hurricane girl feat Abigail

Voilà qu'une journée de plus s'enchaîner au travail, entre les réunions entre mes directeur de service, les directives, les remontages de bretelle, est mes rapports hebdomadaire, en soit c'était ébullition totale au travail, mais bon je commençais à être habitué car pendant les périodes électorale, mes grands chefs me demande plus de résultat, pour bien ce faire voir par les candidats des élections présidentielle, est ainsi accédé à des hauts postes dans l'administration, je dois dire que je ne comprenais pas tout à fait ce système  mais bon, il faut bien de tout pour faire un monde,  est surtout des grandes pompes pour nous dirigé. C'est donc ainsi qu'une journée de plus s'écroulé, mais je voyais que mes équipes étaient sur le quai vif, est qu'ils étaient surtout sur le bord de l'explosion ils avaient besoin de sortir et ce détendre, c'est donc pour cela que je décidais de prendre les avants, je convoquais tout le monde, en salle de réunion, sans donner d'information réellement précise, juste que c'était une réunion importante et obligatoire, est que tout le personnelle présent, devra s'y rendre sous peine de sanction, de la part de leur vilain chef. Alors que je m'étais déjà installé sur le pupitre, je pouvais voir que les agents afflué peu à peu, avant de s'installer.

 - Bonjour à tous, tout d'abord je tenais à vous remercier d'être venus à cette petite réunion d'information, alors voilà je souhaitais vous remerciez personnellement pour tout le travail que vous faite, sans forcément que nos supérieurs nous remercie ou le notifie, c'est donc pour cela que j'ai décidé que ce soir, nous allions tous sortir, boire un verre entre nous et manger un bout, est le mieux dans tout cela, c'est que sa seras au frais de notre super agence Fédérale.

Avec un petit rire, je regardais mes agents, qui applaudissez et sifflez dans la salle, après ce petit moment de repis, chacun reprit son poste de travail, est l'après-midi s'écroula rapidement, voilà une soirée qui allait s'annoncer grandiose, maintenant que le taff était fini nous pouvions enfin souffler un coup et rire entre nous, avec mes hommes, nous décidions d'aller dans un petit bar tranquille, pour boire quelque verre avant d'aller manger, après s'être garer, nous nous dirigions donc, vers ce fameux bar, où j'avais eu le plaisir de rencontrer Mme Forbes la Directrice d'une école privé, où je me suis rendus pour une affaire. Le bar était plutôt vide, il y avait en tout trois hommes et deux jeunes femmes, alors que je me dirigeais vers des tables pour nous installé, mon regard ce porta rapidement vers une jeune femme au bar, qui semblait repousser un jeune homme fortement alcoolisé qui nous voulait pas forcément comprendre, que la demoiselle ne souhaitait pas forcément de ses avances.Je m'approchais de l'individus avant de lui dire :

 - Bonsoir Monsieur, je suis l'agent du FBI Smith, vous semblez avoir un soucis avec la demoiselle ? Si elle vous dit non c'est non, alors ne faite pas de vague ou je vous fais arrêter compris ?.

Alors que je me tournais, pour m’asseoir, la jeune femme semblait s'être défendus, est un poing parti avant qu'il n'eu le temps de dire ouf, je me tournais, avant de crié sur deux de mes agents d'embarquer l'individus et d’appeler la police local, pour le dégager d'ici.

 - Bonjour, méchante fille. Savais-tu qu’il existe un endroit en enfer réservé aux brutes… Amuse-toi bien, avant de te faire arrêter par un agent de police, mais bon tréve de plaisanterie j'ai vue ce qui c'est passé, vous n'aurez peut-être pas du agir de la sorte, mais vous êtes en légitime défenses. Au fait, je me nomme Aaron Smith Directeur du FBI, ravi de vous rencontrer.

Je regarder la jeune femme avec un petit sourire, sur mon visage.

Alors que nous avons décidé de sortir avec mes hommes, après une dur journée de travail, nos envies ce porter sur un petit bar tranquille, que j'avais connus un peu plus tôt, je dois dire que j'aimais assez bien l'ambiance générale de l'endroit, le Barman est super cool, est les clients ne sont pas trop anti-systéme enfin d'après les premiers analyse que j'ai pu y faire, c'est donc pour cet raison, que j'ai décidé d'y emmener mes hommes, car j'étais à peu près sur que personne viendrais nous faire chier, durant la soirée, est surtout que nous n'allions pas devoir intervenir, pour une rixe ou autre. Alors que j'étais enfin arrivé devant le lieu tant convoité, je dois dire que mes paroles, m'avais rattraper assez rapidement, à peine avais-je eu le temps de m'installé avec mes hommes, que je remarquais qu'une jeune fille, ce faisait importuné par un ivrogne qui lui faisait des avances, même si ce dernier ne semblait pas comprendre que la femme ne voulait rien avec lui, en ma qualité d'agent, je m'approchais donc du fouteur de trouble de la soirée, pour lui lancer un avertissement, j'avais peu de conviction, car en vue de son état d’alcoolisme il n'allait rien comprendre, mais bon qui ne tente rien n'as rien comme on dit. Alors que je me dirigés vers ma place, mes prédictions n'avais pas échoué.

La jeune mise en cause, donna un coup à l'individus que ce dernier tomba raide, telle une branche que nous venions de couper, au vu du sang qui découle de son nez, il devait avoir le nez cassé dans le meilleur des cas. Je dois dire que j'étais étonné de la force de la part d'une aussi jeune femme, mais avant que les choses ne dérape je demandais à deux agents de le sortir et d’appeler la police, alors que je regardais la jeune femme, dans le blanc des yeux, je la taquiné en lui disant que si elle continue de la sorte, elle risquait de finir dans un endroit bien spécifique de l'enfer, alors que je la regardais avec un petit sourire, je dois dire que je m'attendais à pas mal de chose, sauf à ce type de présentation, et de réponse, elle était donc une barmaid dans le club, du Lux, intéressant j'ai déjà entendus parler de ce lieux, je dois dire que je n'ai jamais eu l’occasion d'y aller, mais d'après ce que j'ai pu comprendre le patron des lieux, était un personnage haut en couleur qui réserve plus d'un tour dans son sac, si ma mémoire est bonne il ce nommerait Mikhail, mais bon passons.

- Si eux ne sont pas prêt à vous recevoir, je ne peux vous le dire, mais par contre, si vous continuez dans cette lignée, je peux vous assurez qu'une prison locale, aura tout le luxe de vous recevoir. Mais bon, je ne suis sur que Mikhail apprécie ce genre de débordement de la part de ses employées, vous ne pensez pas Miss O'Connor.

Je continuais de scruté la jeune femme qui m'intriguer un peu quand même.

J'étais donc face à une fille qui avait de la poigne, est surtout qui n'avais pas l'air de ce laisser marcher sur ses pieds, j'aime bien, mais bon cela pourra lui porter un jour préjudice, car je dois dire que je suis quand meme un agent du FBI plutôt sympas et très détendus mais ce n'est pas le cas de tout mes collègues, certain aurait prit sa sûreté pour de l'insolence, est au lieu d'envoyé l'autre homme en cabane, c'est elle qui aurait eu les menottes est la police serait venus la récupéré, puis l'aurait mit en cellule pour un outrage d'un agent avec une forte amande, est une mise à l'épreuve, mais par chance je ne suis pas l'un de ses agents, car je sais mettre ma fierté de côte, même si parfois cela me démange avec certain individus un poil trop imbus de leur personne à mon goût. Mais bon alors que je venais de faire un petit sermon à la jeune fille, cette dernière toujours avec son petit sourire, m'indiqua qu'en travaillant dans un bar, elle devait être assez forte, est pas forcément pour l'idée que je dois me faire. C'est vrais que je viens de la voir en action, est elle ce débrouille plus que bien, mais je suis sûr et certain q'un jour ou l'autre cela risque de lui porter préjudice.

Mais bon, je ne peux pas tellement lui en vouloir, car nous sommes arrivé à une époque plus que malheureuse, où chaque femme, doit montrer les poings et frapper quand besoin, pour ce faire respecter par les autres hommes, tout le monde parle d'égalité, mais si nous nous voilons pas les faces, nous en sommes encore très très loin de la réalité que nous voulons nous faire entendre et croire. Mais lors de nos échanges, je pouvais noté une chose, elle semblait tenir en estime son patron, je ne sais pour quel raison encore, mais la jeune femme semble l'apprécier. Pour continuer dans ce petit tripe, je mettais ma main, à la ceinture avant de prendre et sortir des menottes.

- Si vous continué dans vos bêtises Miss, je risque de devoir vous passez les menottes aux mains, est je ne pense pas que vous appréciez, sauf si c'est ce que vous désirez au fond, vous faire arrêter par un agent fédérale est passer la nuit dans nos bureaux ? Vous ne voulez quand même pas cella Miss, sinon dit le moi clairement ?.

Je ne pouvais pas m'empêcher de rire, est d'imaginer la situation, ou je demandais à mes hommes de lui mettre les menottes, est l'embarquer dans notre voiture.

Voilà qu'en face de moi ce tenait une véritable tête de mule, cet dernière ne voulait rien lâcher, est je voyais dans son regard, un petit défis qu'elle me lançait un peu comme si elle aimait défier toute forme d'autorité, je dois dire que c'était un genre de caractère que j'aimais bien, mais là je dois dire que cela faisait un peu trop à mon goût, mais bon que voulez-vous c'est comme cela est pas autrement, dans un petit moment de relâchement, je saisis ma paire de menotte en lui brondisant devant, comme si j'allais l'arrête, je la regardais d'un air sérieux pour évité tout de même de casser le tripe du vilain policier, est je dois dire que je n'étais pas du tout étonné, de la réaction de la jeune femme, cette dernière ce tourna avant de mon montrer ses bras comme si elle attendait une chose que je l'arrête, je dois dire que j'étais surpris, est je n'avais pas réagis dans l'instant, c'est ainsi que la jeune femme ce tourna, pour commander un verre, pour elle et moi, avant de ce tourner, est me dire que finalement c'était mieux ainsi car la cellule ne devait pas être top, bon je dois lui donner raison sur ce point les cellules ne sont pas connus pour être digne d'un palace comme le Ritz mais bon c'est un peu le but aussi.

Je prenais le verre, que la jeune femme venais de m’offrir avant de le boire d'une trait, comme si j'en avais besoin, je dois dire que depuis que je suis arrivé je n'ais pas connus de réel moment de répis, entre le boulot, les dossiers, mes hommes je n'arrêtais pas de courir, est si je continue sur cet ligné je risque belle et bien de mourir dans mon bureau, tout seul, entre deux piles de dossier sans que personne s'en aperçois dans l'immédiat. Mais la je sentais que ce soir cela être différent, est qu'il y avait matière à s'amuser. Je m'approchais donc plus pres de la jeune femme avant de poser ma main sur son épaule, est lui dire dans le creux de son oreille.

- La prochaine fois, que vous me donnez vos poignet, laisser moi au moins le temps de vous mettre les menottes, car sinon ce n'est drôle ni pour vous ni pour moi, je sens, que vous aimez vous amusez, alors par pitié la prochaine fois, donner moi un peu plus de temps, est je vous promet que vous ne serez pas déçus du voyage, je vous en donne ma parole.

Avec un léger petit sourire, je continuais à la regarder de haut en bas, telle un scanner.

- Bon, est maintenant que les présentations, ont était fait, que comptez-vous faire ? Si vous voulez, je peux vous invitez à boire un verre, est peut-être faire un peu plus ample connaissance, car je dois vous dire que vous m'intriguez un peu jeune fille.

Toujours avec ce petit timbre de voix mystérieux.

Alors que je venais de la charrié sur le fait, que la prochaine fois, elle risquait de ce faire arrêter pour de vrais, je pouvais voir que cela ne lui faisait ni chaud ni froid, bien au contraire elle semblait encore plus intéressé par la proposition, mais elle ne semble pas mesurer que derrière mes aires de gentil agent, je sais moi aussi me montrer d'une grande surprise, mais bon nous n'étions pas là ce soir pour ce genre d'intervention, bien sur que non, mais je note dans un petit coin de ma tête, ce visage et prénom si singulier, je penses qu'un jour ou l'autre je l'aurais, est nous pourrons bien rigoler. Alors que nous venons de boire nos verres, j'invitais donc la jeune femme de façon officieuse pour une sorte de rencontre, pour en apprendre d'avantage sur elle, et puis faire une nouvelle connaissance ne me feras pas de mal, je dois dire que je connais pas grand monde dans cet ville, est elle semble intéressante et drôle, donc pour l'instant j'allais mettre mon étique de côte pour profiter de l'instant présent, je pense que je dois pas mal de mon temps à mon pays et à mes citoyens, donc je pense qu'une fois de temps à autre, je peux souffler et mettre la pression que j'ai sur les épaules en buvant une petite bière, puis demain je serais beaucoup plus efficace durant mes enquêtes.

Puis la jeune femme accepta mon offre à la bonheurs, elle ce tourna donc vers moi, pour me faire face,en m'indiquant son verre, alors qu'elle me regardait, je prenais un peu plus de temps pour regarder son visage, qui semble si parfait, mais qui semblait légèrement fatigué, surement le fait pour travailler pour ce fameux Mikhail, le travail ne doit pas être de tout repos tout les jours. Elle m'indiqua avec un léger sarcasme de laisser le vous de côte, car elle à l'impression d'être revenus à l'école, avec un petit rire léger je lui dit:

- Désole pour toi c'est une déformation professionnelle, j'ai pour l'habitude d'utiliser le vous, car j'ai pas vraiment le temps de me détendre crois moi, mais bon passons, sinon tu viens souvent ici ou bien ? Car je trouve l'endroit charmant, est sa clientèle aussi, c'est plaisant.

Je continuais de regardais la jeune femme, avec un verre dans ma main, rien de mieux qu'un bon mojito pour ce laisser détendre.

Alors que je passais du temps, avec la jeune femme, je pouvais voir quelque chose en elle qui m'intriguais, je ne savais pas exactement encore quoi, mais je devais le découvrir, la jeune Abigail semblait avoir quelque chose de simple et naturelle en elle, comme une innocence, mais je dois dire que je penses que cela n'est qu'un petit reflet, elle doit cacher un énorme potentielle destructeur en elle, que je dois dire n'aimerais pas rencontrer, car généralement derrière les rivière tranquille, ce cache les gros et violent torrent, mais bon ce soir nous allons pas pensé à savoir si elle peut ce transformer en vilaine harpies, nous allons juste passer un bon moment de détente et de rigolade , alors que nous faisons un peu plus ample connaissance, je la trouvais vraiment drôle comme fille, car elle savait jauger entre la taquiner et sérieux de façon assez comment dire, impressionnante, alors que de fil en aiguille nous apprenons à nous connaître, j'avais la mauvaise habitude d'utiliser ce vous, que la jeune femme ne semblait pas apprécier plus que cela, alors j’essayais de corriger ce petit truc, même si je dois dire que ce n'est pas facile, car même au travail, je l'utilise avec des collègues que je vois tout les jours. Tandis que je lui demandais si elle venait souvent ici, elle me répondit que oui, car c'est plus calme que le Lux, mais moins qu'avec sa colocataire. Voilà donc une information complémentaire à analysé.

Alors que nous buvions nos verres, tranquillement, la jeune femme me demanda d'où je venais, je dois dire qu'elle reste sur des questions facile et safe, mais bon il fallait bien commencer par quelque part, car quand cela seras mon tour de poser des questions, nous allons un peu rire, car je connais mes phrases cultes en cas d'interrogatoire, mais c'est une autre histoire là.

- Est bien, à la base je viens de Chicago, j'ai passer mon enfance est une partie de ma scolarité là-bas, puis j'ai ensuite déménager pour mes études, je suis partis étudier à Harvard, où j'ai fais une école de droit, j'ai bossé pendant deux ans comme Avocat, avant d'en avoir marre, est de passer le concours du FBI, maintenant cela fait presque dix bonne années que je travaille pour le Gouvernement, est trois ans, que je dirige le FBI au niveau locale.

Je regardais la jeune femme, avant de boire mon verre.

- Est toi, tu viens d'où ? As-tu des hobbies, amis, famille ou petit-amie sur la ville ou ailleurs ? Car moi de ce côte, vus que je suis là depuis peu, je ne connais personne ni d'Adam ni d'Eve, comme nous pourrions le dire, est j'espère me faire rapidement des connaissances, qui sorte du boulot.

Je continuer à fixe, la jeune femme avec un petit sourire niais.

Nous étions posé là tout les deux, à raconter nos vies, est surtout nos passions, ou encore hobbies, j'avais donc commencé, à lui expliquer mon petit train train, est surtout comment je suis arrivé jusque ici, car d'une carrière d'Avocat dans un cabinet de prestige, jusque à agent du FBI, cela ne devait pas ce faire tout les jours, mais bon comment dire, j'avais ce besoin de venir en aide aux gens qui m'entoure, j'avais ce besoin aussi de me sentir utile, est que le matin quand je me léve et le soir avant de me coucher de me dire, oui tu as étais utile tu as fais des choses bien, est je dois dire qu'avant je n'avais pas cette flamme qui m'anime mais tout à changé le jours où je suis rentré dans le FBI, je savais que j'avais une mission, est surtout que j'avais un but dans ma vie. Donc après avoir raconter mon petit parcours, j'avais retourner la question à la jeune Abi, qui me racontait un peu sa vie, elle m'expliqua qu'elle était originaire d'une ville du Sud-Ouest de l’Irlande, est qu'elle s'installa donc ici, avant de devenir SDF, mais que par chance elle tomba sur de bonne personne pour lui venir en aide, même si au début mon visage ce décomposa, j'étais quand même ravie de savoir qu'elle à réussir à rebondir. Puis un nom familier résonna dans ma tête Eleanor, je regardais Abi avec un petit sourire.

- Je suis content que tu sois sortis de cette mauvaise passe, tout façon dans la vie nous traversons tous un moment ou l'autre une épreuve dans la vie plus au moins difficile, par contre j'ai une question à te poser, tu es en collocation avec Eleanor qui travaille à l'hôpital ? Car si c'est elle, tu lui transmettra mes salutations, car grâce à elle mon agent qui à pris une balle, va du tonnerre de feu, je n'ai pas eu le temps de la remercier pour cela.

Je repensais à ce moment passer à l'hôpital, entre la fatigue et la peur, quand j'y penses, la vie de Directeur du FBI n'est pas toujours facile est évidente, mais bon ais-je réellement le choix ? Mais là ou je fus réellement surpris c'est quand Abi me parla de son hobbies pour l'art, c'est donc derrière ces aires de terrible que ce cache une véritable artiste, je dois dire que jamais je ne l'aurais crus, j'avais moi même quelque connaissance en art, car durant ma scolarité à Harvard, nous avions souvent des obligations à aller à des expositions d'art ancien et contemporain, pour ouvrir notre esprit, est ainsi aiguisé notre critique, même si la plupart du temps, je m'ennuyé comme un rat mort, car le monde Mondain, je n'appréciais pas beaucoup cela, trop de gens prétentieux avec un ego surdimensionner et mal placé, puis elle continua avec ses autres passion, intéressant.

- Est bien je dois dire que nous avons des points commun toi et moi, perso j'aime bien l'art mais bon sans plus, je joues aussi de la musique, depuis mon plus jeunes âge mes parents m'ont fait faire du piano et du violon, bon j'avoue c'est quand même moins Rock and Roll que la guitare ou de la batterie, mais bon ça à son charme. Est pour finir j'aime bien aussi les jeux-video après une dur journée, tu peux pas savoir comment cela me détent.

Je prenais une autre gorge dans mon breuvage tout en étant pensif.

Alors que nous parlions de nos hobbies, je remarquerais que nous connaissons tout les deux une personne commune, la jeune infirmière Eleanor qui avait soigner un de mes hommes après une petite fusillade qui avait mal tourner, puis viens le moment des confessions, j'avouais à demi-mot à Abi que je jouais de temps à autre du piano ou bien encore du violon, bon c'est vrais qu'un mec qui joues ce genre d'instrument ont pense tout de suite à un mec remplis de fric, qui ce la pète, mais bon je dois dire que savoir jouer ce genre d'instrument n'était pas forcément commun pour un mec, est puis après une dur journée de travail cela me fait un bien fou, mais j'avais aussi des passions un peu plus singulière pour un mec comme jouer à la console après une dure journée de travail, est voilà que la jeune Abigail me taquiner un peu, en me rappelant qu'a défaut de pouvoir taper sur mes prévenus je pouvais me défouler sur les PNJ, bon je dois dire qu'elle n'a pas totalement tord, car parfois certain criminelle mérite de ce prendre une bonne trempe, mais hélas, nous n'avons pas le droit de leurs donnaient parfois une bonne petite correction, car ceci ne serait pas déontologique selon certain de mes chefs, mais eux, par contre quand ils font subir plusieurs sévices à leurs victimes, ils ont surement respecter à la lettre une méthodologie précise ou encore respecter leurs codes déontologique. Puis la jeune Abi poursuivi en me disant que la guitare ne correspond pas totalement à mon look, à contre a rio du piano, je la regardais quelque instant, ne sachant pas si je dois prendre cela comme un compliment ou pas.

- Oui c'est vrais que à défaut de pouvoir corriger certain prévenus, il est plus facile de passer les nerfs sur les PNJ qui n'ont rien demandé en particulier, mais sinon avant que j'oublies, je parais si vieux que ça, pour que le Piano me correspond plus que de jouer à la guitare ? Je sais que le FBI n'épargne pas mais quand même je ne parait pas si vieux que cela si ?.

Je lâchais un petit rire, avant de voir que d'un petit signe discret, elle avait demandé au barman de laisser la bouteille, cela lui évitera de faire plusieurs aller-venus pour la servir, je regardais autour de moi, est je voyais mes hommes rire, est me lâchais de petit regard discret, comme si ils étaient étonner de me voir discuté avec une femme, bon c'est vrais que au bureau je suis une vrais bête, je ne penses qu'au boulot, est je fais mon max, pour que nous traitons le maximum de dossiers, donc là je penses qu'entre ma proposition de ce soir, et le fait de me voir parler avec une femme, cela doit leurs faire beaucoup.

- Alala quand je penses, que mes agents me feront des remarques, car ils ne sont pas habitué à ce que je parles à une femme et à ce que je m'amuse, car je dois t'avouer une chose, est je penses que tu as du le voir, je suis assez axé sur le boulot, donc là pour moi ce soir c'est comme une petite folie.

Je buvais mon verre d'une trait, car je dois dire parfois la situation était pesante.