Nouvelle opportunité ft. Mikhail Mikhailov

Voilà une soirée des plus étrange, si je puis-je dire commencé dans mon bar, puis finir ici avec une fille des plus jolies que je n'ai rencontré, tout ceci c'était dérouler de façon trop rapide et brusque, comme si le destin nous avait un peu forcer la main à nous retrouver tout les deux ici, mais avant que nous échangions ce beau baiser, j'ai crus que j'allais en faire mon repas du soir, avec cet pulsion incontrôlable qui m’appeler à aller mordre son cou, est que tous autour de moi s’effondre, je n'avais qu'une seul et unique but, mais j'essayer de combattre ce mal qui est en moi, car je ne voulais pas que cet soirée ce transforme en boucherie, alors qu'elle c'était ouvert une plaie, je pouvais sentir son sang frais fouetter mon nez, Ana était dans la cuisine, est moi je me faufilais tranquillement, à ma vue elle sursauta, nous étions face à face, mais deux sentiments me tiraillé, le fait de la mordre est boire tous son sang ou alors celui qui m'habite depuis le début de notre rencontre, celui de l'embrasser, est après quelque seconde d'hésitation, je me ruée vers elle, pour l'embrasser. Je reculais rapidement, en réalisant ce que je venais de faire, je dois dire que je ne regrettais pas mon action, bien au contraire j'ai pris un certain plaisir, ses lèvres tellement chaude, me donnait encore plus envie de l'embrasser, je sentais quelque chose de tellement exquis en elle, une chose que je voulais découvrir, est au fond de moi je voulais le découvrir vraiment, j’espère juste qu'elle ne m'en vaudra pas sinon au pire je pourrais utilisé mon pouvoir de vampire, pour lui faire oublier.

Alors que je m'excusais pour mon petit geste, je pouvais voir que la jeune Ana béguais légèrement, je pouvais même voir que son visage devenait légèrement rosé, que dois je en conclure ? Je ne sais pas trop je suis moi même un peu trop perdus, j'essaye de déchiffré son comportement, est il est difficile à cerné, je dois bien avouer que c'est la premier fois qu'une humaine me donne autant de fil à retordre dans la descriptions et psychologie, d'habitude je lis dans eux comme dans un livre ouvert, mais là je dois dire que j'étais face à un mur, est je n'aimais pas vraiment cet situation. Puis elle me dit qu'elle ce sentait stupide, je dois dire que dans la situation actuelle c'était un peu clair, que nous nous sentions tout les deux un peu idiot, mais bon dans l'histoire, j'étais quand même un peu plus, nous nous regardions, sépare de quelque mètre.

- Ecoute, j'ai succombé à mon désire, mais je dois dire, une chose si je dois recommencer, je n'aurais pas hésite une seul seconde, crois moi, depuis que j'ai t'ai vu, quelque chose en moi c'est réveille je ne sais pas quoi ni comment, mais une flamme c'est allumé, donc sache que je suis honnête dans mes paroles, est que jamais je ne te mentirais, donc ne doutes pas en ce que je te dis, car tu as éclairé ma soirée, est cela n'est pas arrivé depuis bien trop longtemps, crois moi.

Je m'approchais encore un peu plus d'Ana, je me trouvais à quelque centimètre de son visage, mon coeur si il était encore en état de marche, fonctionnerait à trois mille cinq cent à l'heure.

Nouvelle opportunité

Je ne savais pas exactement ce qui m'avait passé à l'esprit d'accepter de suivre Jim jusqu'ici, bien que ce que je venais de consommer dans la salle de bain au night-club, avait sûrement son rôle à jouer dans tout cela. Ce besoin de prendre des risques où je n'avais aucune idée de ce qui pouvait m'attendre, c'était un peu qui j'étais lorsque je consommais. Jusqu'à maintenant, cela ne me semblait pas si terrible comme décision, j'étais encore bien vivante, pas inconsciente ou autre donc je ne pouvais pas dire que cette fois-ci, j'avais joué gros en suivant un inconnu, même vêtu aussi légèrement. Jim avait un sens de la retenue que je devais bien noter ici, à croire presque que je n'étais peut-être pas aussi attirante à ces yeux qu'il n'avait pu le laisser croire plus tôt dans la soirée, du moins avant maintenant.

Il me faisait peur en s'approchant sans faire de bruit, puis s'excuse en me volant un baiser un peu plus démonstratif. Un baiser qu'il se dépêcha d'excuser, ne voulant pas être déplacé ce qui m'avait quelque peu prit de cours à dire vrai. Je ne savais pas comment réagir face à son geste alors qu'il avait renchéri me confiant qu'il avait cédé à son désir, m'expliquant qu'il le referait sans hésitation si c'était à recommencer. J'esquissai un fin sourire, avant de me pincer les lèvres timidement, incapable de relevé cette apparence plus sur de moi-même que j'avais en début de soirée. Je savais pertinemment que j'avais les idées encore confus avec l'alcool et la drogue consommé dans la soirée et malgré ce sentiment de vulnérabilité qui prenait possession de ce que je ressentais, je ne parvenais pas à déterminé ce que je désirais réellement actuellement. Durant la soirée, j'avais réussis à attirer son attention, me laissant un peu désirer alors que maintenant, je me trouvais face à lui incapable de savoir ce qui se passait dans ma tête.

- Je ne veux pas sembler froide, mais à parler comme cela, c'est comme si vous n'aviez pas embrassé de femmes depuis… Longtemps, répondis-je. Ce qui, je crois, me semble improbable.

Venais-je indirectement de dire qu'il était bel homme de façon maladroite ? Exactement. Je soufflais un moment, fuyant son regard une nouvelle fois me sentait une fois de plus stupide de m'être mit dans cette position. Alors qu'il avait fait à nouveau un pas vers moi, je m'étais retrouvé adossé contre les portes du garde mangé derrière moi, incapable de me faufiler du moins, peut-être n'en avais-je pas complètement envie.

- Enfin, ce que je voulais dire, c'était surtout que tu ne dois pas forcément quitter seul, des événements comme ce soir… Tu vois ce que je veux dire, non ?

Bravo Ana, tu ne fais que t'enfoncer un peu plus à chaque mot que tu dis, à croire que ce soir la maladresse du vocabulaire t'es tombé dessus.

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Voilà que j'avais ouvert mon coeur à la jeune et belle Ana, je dois dire que je n'avais pas connus ce sentiments depuis bien trop longtemps, la dernière fois que cela remonte c'est quand je suis tombé amoureux durant l'époque de la Russie Impérial, où j'ai rencontrer la jeune et belle Svetlana, fille d'un puissant Prince Moscovite, nous avons vécus le grand Amour, son père avait même prévus d'organiser le mariage, nous étions donc tous content et emballer par cet idée, mais malheureusement, le destin maudit soit il en à décidé autrement, est ainsi une maladie l'emporta quelque jour avant que nous puisons nous unir dans le meilleur et le pire, est je dois dire que depuis ce jour, je m'étais promis de ne plus me concentré sur l'amour, car je ne voulais plus souffrir, car je savais pertinemment que si je me mettais avec une mortel un jour ou l'autre nous allons être séparer par la mort, c'est donc pour cet unique raison que j'avais décider de mettre de côte l'amour et ses sentiments mais là ce soir c'était différent, j'avais ressentis quelque chose que j'avais connus il y a bien longtemps, est c'est pour cet unique et seul raison que je me suis risqué à l'amener chez moi pour en apprendre d'avantage, car ce sentiment me pousser est je devais savoir et en avoir vraiment le cœur net

Puis là avec le baiser que nous avons eu enfin que je lui est donner je dois dire que cela intrigue encore plus, car j'avais sentis l'ombre de quelque instant que malgré la surprise elle n'éprouvait pas vraiment de dégout de rejet bien au contraire, je regardais la jeune femme qui malgré tout était confuse, puis elle me fit remarquer que selon mon discours cela semble une éternité que cela ne m'était pas arrivé, bon c'est vrais que si je calcule cela doit faire au moins 600ans que cela n'était pas arrivé, je ne pouvais m’empêcher de lâcher un petit rire, si seulement elle savait la pauvre qu'effectivement cela remonte à bien trop longtemps, que limite j'aurais pu oublier ce genre de chose, mais bon c'est comme le vélo cela ne s'oublie pas forcément pas vrais, cela reste dans l'ADn malgré le changement.

Puis la jeune femme sous-entendis qu'elle n'était pas surement la premier à être renter avec moi après une soirée, bon je dois dire qu'elle n'avait pas tord, dire le contraire serait mentir, mais bon c'est bien la premier et unique fois ou je ressens une telle chose, pour une fille, car depuis longtemps je n'avais pas ressentis cela, c'était juste disons des histoires pour s'amuser mais sans plus ni moins, sans forcément avoir de suite par derrière, une partie d'amusement entre deux adultes consentis si je peux le dire ainsi.

- Effectivement tu as raison que tu n'est pas la premier fille que je ramener chez moi, mais tu es la premier envers qui je ressens quelque chose, un sentiment puissant que je ne peux pas expliqué comme si tu m'avais jeté un sort, pour que je n'ai yeux que pour toi.

Alors que je la regardais, avec un sourire, je prenais mon courage à deux mains, avant de me rapprocher encore d'elle est de lui posait un autre baisé pour montrer véritablement mes sentiments, car comme on dit une image vaut mille mot.

- Tu es la premier fille aussi que j'embrasse ainsi, je vais être honnête avec toi, quand une fille venait avec moi ce n'était pas pour jouer à la belote, mais pour des choses sérieuse, je ne voulais pas apprendre à les connaître, je m'en fichais mais là je te dis c'est différent la preuve.

Je passais ma main sur son doux visage, avec un petit sourire au coin des lèvres.

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En prenant la direction de la cuisine pour chercher un second verre pour Jim, j'en avais profité pour prendre un essuie-tout histoire de cesser le saignement de ma coupure. Cependant, la proximité de cet homme par la suite m'avait un peu surpris, ce qui avait été d'une évidence dû au cri que j'avais échappé avant de m'excuser. Puis rapidement, la situation avait pris une autre direction quand Jim avait fait un pas vers moi pour m'embrasser, pour finalement s'excuser à son tour pour l'intrusion dans mon espace personnel. La conversation avait tourné autour des habitudes de Jim et la fin de ces soirées, puis il m'expliquait que j'étais la première fille qu'il ramenait chez lui, envers qui il ressentait quelque chose qu'il ne savait pas expliquer, comme si je l'avais tout bonnement, ensorcelé. Je n'avais pu m'empêcher de rire légèrement à cette phrase, puisque plus tôt dans la soirée, il m'avait demandé si j'étais une sorcière, me laissant croire qu'il vivait dans une sorte de conte de fée étrange.

- C'est une technique de drague ? Demandais-je, inclinant doucement la tête.

J'avais relevé lentement le regard vers lui alors qu'il venait doucement me coincer un peu plus contre l'armoire derrière moi. D'un petit geste délicat, j'avais déposé ma main sur son torse, imposant une sorte de limite invisible comme je tentais un peu de comprendre la situation, et ce, dont j'avais envie actuellement. Un chaste baisé volé une fois de plus, me laissant quelque peu sans voix alors qu'il avait repris son dialogue que j'étais différente des autres filles, caressant délicatement de ces doigts mon visage.

- Jim … Je n'ai pas besoin d'une conversation à la Cendrillon, repris-je. Je n'ai peut-être pas tes relations passé parce que je suis plus jeune que je vis aveuglément.

Je me faufilais doucement vers la droite pour créer une certaine distance entre lui et moi, puisque mes idées s'embrouillaient lorsqu'il était trop près. C'était troublant cet assurance qu'il avait à mon égard alors que je me sentais impuissante.

- Si comme tu le dis si bien, je suis différente de ces filles avec qui tu… Passais aux choses sérieuses, pour reprendre tes mots, pourquoi sauter cette barrière ? Lui demandais-je curieuse.

En gardant cette distance, je pouvais me donner l'impression de mieux gérer la situation, bien qu'intérieurement, je savais pertinemment que j'avais perdu le contrôle au moment où il m'avait pris par surprise en m'embrassant. Ça n'avait pas été déplaisant pour autant, simplement, ça m'avait fait perdre le peu de contrôle que j'avais sur moi-même ce soir, me déstabilisant un peu.

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Voilà que la soirée part totalement dans tous les sens, comme si mon instinct primaire avait pris le dessus sur moi, je ne pouvais m'empecher de la regarder, de la dévorer de mon regard, quelque chose me pousser à aller vers elle, est puis il y a eu ce verre brisé qui avait tout précipité, car si je me tenais à la base derrière elle c'était pour boire de son sang, mais finalement ma nature ne pris pas le dessus, est je lui donnais un baiser, mais une chose est sur, si cela aurait était une autre fille, je serais entrain de nettoyé son sang et son cadavre ou alors j'aurais du user de mes pouvoirs pour lui faire oublier ce petit passage avant de l'amener dans ma chambre pour profité encore d'avantage de son corps, mais là pour une fois c'était différent, est je dois dire que cela me rendais heureux et perplexe à la fois, pourquoi elle serait différente des autres ? Pourquoi elle je veux apprendre à la connaître, est pas faire ce que j'ai à faire est ensuite lui indiquer la porte, en la raccompagnant est en ne répondant plus jamais à un appelle de sa part ? Je la regardais de haut en bas, j'avais l'impression d'être Superman est qu'elle était ma cryptonite j'étais faible.

Alors que je lui ouvert mon coeur, en lui donnant par la suite un deuxième baisé, je sentais qu'Ana ce sentait dans une position impuissante, elle éprouvait un certain plaisir mais voulait quand même avoir une distance pour essayé d'analysé la situation est je dois dire que cela m'étonne pas d'elle, c'est une fille jolie mais surtout très brillante est tout cela doit lui semer le doute et la confusion dans son coeur, est cela pouvait ce voir dans son visage, alors elle me regardait un peu perplexe, puis elle essaya de me question, bon je devais m'attendre à ce moment, car j'avais remarquer est cela depuis le début qu'elle est venus qu'elle avait l'âme d'une inspectrice, mais bon c'était le jeu, est j'allais devoir m'y confronté car je sais que c'est une fille avec du caractère qui ne ce laissera pas facilement amadouer est surtout qui ne lâchera pas l'affaire de sitôt tant qu'elle n'aura pas une réponse qui lui convient.

- Ecoute si j'ai agis dans la sorte, c'est que je ne voulais pas que ma chance passe, je voulais te dire ce que j'avais sur le coeur, car même si je te connais depuis peu, qu'elle que chose en toi m'attire est comme je te l'ai dis, je ne regrette rien vraiment rien, voilà pourquoi j'ai sauter le pas, je voulais que tu le saches, maintenant si cela n'ai pas réciproque je comprendrais parfaitement, est je t'en vaudrais pas, mais si par contre il y a quelque chose en toi, sache que tu ferais de moi l'homme des plus heureux dans ce monde.

Je regardais Ana avec un sourire, en attendant sa réponse tic tac.

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Une nouvelle fois, je me retrouvais dans une situation qui me dépassait légèrement, toujours partagé entre ce qui me paraissait logique, et ce, dont j'avais envie sur le moment, me laissant dans des pensées complètement déraisonnable. Malheureusement pour moi, j'avais tendance à aller vers cette seconde option à croire que j'ai parfois un sens irréfléchi des responsabilités. Je me sentais impuissante et vulnérable face à cet homme imposant devant moi, incertaine de savoir si l'idée me plaisait, j'avais fui cette proximité entre nous afin de me ressaisir, du moins essayer. Jim me semblait être un homme des plus passionné, puissants, sur de lui et charmant, extrêmement charmant, je dois l'admettre. Mais il me semblait aussi très intrusif et je n'avais pas l'habitude qu'on cherche à creuser dans ma vie personne, j'étais souvent cette personne qui prenais le contrôle des conversations, tout pour éviter ma position. Il n'y avait pas à redire qu'il était habile en matière de langue, afin de formuler de jolis phrases bout à bout pour faire fondre le petit cœur fragile des femmes, simplement en ce moment, il me donnait l'impression d'être le Golden Ticket dans une boîte de céréale et c'était plutôt déconcertant. J'en avais profité pour essayer de tirer avantage alors qu'il avait été confus de mon geste d'éloignement.

- Parfois tenté de retirer le gâteau du four ce n'est pas mieux que de l'oublier dedans, affirmais-je.

J'affichais un visage quasi-indéchiffrable, puisque je tentais de contrôler cette boule d'énergie en moi. Je me savais plus instable après avoir consommé, et pour mes parents, je me devais bien de ne pas tout merder ma première semaine à la Nouvelle-Orléans. Je regardais longuement Jim avant de reprendre doucement.

- Si j'embrassais tous les gens qui m'attire d'une quelconque façon, je croirais que je serais très mal barrée en ce moment, ajoutais-je pour le taquiner un peu.

Je me pinçais les lèvres légèrement avant de dévier le regard vers le comptoir de cuisine sur lequel je m'étais appuyé délicatement. Il avait une certaine maladresse dans sa façon d'être qui me plaisait bien, mais je ne pouvais pas simplement l'admettre, sinon aussi bien dire que je suis une version vivante d'un roman à l'eau de rose et tout le monde sait comment ça termine ces choses-là.

- Pour pouvoir partir sur une base saine, je crois que je devrais déjà être vêtu autrement… À croire qu'il y a bien des étapes de sauté dans cette histoire d'apprendre à se connaître, admis-je en riant faiblement.

Je posais à nouveau mon regard sur lui, masquant un léger amusement sur mon visage puisque au final, n'avait-il pas agit comme pratiquement n'importe quel homme aurait réagit face à la situation actuelle ? Je me sentais doucement aussi bête de manquer de pudeur certains jours. Mon regard analysait l'expression sur son visage, ce petit sourire qui s'était dessiné sur ces lèvres me troublait tout autant que cette assurance qu'il avait à me déballer ce qu'il ressentait sur le moment.

- Je suis… Avais-je commencé avant d'incliner la tête vers la droite.

Alors que je réalisais ce que j'allais dire, je prenais conscience qu'en réalité m'excuser d'avoir mener à le laisser me désirer pendant toute la soirée sans qu'il y ait quoi que ce soit de mon côté, c'était ridicule. J'avais embarqué dans ce petit jeu au moment où il m'avait conduite au bureau dans le bar, afin de discuter parce que je l'avais trouvé attirant physiquement parlant et en discutant, sa personne n'avait pas non plus déplaît à mes attentes. Bien que cette façon qu'il avait de me regarder, comme si j'étais le centre d'attention, j'avais pris l'habitude d'en avoir et finir dans de mauvaises postures là où j'étais au Canada. J'avais promis à mes parents de ne pas retourner dans tout cela en m'orientant dans le mannequinat et d'une certaine façon, je m'y étais retrouvé de nouveau vu les activités illégales de l'entreprise qui m'avait engagée.

- En fait, Jim, vous êtes plutôt attirant, admis-je finalement de vives voix. Et c'est d'ailleurs ce qui me rend… Nerveuse, c'est le terme que je vais utiliser, continuais-je. Votre proximité m'embrouille un peu l'esprit, concluais-je avec franchise.

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Fichus sentiment, je savais que succomber à mon cœur n'allais pas être une bonne chose, mais que voulez-vous quand vous ne pouvez pas choisir vos mais votre cœur voilà ou cela mené, maintenant j'étais face à un très très gros dilemme, mais comment j'allais m'en sortir ? J'avais embrassé pas une fois dans la soirée Ana bien au contraire non cela ne serait pas facile, mais belle et bien deux fois, j'avais regarder la jeune Ana droit dans les yeux, est je lui est ouvert mon coeur comme dans un livre ouvert, je lui avait tout dit et raconter enfin tout surtout sur mes sentiments, je pouvais voir dans ses yeux qu'elle était chambouler et ne savais pas réellement sur quel pied danser, bon après je dois avouer que moi aussi si les rôles était inversé je serais un peu con devant la situation, car un inconnus que vous ne connaissez ni d'Adam ni d'Eve, ouvert son cœur comme cela, c'est sur qu'il faudrait ce poser des questions, mais bon tant pis qui ne tente rien n'as rien comme nous disons, c'est ainsi que la jeune femme rempli de philosophie me dit que parfois vaut mieux laisser ne rien faire que faire quelque chose sur le coup, je dois dire que j'avais pris un petit coup, que voulait elle dire par là ? Sur le moment j'étais un peu perdus et désorienté, puis elle continua sur un autre ton en me disant que si elle faisait pareil nous serions très très mal barré, mais je sentais qu'elle disait cela sur un ton plus ironique ce qui eu l'effet de me soulager un peu, car je dois dire que j'étais un peu tendu et sur les nerfs.

- Je penses que je vois ou tu veux en venir Ana, est bien j'ai envie de te dire une chose parfois mieux vaut essayé quelque chose que rien du tout, on ma toujours dis une chose vaut mieux vivre avec des remords qu'avec des regrets est je voulais pas que ma chance passe sous mon nez.

Je la regardais avec un petit sourire, Ana reprit sur une chose, elle me dit que pour repartir sur une base plus seine, elle devrait s'habillé car je penses que nous avons bien sauté des étapes, bon je dois dire que sur le coup elle marquait un point, car j'avais face à moi une jeune femme bien ravissante et jolie, est que en plus de l'alchimie par son esprit et sa vivacité d'esprit elle était fortement attirante, car ce que j'aimais chez elle était son petit côte pudique et tranquille, avec son petit visage d'ange, je dois dire que cela était plutôt rare dans son milieux, car tout le monde connais la réputation des mannequins de jolie femmes qui ont la réputation de ne pas avoir beaucoup de vivacité d'esprit mais la ce n'était pas le cas bien au contraire je dois dire.

- Bien entendus si tu souhaites t'habillé, il y a dans l'une des chambres des robes, qui pourrait te convenir, avant que tu poses une question pourquoi j'ai des robes je vais te répondre, de temps à autre, j'organise des soirées ici est des femmes veulent changer de tenus, donc en ce changeant durant la soirée, elle oublie de reprendre leurs vêtements après être partis, bien entendus je prend aussi le soin de faire nettoyé les robes, donc elle sont toute propre. ne t’inquiète pas.

Je continuais de la regardais avec un petit sourire, quand soudain elle me fit une révélation qui fit sauter mon coeur d'un bond, elle me trouvait donc elle aussi intéressant et attirant c'était donc un bon point, mais elle m'avoua que notre proximité l'embrouiller un peu l'esprit, encore une fois je peux comprendre ce qu'elle veut dire,car elle vient la premier fois dans mon appartement sans me connaître est je l'embrasse comme ça sans prévenir personne un peu sur un coup de tête, mais bon que voulez-vous à défaut de mordre les cous, j'embrasse sans prévenir.

- Je comprends Ana, est encore une fois je suis désole de t'avoir mis dans une situation si embarrassante, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise croit moi, loin de moi cet idée, si tu veux plus de temps ou autre je comprends, par contre je tenais à te dire que cela me fait plaisir que toi aussi tu me trouves attirant.

Un petit rire s'échappa, alors que je regardais par la baie, de mon appart, je n'osais plus trop fixe Ana, par peur de la mettre mal à l'aise

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Bien que je me sois mise toute seule dans cette situation quelque peu gênante, je devais avouer que je connaissais malgré toutes les limites à établir. J'avais discuté en toute sincérité depuis le début de la soirée, bien que parfois masqué dans le mystère, donc je ne me voyais pas lui mentir maintenant en ce qui concernait cette attirance. J'avais bien compris que l'entendre de vive voix lui avait bien plus, ce qui m'avait échappé un timide sourire avant de hocher faiblement la tête. Ces vêtements féminins qu'avait Jim chez lui, me laissait quelque peu perplexe face à ce qu'il venait de me raconter face à ces conquêtes de la nuit.

- Je vais aller voir ce que je peux trouver qui sera plus .. Adéquat, merci, finis-je par lui dire.

Je m'éloignais doucement vers la pièce qu'il m'avait indiquée, fouinant un peu du regard le reste de l'appartement jusqu'à là-bas. La salle de bain était immense, sûrement aussi grande que ma chambre dans le loft qu'on m'a offert, c'était impensable. Je secouais la tête doucement avant d'entrer dans la chambre d'invité, du moins ce qui me semblait l'être pour finalement m'approcher des gardes-robe. Il y avait des vêtements à n'en plus finir, c'était irréelle. Jim devait avoir des tendances moins commune du genre se vêtir en femme lorsque personne ne le regarde afin que cela ne joue pas sur l'influence qu'il peut avoir au sein de la business. Il y a tant de jugement dans cette société à la con en même temps dur de démystifier le vrai du faux de nos jours. Je défilais donc les cintres afin de trouver une tenue qui me convenait, ce qui n'était pas chose facile, puisque les vêtements qui s'y trouvaient étaient tous beaucoup trop cher de mon point vue, vu les marques apposées, et mêmes que certains vêtements avaient toujours des étiquettes. J'avais pris une robe de soirée, rouge avec une taille ajusté avant de passé devant le grand miroir près de la porte, incertaine de vouloir sortir avec un vêtement qui vaut autant qu'un loyer régulier pour la plupart des gens.

- Dis-moi Jim, tu as des amis qui sont dans la classe moyenne ? Demandais-je en prenant la direction de la cuisine.

Je m'avançais doucement afin de ne pas sursauter puisque je ne savais pas où il était rendu, une fois à la cuisine, je l'avais aperçu à l'extérieur sur la terrasse qui bordait son appartement. Il était là, appuyé sur la paroi vitré avec un air bien songeur. Je me doutais qu'il n'eût pas entendu ce que j'avais dit puisqu'il était bien trop loin pour m'avoir entendu. Cependant, j'avais choisi de ne pas reprendre mon commentaire sur le sujet de ces amis, puisque en réalité cela ne me concernait en rien. Je m'approchais doucement avant d'ouvrir la porte pour le rejoindre.

- Tu m'as l'air plutôt songeur tout d'un coup, admis-je. À quoi penses-tu Jim ?

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