Yes I know I'm a wolf and I've been known to bite
But the rest of my pack, I have left them behind
Hurricane GirlRock you like a hurricane
Alors là, je ne pouvais m’empêcher de rire à la remarque sur son âge, depuis quand le piano était un instrument de vieux ? Non la particularité du piano était d’être adapté à tout âge et de pouvoir offrir une gamme variée de styles musicales un peu comme les humains. Et ce n’était absolument parce qu’il était vieux, et puis en vrai pas si vieux, y’avait bien plus vieux que ça. Demandez à mon patron ! Après l’avantage d’être vampire c’est que l’on ne prend pas une ride, m’enfin, on avait quand même de bons arguments chez les lupins !
Me resservant un verre, je tourne la tête vers lui lorsqu’il évoque le fait de parler à une femme et que ce soir était une petite folie. Et bien si pour lui, ceci était une folie, il ne valait mieux pas qu’il traîne au Lux ou quand j’étais sous ma forme lupine, ça c’était une folie. Ce que j’avais fait durant deux ans étaient folies, ça ! Et bien le pauvre, il allait mourir à trop être axé boulot. Regardant la bouteille, je lui resservais un verre avec un petit sourire désolé, bien qu’intérieurement, j’étais morte. Ce n’était pas vivre restait sur le boulot, et maintenant que je vivais pleinement au lieu de survivre, je comptais bien lui donner l’occasion de vivre aussi le temps d’une soirée.
- Alors je pense que tu mérites un verre pour fêter cette folie. Apprend à vivre un peu, si tu te laisses bouffer par ton travail, là, tu ressembleras à un vieux. S’il y a bien une chose que j’ai appris c’est que trop pensé au boulot n’est pas bon pour la santé.
Je pris mon verre et avec un sourire, trinquer avec le sien avant de l’avaler cul sec tel un shooter. Ça brûlait mais ça faisait du bien. Une bonne brûlure.
Je confiais timidement à Abi, que cela faisait longtemps que je n'avais pas aborder enfin plutôt parler à une fille dans un Bar, est je sais que des demain, je vais me prendre des réflexions, mais bon j'avais la bonne solutions, si ils sont trop lourd je peux toujours l'ai envoyé en mission ou encore leurs demandaient de remplir des dossiers long de plusieurs dizaine de pages, au moins jusque à la moité de l'année prochaine. Mais bon par chances, ils savent tous que je suis un gentil chef, la seul que je demandes à mes agents, c'est d'être gentil, courtois et surtout professionnelle après le reste, je suis assez souple. Je jetais un rapide coup d'oeil vers ses derniers, je pouvais voir qu'ils étaient détendus, est qu'ils s'amusaient, est je dois dire que j'étais content car ses derniers semaine ont était éprouvante pour nous tous. Puis la jeune femme me taquina en me disant de profite un peu est savoir lâcher prise du boulot, car sinon je risque de devenir vraiment vieux sans m'en rendre compte, puis surtout que j'aurais des soucis de santé, bon sur ce point elle à raison, car de temps en temps je suis tellement stressé que j'ai l'impression que mon coeur va sortir de son emplacement, mais bon après heureusement que tout reviens rapidement en ordre mais c'est vrais que cela me fait des frayeurs de temps à autre. Puis pour sceller ses paroles nous trinquons nos verres, avant de boire tout les deux nos verres d'une trait, est je dois dire que la brûlure ce faisait ressentir j'avais tellement perdus l'habitude de boire, que j'avais peur de finir bourré ou encore de tomber de ma chaise est devenir la risé de tout le monde.
- Sur ce point tu as raison ma cher Abi, il faut savoir parfois lâcher prise du boulot est surtout ce concentré sur soit même, sans quoi j'aurais des cheveux blanc et un dentier avant l'âge tu ne penses pas ? Puis bon nous avons qu'une vie, faudra que je penses à me concentré plus sur moi peut-être est construire quelque chose, car sinon je serais bientôt vieux et périmé est bon pour finir sur le marcher des occasions, donc je devrais me réveille est agir au plus vite, avant qu'il ne soit vraiment trop tard.
Un rire s'échappa, je pouvais m'imaginer dans une brocante à un prix bradé.
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A qui le disait-il. Ce n’étaient même plus des cheveux blancs qu’il aurait, ce serait une fourrure d’ours blanc ! et un dentier, autant lui donner de la soupe de suite à ce niveau-là ; ce serait sans doute plus aisé de manger. Sa phrase suivant en revanche, nous n’avions effectivement qu’une vie, mais pour certains, elle serait plus longue que pour d’autre… évidemment je pensais à Caroline, obligée de vivre alors que ses filles vieilliraient et mourraient… Je n’avais vraiment pas envie d’être sa place. Un autre verre n’était pas de refus après ces pensées tristes. Enfin ça c’était jusqu’à ce qu’il sorte sa phrase sur le marché des occasions.
Sérieusement, vu le monde dans lequel nous vivions, la vente d’être humain n’était qu’une triste réalité. Mais il n’avait clairement pas le prof adapté à un marchandage. Par contre, je ne pouvais clairement que le suivre dans son rire. Mais une fois calmé, j’en profitais pour jeter un coup d’œil aux autres clients du bar, reconnaissant sans difficulté ses hommes mais remarquant aussi une certaine personne. « Et bien écoutes, si tu veux construire quelque chose, il y a une charmante demoiselle qui te dévore des yeux depuis tout à l’heure » dis-je avec un petit rire en lui désignant du coin de l’œil la dîtes dame. Et le temps qu’il regarde, j’en profitais pour lui resservir un verre avant de resservir le mien. Peut-être devrais-je commencer à ralentir dessus mais eh ?!? J’étais une habituée des alcools forts ET une louve, il risquait fort de finir bourré avant moi
Alors que nous rions avec la Jeune Abi, je lui faisait comprendre que si je continuais sur cet pente, je risque de finir vieux et périmé, est risque surement de finir sur le marche des occasions et antiquité, j'imagine bien le scénario où un agent du FBI qui à servis sa Patrie et son peuple sans faillir, mais pour réussir cette mission il fallait qu'il mette de côte son bonheur personnelle ainsi que son épanouissement, chose qu'il accepta, c'est donc ainsi que finis tristement la vie du petit agent du FBI, il mourut ainsi seul, sans que personne ne penses à lui, est ne le pleure, voilà une fin d'un livre tragique qui me donna des frissons, est je dois dire qui me faisait peur par la même occasion car je ne voulais pas finir seul, mais alors que nous rions tous les deux, après nous être calmé, Abi me lança un regard en me disant de me tourner en regardant derrière moi d'après elle une jeune femme n'arrêter pas de me manger du regard, alors je me tournais délicatement pour voir la jeune femme en question, c'était un blonde, qui doit avoir dans la trentaine, elle me regarder avec un petit sourire, je lui rendis par politesse, mais je dois dire qu'elle n'était pas de mon style, il y avait quelque chose en elle, enfin sur son visage plutôt qui m'attirait pas, je dois avouer, même si elle était jolie et bien propre sur elle, alors que je me tournais de nouveau vers Abi, mon verre fut remplis de nouveau comme par magie, un large sourire s'afficha sur mes lèvres, je buvais un verre supplémentaire, puis je dois dire qu'une certaine chaleur m'envahis, me forçant à enlever mon haut, je sentais les effets de l'alcool légèrement.
- Je suis désole Abi mais la blonde derrière n'est pas de son genre, bon Ok elle est pas moche loin de là nous sommes d'accord hein, mais il y a quelque chose en elle qui ne me correspond pas, enfin je la sens pas, mais je dois dire que tu ferais une bonne entremetteuse hein ? Si nous ouvrons une agence matrimoniale ? Sinon j'ai une question Miss tu comptes me faire boire à outrance, car je dois dire que j'ai perdus l’habitude si je continue sur cet voix, tu es sur de me ramasser au sol, cela je peux te l'assurer.
Un petit sourire nié ce fit entendre, mon Dieu qu'il fait chaud ici.
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A peine rempli et déjà bu, le pauvre verre se retrouvait de nouveau seul alors que le propriétaire enlever son haut après avoir regarder la fameuse blonde. Aussi jolie qu’elle pût être, elle n’était visiblement pas son goût. Et il m’en donna rapidement la confirmation. Si cela ne lui correspondait pas, je n’allais pas l’y forcer. Après tout je le connaissais depuis quoi ? Une heure ? Une heure et demi ? Pour autant, je ne comptais pas me faire entremetteuse ou ouvrir une agence matrimoniale, cette simple idée failli me faire recracher ma gorgée d’alcool. Ce qui aurait été un gâchis complet ! En revanche, je devrais peut-être garder la bouteille pour moi s’il n’avait pas l’habitude. Non pas que je n’étais pas capable de le ramasser hein ? Mais c’est surtout que je ne comptais pas ramener un inconnu ivre chez Eleanor -même s’il la connaissait rapidement- et je ne pouvais non plus laisser un agent du FBI ivre dans un bar, surtout que je doutais que ces hommes soient dans un meilleur état si on n’en arrivait là. - Alors si ça fait longtemps monsieur l’agent, je garde la bouteille. Vois le point positif, il parait qu’avec de l’alcool dans le sang on est plus courageux. S’il faut ce sera ta chance d’échapper au marché des occasions dont tu parlais
La vérité c’est surtout que j’avais oublié que tout le monde n’avait pas la même résistance à l’alcool, il faut dire qu’au Lux, j’avais plus l’habitude de voir des fêtards tenant l’alcool jusqu’à ce que je mette la dernière grosse dose de cheval qui les pousserait à en vouloir plus et à l’école et bien…disons juste qu’on ne peut pas dire que Jo et moi buvions à l’école. Une simple raison : Caroline. Je ne donnais pas cher de ma peau si nous ramenions de l’alcool ou buvions d’alcool (étant donné que techniquement, aucune de nous n’avait l’âge, la majorité ne me tendrait les bras que dans un an).
Une soirée qui resteras mémorable, au début je pensais vraiment m'amuser avec mes collègues en buvant un verre, mais la soirée dérapa rapidement enfin dérapa est un bien grand mot, je veux juste dire que je profitais de la soirée, en parlant avec une fille que j'avais juste rencontrer, cela pouvait paraitre banale pour les autres, mais pour moi cela représenter beaucoup plus, enfin moi qui suis habitué à travailler telle un bagnard du matin ou soir, pour rendre la vie des habitant de cette ville ou même encore de ce pays bien mieux, est bien cela ce faisait bien entendus au détriment de ma vie personnelle, je me suis fais la remarque plus d'une fois croyez le ou pas, mais bon quelque chose de plus fort en moi fait que, non à chaque fois je revenais sur ma décision initiale. Alors que j'étais là à discuté avec la jeune Abi, cette dernière me fit signe comme quoi, une femme me regarder, alors que je m'étais tourner discrètement, je pouvais voir que la fille en question était belle, mais quelque chose me disait qu'elle était trop superficielle est que cela risque de ne pas coller entre nous, même pour l'histoire d'un soir.
Puis vient une remarque assez drôle, je voyais que mon verre, ce remplissait au fur et à mesure comme si par une magie des que le verre était vide, il allait ce remplir seul comme un grand, alors je regardais Abi avec un petit air, un poil éméché en lui faisant la remarque, puis lui avouer que cela faisait une petite éternité que je n'avais pas bu est que je risque de finir sous une table si cela continue, j'en suis même certain, car malgré tout j'avais perdus mes bonnes habitudes d'étudiant, puis la jeune pris la bouteille en m'indiquant qu'elle préfere la garder avec elle pour justement évité tout incident, puis la suite me fit sourire d'avantage, elle me précisa que l'alcool rendait plus courageux, est que c'était peut-être cet occasion de me sortir du marcher des coassions, bon je dois dire que je me sentais pas forcément couard, mais bon elle avait raison sur certain point car comme disait un proverbe Latin : Dans le vin est la vérité.
- Oh c'est gentille de penser à moi Abi, mais je penses que j'arriverais à tenir le coup, boire c'est comme faire du vélo cela ne s'oublie pas, il faut juste un peu d'exercice, pour reprendre les bonnes habitues, en ce qui concerne le courage, je penses que j'en ai une bonne dose, mais bon parfois il faut savoir provoque sa chance, pour qu'elle ne passe pas, car parfois le train ne passe qu'une fois est plus jamais il ne s'arrêter.
Je regarder Abi avec un sourire, avant de prendre un autre verre, tout en lui lâchant un petit sourire du coin des lèvres.
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Il est aisé de tout oublier lorsque l’on est en bonne compagnie. Même le temps, à vrai dire si la serveuse de tout à l’heure n’avait pas pris sa pause. J’aurais sans doute manqué l’heure, sans doute. Et si je n’étais plus tout à fait sobre, j’étais très loin d’être en état d’ivresse. Je m’étais promis de ne pas rentrer tard, une raison bête, je n’avais pas laissé de mots, et bien malgré moi je ne voulais pas que ma coloc s’inquiète au cas où elle rentrerait plus tôt. Et la voix à demi-ivre de monsieur l’agent du FBI me donna raison, il était temps de rentrer et pour lui, d’arrêter de boire. Au moins pour ce soir même s’il disait le contraire. Si boire était comme faire du vélo, alors certains étaient nés avec une faculté hors norme mais certainement pas lui. Pas comme ça en tout cas. Me levant devant son regard confus, j’enfilais ma veste en cuir avant de déposer les sous sur le comptoir pour le barman et regardait à nouveau Aaron.
- Alors si le train passe devant toi, montes. Et fait moi plaisir, si tu reviens, invites la jeune dame à boire un verre. Elle pourrait bien être plus agréable de compagnie que ce que tu n’imagines.
Faisant un signe de tête au barman, je souriais une dernière fois à l’agent du FBI en lui lançant un A bientôt avant de sortir du bar pour rentrer à la maison. Peut-être nous reverrions-nous ? Après tout il avait désormais mon nom, mon métier et mon visage inscrit dans sa mémoire, tout comme j’avais le sien. Et j’espérais que notre prochaine rencontre serait tout aussi amicale que celle-ci. Je ne me doutais pas alors que je serais bien loin de la vérité.
