampire voué à ne jamais avoir d’enfant les avaient accepté et les avaient aimé de tout son être sans jamais posé de question elle les élevaient comme si elles étaient de son sang et rien que pour ça elle avait la totale admiration de sa fille. «  Je dois dire que tu est parfois insupportable moi-même j’ai parfois envie de t’arracher la tête mais j’ai pas la force nécessaire pour le faire et pas l’envie de te voir réellement mourir aussi » Et elle éclata de rire taquiner ainsi sa mère n’était pas forcément permis et bien pris mais elle savait ne rien risqué et son rire augmenta encore quand sa mère croqua dans son burger et parla la bouche pleine. «  Maman ! On dirait une enfant » Elle en avait les larmes aux yeux et cela lui faisait un bien fou.


 
 





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Halloween
Sujet: Re: My sweet sweet little girl, baby love Ft. Josie Saltzman   Dim 26 Avr - 15:03
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***


Caroline souriait à sa fille qui était en pleine remise en question. L'adolescence n'était pas un moment facile et en y ajoutant le surnaturel ça l'était encore moins ! La vampire baissa un peu le regard alors qu'elles évoquaient sa propre adolescence et sa mère. Caroline ne c'était jamais vraiment faite à l'idée qu'elle ne la reverrait jamais. Comme lui avait dit Elena à la mort de son père déjà, le plus dire était d'imaginer les choses pour lesquelles ils ne seraient pas là. Son mariage, la naissance des filles. Parfois elle aimerait tellement qu'Elizabeth Forbes soit là pour lui dire comme faire avec les filles. Elle pouvait seulement s'imaginer ce qu'elle lui dirait ou non. "Le changement a du bon seulement s'il nous apaise ou nous rend meilleur Sweety. Il ne faut pas vouloir changer sa nature profonde pour ressembler à une idée que l'on se fait du socialement correct. Il faut que tu sois celle que tu désires être...Et être en accord avec ça. Même sans vouloir changer, nous changeons. C'est un phénomène constant et naturel." Même elle qui était figée dans ses 17 ans changeait, évoluait.

Caroline écoutait sa fille parler d'elle et Klaus. Elle ne répondait pas car... le passé devait rester dans le passé. Peut importe ce qui serait arrivé ou non, ça n'avait pas été le cas et ça l'avait amené à vivre d'autres choses. Elle était devenue mère et Caroline par ce simple fait s'estimait chanceuse et redevable éternellement envers la vie. "Peut être que Pénélope n'était pas la bonne personne chérie, tu as raison. Tu sais tu es encore jeune et je suis sure que tu trouveras l'amour un jour. Quelqu'un qui t'aimeras pour ce que tu es vraiment..." Oui, malgré tous ses déboirres amoureux. Caroline continuait de croire en l'amour. Pour les autres du moins. Car si elle faisait le bilan. Matt ne l'avait jamais aimé pour ce qu'elle était, lui demandant sans cesse de changer et il n'avait pas accepté qu'elle devienne un vampire, elle se souvenait encore du dégout dans son regard. Tyler n'avait jamais pu la faire passer avant sa rancoeur envers Klaus et l'avait abandonné un nombre incalculable de fois. Stefan quand à lui... l'avait abandonné plus d'une fois et n'avait jamais fait d'elle sa priorité non plus. Elle était éternellement le second choix des hommes. Excepté peut être pour l'un d'entre eux qu'elle ne citerait plus pas même dans ses pensées. C'est là toute l'ambiguité de leur relation à l'époque. Quoiqu'il en soit, elle restait persuadé que tout le monde méritait d'être aimé. Même Klaus effectivement comme le disait sa fille mais... elle ne connaissait pas assez Camille pour savoir si elle serait réellement la bonne pour lui. Leur première entrevue avait été relativement... épique ! Si Josie voyait la jeune femme elle ne manquerait pas de faire le rapprochement sur leur ressemblance physique d'ailleurs. Autant ne pas revenir sur ce sujet épineux.

Cependant, un sujet épineux semble toujours en cacher un autre. Voilà que Josie parlait de transformation... Caroline fixait sa fille qui faisait preuve d'une certaine sagesse et maturité pour son âge. La vampire eut un sourire attendrie et touché par ses propos. "Et c'est tout à fait adorable que tu y penses mais, il y a énormément de chose à prendre en compte dans la transformation et je ne pourrais pas te transformer en sachant les sacrifices que cela te demandera uniquement car tu ne veux pas nous laisser ton père et moi. Je n'ai pas envie de vous voir mourir Sweet-heart, jamais... une mère n'est pas supposé survivre après ses enfants... Mais vous êtes encore très jeunes, vous avez des choses à vivre avant d'envisager une pareille décision." Elle lui fit un sourire tout en continuant de manger et écarquilla les yeux en entendant sa fille. "M'arracher la tête, carrément ? Et bien... je vais devoir me méfier un peu plus de toi à présent !" Elle eut un léger rire en secouant la tête.

Après quelques secondes, Caroline s'essuya la bouche et prit un peu de sa boisson. Elle regardait sa fille manger et décida de lui parler DU sujet qu'elle évitait d'évoquer depuis le depart. "Chérie, il faut que je te dise quelque chose..." Caroline se pinça les lèvres avant de déclarer doucement. "Voilà tu sais que Klaus est revenu de l'autre coté et... il n'est pas le seul. Stefan est en ville aussi. Il est humain et ne se rappelle presque de rien de sa vie d'avant mais... il faut que tu le saches car tu risques de le croiser et je ne veux pas que tu sois... choquée de ce retour." Elle-même ne s'en était pas encore remise et elle peinait à faire face à toutes ses émotions contradictoire même si celle qui prédominaite était la colère. D'ailleurs, depuis sa résurrection, elle avait retirer l'alliance qu'elle portait pourtant depuis sa mort. C'est comme si le fait qu'il soit en vie lui donner le droit d'enfin lui en vouloir pour le choix qu'il avait fait.

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Sujet: Re: My sweet sweet little girl, baby love Ft. Josie Saltzman   
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