Nouvelle opportunité ft. Mikhail Mikhailov

Alors que le début de soirée au club c'était plutôt bien passé, et que nous avions raconté nos vies un peu, la deuxième partie ce passa un peu plus mal quand elle était retourné avec ses collèges de la soirée et sa patronne, une intercalation entre elle et l'agent de sécurité qui semblait vouloir beaucoup plus de la jeune femme, que ce qu'elle voulait bien lui offrir, alors que j'étais descendus en trombe pour voir ceux qui c'était réellement passé, j'ai pus apercevoir le fameux agent de sécurité, mon regard noir en disant long, quand j'aurais réussis à tirer cette affaire un peu plus au claire, je peux être sur que cette agent connaîtra un sale quart d'heure, moi qui voulais que cette boite de nuit est un certain standing et puis surtout quel ce démarque des autres, les gens mais je pense en particulier à la gente féminine qui doivent en avoir marre, d'être traité comme une vulgaire marchandises que les hommes relooke avec appétit, et voilà que en cette si belle soirée qui avait commence plus que bien, ce lourdingue vient tous gâcher, je n'apprécier pas son geste et il n'allait pas tarder à entendre parler de moi, et de mon légendaire charme.

Mais par chance un peu pour lui, j'avais réussis à rattraper la jeune Ana, qui avait fait un détour par les toilettes comme pour notre premier rencontre inopiné, après l'avoir serré dans mes bras pour la réconforter, nous avions discuté et la jeune femme me proposa d'aller boire un verre, je dois avouer que je m'attendais pas le moindre du monde à cette proposition, j'avais donc décider de partir dans un endroit un peu plus calme pour profiter pleinement de cette soirée et sortir de ce cadre, j'avais donc décider de l'amener non loin d'ici dans l'un de mes nombreux biens en hyper-centre avec une vue magnifique sur toute la ville, alors que nous étions monter dans mon appartement, je l'avais invité à s'asseoir et je lui offris un petit verre, nous voilà donc enfin à nouveau que tous les deux, sans que personne viennent de nouveau nous embêter ou perturber, nous étions qu'elle et moi, avec toute la nuit pour discuter et apprendre à nous connaître, et j'allais pleinement profiter de cette occasion et opportunité qui s’offre à moi.

- Et oui, c'est la premier fois que cela me fait un telle effet j'ai rencontré pas mal de fille lors de mes voyages et déplacement mais c'est une des premiers et rare fois que je rencontre une fille telle que toi, qui a réussis en si peu de temps à me jette comme une sorte de sortilège mais juste pas précaution dit moi, tu ne seras peut-être pas une sorcière hein ? Car si oui tu caches très bien ton jeu, moi qui étais habitué aux femmes avec un balai, une verrue sur le nez et de long cheveux tous sale et mal coiffé.

Après cette déclaration je ne pus m'empêcher de rire à vive voix, même si au fond de moi je savais que les lanceuse de maléfice ne ressemble pas à ceux que je venais de décrire mais à des hommes et femmes tous à fait normale comme moi, a un détaille près c'est que moi, je suis considéré comme une menace pour les autres car je suis sensé être mort et enterré alors que eux, ne sont pas encore mort juste en quelque sorte des damné qui auraient vendus leurs âmes au Diable en personne en échange d'un pseudo pouvoir, mais je pense que le prix est quand même cher paye. Mais alors que nous venions tous juste de trinquer une question de la jeune et belle Ana, me fis sourire légèrement, elle me demanda en bafouillant légèrement, si je vivais ici seul ou alors avec des colocataires, mais il y avait aussi le sous-entendu si j'avais une personne dans ma petite vie de vampire ? Comment lui répondre que malheureusement non, il y a bien longtemps j'avais eu aimé une fille mais par malheur c'était dans un temps ancien, et la maladie l'avait prit avec elle, j'aurais pus le sauver en la mordant, mais je me voyais mal lui infliger une telle vie, vivre éternellement bannis et déteste par tous, avec pour seul but d'errer dans cette immense vie, sans avoir de but précis ou encore sur qui s'appuyer réellement, c'est ainsi que j'avais fais le difficile choix de la laisser partir, pour de meilleur horizon. Je regardais donc la jeune femme avec un petit sourire, ce soir je ne voulais pas me prendre la tête et juste profiter de l'instant présent.

- Je suis actuellement seul ni de colocataire ni de femme ou copine qui m'attende à la maison, à croire que je ne suis pas assez bien ou alors que je fasse peur aux femmes qui m'approche va savoir ? Je suis donc pour l'instant un cœur à prendre, et je suis pas bien complique comme garçon, tant que le feeling est bon, et que la jeune femme s'entend bien avec moi, tous roule pour le mieux, voilà je pense t'avoir dressé un portrait rapide de ma vie sentimentale et des critères que j’attends. Mais vue, que nous sommes sur des questions ? Toi tu es avec quelqu'un ou alors tu es approximativement dans la même situation que la mienne ?

Avec un petit rire, je regardais la jeune femme, en me servant un deuxième verre à elle et moi, je m'appuyer sur mon canapé en continuant de la regarder telle un jeune ado qui vient de tomber pour la première fois et qui découvrir cela avec une assez grande stupéfaction.

Nouvelle opportunité

Sur le chemin en direction de l'appartement de Jim, il était resté plutôt silencieux, je n'avais pas exactement cherché à briser son silence. J'étais un peu partagé sur les raisons du pourquoi il était si concentré, est-ce que ce qui m'était arrivé le travaillait à ce point ? Ou peut-être était-il ainsi de façon générale. Le pourquoi j'avais choisi de le suivre sans broncher m'échappait moi-même à dire vrai, peut-être avais-je simplement envie de profiter de l'instant présent, dans l'innocence la plus total. Je devais sérieusement cesser ces questionnements sans fin, c'est déstabilisant. L'emploi du temps de Jim semblait être un domaine plutôt mystérieux à cette façon qu'il avait eut au cours de la soirée à éviter la question, peut-être ne travaillait-il pas en y pensant bien. Peut-être était-il l'enfant d'une famille plus fortuné qui occupait son temps avec des gens dans la classe où se trouvait Mikhail, grand patron d'une série de boites de nuit qui semblait faire fureur. J'avais eu l'occasion de discuter avec certains clients qui avait déjà côtoyé des établissements ailleurs qu'à la Nouvelle-Orléans, ce qui me laissait encore plus perplexe sur l'absence de Mikhail pour l'ouverture.

J'avais eu l'occasion de voir la Nouvelle-Orléans sous un autre angle dans le bureau de Mikhail, mais la vue qu'offrait cet appartement n'était même pas comparable. C'était troublant de voir ce que l'argent pouvait offrir à certains, alors que d'autres avaient peine à se permettre de manger trois repas par jour ou bien payer les traitements dont ils auraient besoin. Je reviens rapidement à mes petits moutons lorsque Jim argumenta sur le fait que j'étais différente de ces femmes qu'il avait pu rencontrer dans le passé, ce qui m'amusait en réalité puisqu'une part de moi croulait sous ces belles paroles alors que de l'autre côté, j'avais cette vision du mec qui jouait du petit violon pour mieux charmer une conquête potentielle. Un délicat sourire s'était dessiné à la commissure de mes lèvres lorsqu'il me compara à une version beaucoup plus agréable d'une sorcière.

- Si j'avais le pouvoir de faire ce qui m'enchante, j'aurais eut tendance à l'utiliser pour de mauvaises raisons, donc sois-en sur je suis inoffensive pour cette cause ! Répondis-je en riant légèrement.

La compagnie de cet homme était plutôt agréable, je devais l'admettre, bien que j'ignorais en réalité ce vers quoi, il nous dirigeait dans ces argumentations. Mon accent, un peu cassé à la francophone, ne semblait pas peut-être pas le laisser entièrement indifférent, du moins, c'est surtout une supposition. Je ne comprenais pas exactement ce qui l'intriguait autant, puisque en toute sincérité, je n'étais qu'une femme des plus banale de mon point de vue. Si mon meilleur ami m'avait entendu dire une chose comme tel, il m'aurait sûrement grondé pendant de longues minutes en disant que j'étais dure avec moi-même et il aurait enchaîné avec pleins de points de vue différents des miens. Je soufflais un instant, chassant ces idées de ma tête, je n'étais pas ici pour remuer le couteau dans la plaie, je devais vivre mon expérience, mon nouveau chapitre à fond comme j'avais promis avant de partir.

Je décida alors à mon tour de questionner de nouveau Jim sur ce qui me passait par la tête, cependant, ma maladresse déforma quelque peu l'idée de base que j'avais en tête au moment où je lui demandais s'il vivait seul. J'essayais un instant de me mettre dans sa peau, vivre dans un endroit comme celui-ci, alors que je pouvais presque devenir anxieuse à l'idée d'avoir autant d'espace pour moi seule. Au moment où il me répondit, j'avais mordillé ma lèvre nerveusement, réalisant qu'une fois de plus mes mots s'étaient enfourché dans ma langue pour sortir tout croche.

- Non, enfin, ce n'était pas exactement ce que je voulais insinuer, repris-je, plus timide.

Mes pommettes légèrement rosé, je lui avais adressé un petit sourire qui se voulait amusé malgré mon malaise. Non pas que l’information ne m'était pas exactement utile, simplement, j'aurais préféré ne pas demander ainsi et encore moins maintenant puisque nous venions à peine de se rencontrer. Quoi qu'en y repensant maintenant, j'avais quand même accepté de le suivre aveuglément, à quoi réellement m'attendais-je ? Je passais rapidement ma langue sur ma lèvre inférieure avant de répondre à mon tour, c'était sûrement la moindre des choses.

- En ce qui te concerne, je crois avoir l'heure juste sur ta situation amoureuse ! Affirmais-je, avec cet éternel sourire amusée. Je me contenterais de dire que je n'ai personne en ce moment niveau relation amoureuse et ce qui s'y rapproche.

Je terminais alors tout juste mon premier verre qu'il m'en servit un second alors que mon regard ne le quitta pas un instant. J'avais les idées qui défilaient à vive allure dans ma tête, mon cœur battait la chamade alors que je ressentais ce bien-être totale, était-ce cette soirée qui me rendait ainsi ou étais-ce simplement les effets de la drogue que j'avais inhalée. Peut-être était-ce un mélange des deux à bien y penser. Je ramenais alors mes jambes contre moi, prenant un autre appui sur le canapé, orientant le haut de mon corps vers lui, laissant cette gêne un peu de côté.

- Où avez-vous rencontré ma patronne, demandais-je finalement. Vous aviez fait appel à elle par le passé, pour cette seconde vision de l'agence ? Ajoutais-je.

Je ne posais pas la question dans un jugement, bien au contraire, ça avait plutôt été demander comme on demanderait à quelqu'un comment il allait. Je n'avais aucun intérêt réelle à savoir s'il pouvait faire affaire à une compagnie d'escorte ou autre dans le genre, c'était simplement une curiosité pure.

Codage par Libella sur Graphiorum

Tandis que la soirée ne faisais que continuer, plein de perspective s'afficher devant moi, je dois dire que, au départ je n'avais pas vraiment eu l'attention de passer une telle soirée en si bonne compagnie en plus, tous aller si vite, pour un vampire si vieux que moi, sept ans trente ans est quand même un belle âge, j'aurais été un humain, je ressemblerais un vieux débris sénile, qui ne sers à rien, et accrocher à tellement appareille que on m'aurait prit pour un robot, mais aucun homme enfin aucun humain ne peut atteindre cette âge sans l'aide d'une morsure d'un vampire ou par le subterfuge d'un sortilège. Mais passons tout ses détailles, il fallait noté qu'une seul chose, ce soir je passais une bonne soirée, accompagner d'une fille sublime, qui semble croquer la vie à pleine dent, et qui ne semble pas ce soucier du regard des autres, ou encore au conséquences du lendemain, c'était ce genre de fille, que j'aimais bien, qui ont du caractère et qui savent comment s'affirmer dans cette univers tellement masculin, Ana avait ses objectifs, et elle semblait donner tout d'elle pour réussir son pari même si elle doit ce battre contre vent et marré.

Mais alors, que nous buvions nos verres, tranquillement, la jeune femme me posa une question qui me donna le sourire au lèvres, d'une manière un peu maladroite, elle me demanda si j'avais une personne qui partager cet appartement avec moi, avant d'essayer de ce rattraper, en me demandant si je vivais avec des colocataires, au fond je penses qu'elle devait avoir la réponse avant même d'avoir à poser la question, mais la jeune femme, semblait avoir le hic de poser des questions. Mais je dois avouer que je trouvais cela fortement charmant, alors que je lui expliquer un peu ma situation amoureuse, que malheureusement c'était un peu le grand vide, de son côte niveau sentimentale, et que mon cœur est toujours à prendre, m'enfin c'était surtout une métaphore car le coeur d'un vampire est un peu complique à conquérir vue que le sang ne circule plus en nous, ceux qui rend le principale organe d'un humain normale inopérationnelle. Tandis, que j'avais retourné la question à mon invité du soir, elle m'avouer qu'elle n'avait personne aussi dans sa vie.

- Jamais je n'aurais pensé qu'une fille aussi jolie que toi, serais seul, surtout que contrairement aux autres filles, tu as plein d'avantage, tu es jeune, belle et surtout intelligente, tu sais ce que tu veux dans la vie, et de mon point de vue, tu te donnes les moyens nécessaire pour t'en sortir, et réaliser tes objectifs et rêve, alors si je dois te donner un conseil ne baisse jamais les bras, est surtout porte tes projets à bout de bras jusque à la fin, sans laisser les autres te pourrir ou te faire croire que tu ne vaut rien, crois d'abord en toi, et ceux qui te soutienne son un plus.

Alors que je continuais à être absorber par cette jeune Ana, je lui proposais de lui resservir un verre en même temps que le mien, elle accepta volontiers ce verre, sur le moment un petit sourire apparus sur mon visage si elle tentait de boire au même stade que moi, elle aura perdus d'avance, elle risque de croisé avant moi le coma éthylique ou même pire la mort, avant d'arriver à me souler, mais bon, comment lui en vouloir, elle n'est pas au courant de ma nature ou alors elle cache très bien son jeu. Soudain la jeune mannequin eu une autre question à me poser, elle semblait intriguer par le lien qui unis sa patronne et moi, elle semblait vouloir savoir, comment j'ai rencontré la dirigeante de cette société de mannequin et parfois d’escorte girl à ses temps perdus, il fallait dire qu'un homme comme moi avait parfois besoin de ce genre de service, pour soit apater un gros bonnet, ou tout simplement pour ce montrer au bras d'une jolie demoiselle devant les yeux d'un certain gratin qui estime qu'un homme à réussis sa vie en réussissant à allier, pouvoir, richesse et de jeune et jolie conquête qu'ont devraient exhiber fièrement lors de ce genre de parade. Je regardais la jeune Ana avec un petit sourire, encore une fois, elle semblait faire la fille crédule, mais au fond d'elle, la jeune femme devait savoir pourquoi je connaissais si bien sa patronne, est aussi pourquoi je savais les services annexes qu'elle proposait, car lui dire que je ne l'ai jamais appelé serais la mentir.

- J'ai effectivement eu a avoir recours à ses services, lors de certain gala, ou soirée un peu chic tu sais comment est constitué notre monde, nous avons besoin de nous montrer aux yeux des autres pour assurer en quelque sorte, notre statut sociale, et ainsi étaler notre richesse et notre réussite, plus la fille est jeune et jolie plus c'est un signe de réussite. Mais bon cela fait bien longtemps, que j'ai arrêter ce genre de chose, car je ne cautionne pas d'exhiber une femme, comme un trophée. Mais sinon j'ai une question, peut-être conne, mais que je dois te poser, pourquoi m'avoir suivi ici, alors que nous nous connaissons à peine, je dois t'avouer, que pour moi c'est un véritable miracle, mais cette question, me trotte en tête depuis un petit moment.

Je regardais la jeune femme, avec un petit sourire, avant de m'approcher légèrement d'elle, avec un petit sourire qui s'afficher sur le coin de mes lèvres.

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Le déroulement de la soirée me défilait en tête comme un film en avance rapide, tout comme la journée de la veille, je n'arrivais pas à comprendre à quel moment j'avais raté une telle information au sujet de cette soirée. Il ne me revient pas en mémoire que Maria m'ait parlé de ce genre de tournure en rapport aux galas potentielle, peut-être avait-elle voulu m'épargner pour les premiers jours, cependant ça avait plus qu'échouer lorsque finalement, je m'étais retrouvé au centre de toute cette folie. Je ne savais pas exactement ce que je devais penser, ou même si c'était réellement un endroit pour moi ? Avais-je le courage de me lancer aveuglément dans toute cette histoire ? Je l'ignorais moi-même, chose certaine, j'aurais sûrement besoin de temps avant de m'embarquer dans un autre projet comme l’événement de ce soir.

En une fraction de seconde, j'avais fichu en l'air près de deux moi de sobriété et en réalité sur le moment ça ne m'affectait pas du tout, c'était pratiquement écrit dans le ciel que mon nouvel engagement ici à la Nouvelle-Orléans me mènerait dans ce mauvais chemin. Peut-être étais-je plus faible que ce que les gens pouvaient penser après tout. Ma guérison, ma santé inquiétait énormément ma famille et pourtant on m'a fait réaliser à plus d'une fois qu'on ne pouvait pas aider une personne qui refusait de se faire aider. Peut-être étais-je encore en questionnements sur ce que je voulais réellement. À défaut de ce que je pouvais dégager physiquement, j'ignorais ce que je voulais dans la vie, j'accroche uniquement à certaines choses, de manière intensive. C'était un peu ça mon souci d'addiction, vouloir quelque chose coûte que coûte.

Les dires de Jim à mon sujet me laissaient un peu perplexes, puis que je ne percevais aucunement comme il pensait, du moins aux premiers regards comme nous nous connaissions à peine. J'étais peut-être jolie, mais jamais suffisamment pour moi-même, j'étais peut-être jeune et intelligente comme il disait, mais je n'avais pas l'impression d'être suffisamment intéressante. Sans parler du fait qu'il s'imaginait que je savais exactement ce que je voulais dans la vie, j'avais conscience de ce que je ne voulais pas, mais autrement, c'était le brouillard total. Certes, à l'exception de mon obsession pour le mannequinat, j'étais bien loin d'être en contrôle sur ma vie.

- Si penser tout cela vous fait plaisir, je suppose que cela peut me convenir, répondis-je. Mais je n'ai pas exactement l'intention de laisser quiconque se mettre en travers de mon chemin en ce qui concerne mes passions, affirmais-je.

J'étais sûrement loin de l'idée de la fille simpliste, puisque même ma simplicité se trouvait à être compliqué. J'ai peine à vivre avec moi-même parfois alors je n'imagine même pas ce que les autres peuvent penser à mon sujet et cette idée m'effraie complètement. J'aimerais parvenir à simplement me foutre de l'avis des autres, et même lorsque je démontre un détachement, cela vient m'affecter, ce que je me dépêche de ravaler pour ne pas le laisser paraître. Jim m'expliqua ensuite comment il connaissait ma patronne, où plus précisément les services qu'elle offrait en plus sous la table. Une fois de plus, je pouvais m’identifier à cette idéologie où l'apparence est parfois plus importante en rapport à la personnalité que tu dégages. C'était superficiel et pourtant, ce manque de confiance que j'ai fait en sorte que malheureusement, je vois cette connerie comme une vérité.

- Je ne vois pas ce qui a de mal à être avec une belle femme à vos côtés si elle consentit à la raison pour laquelle elle vous accompagne. Enfin, tu… Désolée.

J'inclinais doucement la tête suite à la question de Jim sur les raisons qui m'avait poussé à le suivre jusqu'ici, prenant en considération que je ne connaissais pratiquement pas. Une folie passagère sûrement ? L'insouciance. Je ne savais pas pourquoi j'avais accepté de le faire, simplement que mon corps entier n'avait pas demander à mettre fin à cet échange. Son étreinte au bar m'avait complètement prise au dépourvu, et bien que cela aurait pu paraître inapproprié pour certain, je n'avais pas eu cette impression. J'esquissais un léger sourire, partager entre l'idée d'être totalement franche et celle de masquer un peu les faits.

- Pourquoi m'avoir invité à te suivre au départ ? demandais-je, sans même répondre à la question de Jim.

Qui serais-je si je ne m'amusais pas avec les mots comme j'en prenais la mauvaise habitude depuis que j'étais petite. Certes, j'évitais une question par une question, bien que dans ce cas-ci, je n'avais fait que lui retourner sa propre question.

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Plus je passais du temps avec la jeune et belle Ana, plus la tournure des choses, étaient assez étrange, j'avais l'impression depuis le début de notre rencontre au Lux, que nous jouions tous les deux au jeu du chat et de la souris, tandis que nous nous cherchions mutuellement, sans vraiment oser nous dévoiler entièrement, il faut dire que j'étais quand même un homme assez timide, même si je bossais pas mal dans le monde de la nuit, est que j'ai rencontré mille et une personne, du simple ouvrier à la haute société Moscovite ou autre, je dois dire que j'avais une certaine timidité en moi qui parfois m'empêche d'entreprendre des choses en main, il faut dire que même si j'évolue avec mon temps car je suis bien obligé, certaine chose dans mon comportement, sont resté j'ai l'impression bloquer à l'époque du bouclier et du fer. Il m'arrive parfois de regretter l'époque ou je servais la cours Impériale Russe, mais bon il fallait que je m'y fasse ce temps est maintenant révolus depuis presque six ans, et je devais m'adapter à mon nouveau style de vie, que cela me plaise ou non, comme dirait mes amis les humains : "Tu dois vivre dans l’air de ton temps".

Alors que nous discutions de tous est de rien, je voyais en elle qu'elle était animé par la rage de réussir, je pouvais voir dans son regard, cette rage qui l'habitait, je ne pouvais qu'être admiratif devant une telle détermination, surtout que de nos jours, les jeunes gens qu'ils soient hommes ou femmes, cherche à batire une réputation ou une carrière sur des scandales, ou encore grâce à des émissions de télé-réalité ou ils s'exposent devant le monde entier, en disant diverse ânerie de tous genre, voilà l'une des choses que je regrette d'avant, c'est que en 1650, au mieux ils auraient finis en prison au pire nous les aurions pendus sur une place publique. Mais alors que je continuais à parler avec la jeune et belle mannequin, cette dernière m'avais interroger sur le fait, de pourquoi et comment je connaissais sa patronne actuelle, avec un petit sourire un peu gêne je la regardais, j'ai fait appelle plusieurs fois à elle, pour qu'elle m'envoies des filles, pour que ses dernières m'accompagne à des soirées de gala ou autre. Alors que je lui avouais timidement, la jeune Ana, n'y voyait pas vraiment un véritable mal, à vouloir se montrer avec une jolie fille à ses côtes.

- Il est vrais qu'il n'y a aucun mal, car je ne pense pas à mal dans ce genre de situation, mais il y a des hommes, qui ne pensent pas comme moi, et ce à mon plus grand regret, eux tout ceux qu'ils souhaitent et veulent, c'est juste de profité au maximum de la fille, en essayant de l'impressioner avec leur comptes en banque est surtout en promettant ciel et terre, alors qu'elles n'auront rien de tous sa.

Ma voix avais légèrement changé, tandis que je continuais toujours à fixé Ana, je pris une gorgé de Vodka, avant que je lui pose la question qui me tracasse depuis un petit bout de temps, pourquoi m'avoir accepter de venir avec moi, dans mon bureau pour boire un verre et ensuite par la suite, me suivre, cet question, me trotter dans la tête depuis bien trop longtemps, et je devais en avoir le coeur net, alors que je lui avais posé la question, la jeune femme me répondit, elle me dit, qu'elle avait été prise au dépourvus est puis de fils en aiguille, le destin nous à mener jusque ici, sans trop réellement savoir où nous allions finir ce soir, est seul le destin nous le diras et confirmera, je dois dire que depuis que nous sommes ici, je n'avais pas quitté du regard la jeune Ana, j'avais l'impression de lui faire passer un scanner intégrale, tellement je la regardais avec un désire et hardeur, est je peux confirmer que je n'ai pas connus cette sensation depuis bien longtemps.

- Je suis donc honoré que tu es accepté de me suivre, ici et ce soir, je dois dire que j'ai agis d'une façon spontané et sans réellement réfléchir, j'ai vue que tu n'allais pas forcément au mieux de ta forme, alors j'ai voulus te réconforter un peu à ma façon, est surtout comment je pensais le plus judicieux, je suis donc un peu rassuré que tu ne l'as pas mal prit, et que tu as quand même accepter mon invitation ici pour boire un verre avec moi ce soir.

Plus je parlais, plus je m'approchais d'Ana, tous en essayant de garder une certaine distance, mais avec une certaine ambiguïté.

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Je ne pouvais pas m'empêcher de repenser à ce qui s'était passé sur le défilé un peu plus tôt, à cette façon dont j'avais réagit, puis la réaction des autres avec moi et j'arrivais presque à me dire que j'étais dans l'erreur et pas eux. Je devais chasser cette idée de ma tête, puisque pour une fois, j'avais sûrement fait un choix pour moi réellement et complètement. Beaucoup d'idées se bousculaient dans ma tête en ce moment et je ne parviens pas à y voir clair. Ma soirée devenait de plus en plus flou, cette substance que j'avais prise m'affectais d'une manière différente de ce que j'avais pu consommer dans le passé. L'instant présent était bien tout ce qui me semblait clair et là encore, je ne savais pas comment bien interpréter mes propres pensés.

Je sentais mon cœur débattre dans ma poitrine à la simple idée que je ne sois pas à la hauteur de ce qu'on attendait de moi. Mon regard s'était posé sur Jim qui nous servait des verres alors qu'il expliquait ce qu'il pensait de moi, par rapport au fait que je n'étais pas en couple ou autre ce qui sembla doucement me ramener à moi, chassant cette potentielle crise de panique que j'étais moi-même en train de provoquer. En discutant sur les raisons de sa rencontre avec ma patronne, j'étais resté surprise de voir la réaction de cet homme face à la compagnie féminine qu'offrait l'agence en dehors du mannequinat.

- Tous n'ont pas la même vision que toi, effectivement, mais les filles qui sont dans le domaine savent à quoi s'attendre, autrement, elles ne le feraient pas, affirmais-je à Jim. Et pour ma part, je ne crois pas parvenir à mener ce genre de vie puisque ça me semble irréel, superficiel, complétais-je.

J'esquissais un fin sourire à mon hôte avant de reprendre position dans le canapé lorsqu'il se joignit à moi, prenant le verre qu'il m'avait tendu par la même occasion. Son regard était plutôt présent sur ma personne ce qui d'une certaine façon m'intimidait légèrement étant donné que j'ignorais en réalité ces intentions. Maintenant que le sujet était mit sur table, je me trouvais peut-être vraiment naïve et insouciante de l'avoir suivi sans même savoir dans quoi je m'embarquais. Certes, il ne dégageait pas de mauvaises ondes, mais n'est-ce pas ce que tout le monde pense des tueurs en séries ? Et si j'étais la prochaine victime d'une longue série ? Voilà que je déraillais de nouveau avec de simples idées banales. Je lui retournais sa question pour savoir ce qui l'avait poussé à venir ici avec moi, le pourquoi il m'avait invité à le suivre dans les premiers temps.

- Et dis-moi, tu crois que ça va finir comment… tout ceci, répliquais-je, en soutenant son regard.

Il m'intriguait et m'intimidait en même temps, c'était plutôt étrange comme sensation, je devais l'admettre. Était-ce une mauvaise chose ? Je ne le savais pas encore, mais j'étais curieuse de le découvrir. Je me rapprochais doucement de lui avant de prendre une gorgée du verre qu'il m'avait servi pour finalement me lever doucement, un léger sourire aux lèvres. Je m'étais dirigé vers la baie-vitré, posant mon verre sur la table basse par la même occasion.

- Dis-moi Jim, pourquoi cet endroit ? Demandais-je. La vue vous à charmer ..? Ajoutais-je, tout simplement. Enfin ... t'a charmé, désolé.

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Au fur et à mesure que le temps avancé et défile cette jeune Ana m'intriguer de plus en plus, je voulais en savoir d'avantage sur elle et son histoire, j'ai sus rien qu'à notre premier rencontre au Lux, que quelque chose aller en découler, de cette rencontre si particulière. Nous voilà maintenant assis tout les deux dans mon joli appartement, situé en plein centre de la ville, avec une magnifique vue dégager qui nous permettaient à elle, comme à moi de pouvoir contempler cette ville si jolie et magnifique de nuit, avec ces immeubles et parc éclairé. Tandis que je nous avaient servis un verre chacun, nous discutions un peu de tout et de rien, je lui posé un peu des questions, pour en apprendre d'avantage sur elle, ses ambitions, ses convictions, je voulais vraiment tout savoir sur cette femme jusque au moindre secret, je sais que j'aurais pus usé de mon charme vampirique, pour lui soutiré toute ses informations, mais cela n'aurait pas était plaisant à mes yeux, j'aurais perdu tous ce côté charmeur, est puis le plaisir d'avoir un échange réel, est non un simple et banale interrogatoire avec des questions et des réponses, non je voulais plus que cela, je voulais un vrais échange entre elle et moi.

Mais la jeune femme, me posa aussi son lot de question, elle avait du caractère et cela ce voyais, ses questions était assez net et précise, elle voulait savoir depuis combien de temps, j'étais sur la ville, si j'avais une personne dans ma vie, puis une question intéressante tomba, la jeune et belle Ana, me demanda comment je connaissais son actuelle patronne, est puis surtout si je savais les activité annexe, qu'elle pratiqué ou demander aux jeunes femmes de pratiquer, bien entendus que j'étais au courant, est le pire de tout cela, c'est qu'elle demandait un prix plus qu'extravagant pour ce genre de service, mais bon que ne faut il pas faire pour être au bras d'une jeune et belle femme pour impressionner un pseudo monde mondain, qui te juge à tes moindres faits et geste, au moins à l'époque des Tsars c'était similaire, sauf que en cas de fausse manipulation ou d'un mot mal placé, envers une personne, dans le meilleur des cas c'était la disgrâce et le bannissement pur et simple, et dans le pire une mort longue et douloureuse, infliger devant toute la haute société.

- Tu sais, toute les filles, n'ont pas réellement le choix de faire ce genre de chose, ou encore elle sont mal informer de la véritable situation qui les attends, ont leurs promet un beau salaire, avec une soirée de rêve, mais hélas parfois les riches donateurs veulent beaucoup plus que la prestation initiale, est la il n'y a personne pour leur venir en aide, elles sont seul fasse à ses gens, et doivent obéir au doigt et à l’œil.

Mais alors que nous continuons de parler, je nous avais servi un deuxième verre chacun, je me déplacer donc un peu près de la jeune femme, tout en restant courtois et en ne paraissant pas grossier. Avec un petit sourire charmeur, je regardais la jeune femme droit dans les yeux, où aller nous mener cette soirée ? Va t'elle réussir à me charmer, ou c'est moi qui va avoir ce rôle ce soir telle un parfait vampire ? Pour l'instant je dois dire que j'étais assez mitigé quand à l'issu de la situation, ce n'était ni chaud ni froid, alors que je la taquinais un peu, la jeune femme, me regarder droit dans les yeux, en me demandant à mon avis comment aller ce finir cette soirée ? Ah la jeune femme me tester vraiment jusque au bout, j'adore, puis ensuite, elle me demanda en bonne enquêtrice pourquoi ici et pas ailleurs, j'allais encore passer un interrogatoire des plus corsé, mais j'aimais bien cela, elle me changeait de ma routine.

- Où cela vas nous mener ?C'est une très bonne question, nous verrons cela au fur et à mesure de la soirée ? Nous irons loin ou pas du tout, tout dépend de l'ambiance générale, mais bon nous sommes tout deux des joueurs, donc je pense que cela va être amusant. Sinon je suis venus ici, car j'adore la vue, est puis surtout l'endroit est magnifique je dois l'avouer pas vrais
?

Avec un petit sourire je regardais la jeune belle et douce.

Nouvelle opportunité

Assise un peu plus à mes aises dans le canapé, j'avais croisé ma jambe gauche par-dessus ma droite avant d'apposer un peu de ce cocktail, que m'avait préparé gentiment Jim, sur le bout de mes lèvres. En lançant le sujet de conversation sous les secondes activités de l'agence, où visiblement lui et moi ne partagions pas exactement la même vision des choses. Je ne voyais pas sous le même angle d'approche ce que faisait les filles comme extra concernant leur boulot, que ce que Jim percevait. Cependant, j'avais l'impression qu'il confondait la prostitution de rue, sous-payé à mon avis, à celle des escortes qui vivent pratiquement que de luxure. Bien qu'en y réfléchissant, la différence la plus flagrante me semblait être les raisons qui pouvaient pousser ces jeunes femmes à faire ce qu'elles font, ou du moins de mon point de vue à moi.

- Je ne partage pas ton avis, Jim. Je crois que ces filles ont fait le choix d'entrer dans cette vie, acceptant le pour et le contre de ce que cela peut impliquer. Mêmes que pour la plupart, elles prennent un malin plaisir à agir de la sorte. Elles ont conscience de ce qui pourrait arriver, mais choisissent de le faire malgré tout. On ne peut pas forcer quelqu'un à faire une chose qui ne lui plaît pas, affirmais-je.

Je me délectais par la suite de ce liquide dans mon verre, laissant mes mots s'analyser d'eux-mêmes. Mes dires me semblaient légèrement abstraits, bien qu'ensemble, ils forment un tout relativement compréhensible. Je retournais de façon amusée le questionnement de Jim face à mon accord pour l'avoir suivi jusqu'ici. La vérité était que j'ignorais pourquoi je l'avais fait et pourtant jusqu'à présent, je ne regrettais en rien mes choix. Ma mère me disait souvent lorsque j'étais petite de ne jamais regretter quelque chose qui m'a fait sourire et je crois que cette chimie, cet échange entre lui et moi, ne me laissait pas entièrement indifférente. Ce petit côté élégant et mystérieux me faisait pencher vers le désir d'en découvrir davantage, alors que ce petit sourire en coin qu'il laissait entrevoir à l'occasion, le rendait un peu plus attirant. Je devais admettre avoir un faible pour les beaux sourires, après tout, je ne suis qu'une femme. Je me redressais doucement face à lui, maintenant mon peignoir fermé alors que je me retrouvais à une proximité presque troublante, en attente de sa réponse sur sa propre question. Au moment où il avait entrouvrit la bouche pour répondre, j'avais mis fin à cette courte distance qui séparait nos visages afin de me diriger vers la fenêtre, offrant une vue splendide sur la Nouvelle-Orléans. Je n'avais pas pu m'empêcher de lui demander ce qui l'avait poussé à venir ici, alors que je ressassais dans ma tête toutes ces vues qu'il aurait sûrement pu avoir.

- Tu es ce genre d'homme alors… Joueur à l'occasion, m'empressais-je de dire, en relevant le regard vers lui. Intéressant.

Alors qu'il s'était finalement rapproché de ma position, j'esquissais un fin sourire. Il aurait très pu rester assied, puisque la distance entre le canapé et la fenêtre restait tout de même une distance respectable pour avoir une discussion. Retournant légèrement le haut de mon corps vers lui afin de répliquer à cette raison qu'il m'avait donnée pour avoir prise cette vue.

- Tu apprécies donc la vue que tu as… De cet appartement, avais-je rétorqué. Avec raison, si tu veux mon avis, mais Los Angeles ou Miami, Paris, Dubaï ne te semblait pas mieux, que la Nouvelle-Orléans. Non, pas que je juge, simplement… Il y a tellement d'endroits dans le monde.

Je mordillais ma lèvre nerveusement, après analyse de ma remarque sur son choix de ville, qui étais-je pour juger. Après tout, j'avais fait des milliers de kilomètres pour un boulot qu'à présent je ne savais même plus si j'avais envie d'y rester. J'étais impulsive et souvent insouciante, j'en avais conscience alors que pourtant, je ne changeais rien à mes habitudes, peut-être avais-je besoin de vivre une catastrophe pour comprendre réellement l'importance de cette vie.

- Tu sais quoi, oublies ce que j'ai dit. Tu as bon goût en matière de vue, me contentais-je d'ajouter.

Je jouais nerveusement avec le cordon qui maintenait mon peignoir fermé alors que je restais face à lui, incapable de dire ce qui se passait dans ma tête. Je ne savais pas dire si cet homme m'intimidait ou s'il m'attirait simplement, rien n'est simple avec moi lorsqu'il s'agit de comprendre ce que je dois ressentir. Mon regard avait fui le sien l'espace d'un cours instant pour rompre cet échange de regard complice.

- Ne devais-tu pas assurer le bon déroulement de la soirée ? Demandais-je. Au club de ton ami, précisais-je ensuite.

Je m'étais légèrement avancé vers lui, un petit sourire en coin, avant de simplement le contourner tranquillement. J'avais opté pour déchiffrer ce petit jeu qu'il avait sous-entendu un peu plus tôt, qui serais-je pour ne pas laisser ma curiosité prendre le dessus.

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Interruption dans votre écrit.

Une soirée énigmatique entre les deux inconnus, quelques rebondissements et pourtant le pire reste à venir.

Les bagues des suceurs de sang permettant une protection dès l'aube possèdent un dysfonctionnement de nature imprévisible. Brûlures fréquentes, comportements irascibles sont les quelques caractéristiques de cette machination (vous pouvez jouer de votre imagination pour mettre votre personnage dans un état critique).

La nature humaine vouant une frénésie au pouvoir du sang et s'adonne à une mise en péril d'elle-même par différents comportements, comme la perte de mémoire spontanée, prête à mettre tous les moyens en oeuvre pour goûter à ce gout métallique. Les chasseurs seraient-ils dans un tourbillon de dégoût ? (Vous pouvez jouer de votre imagination pour mettre votre personnage dans un état critique).

L'interruption dure deux réponses chacun, seulement.

° CODAGE PAR DITA | EPICODE°

Alors que la soirée s'annoncer parfaite, j'avais rencontre une jeune femme au Lux, que j'avais engager indirectement pour animer une soirée que j'avais organiser cette nuit, notre rencontre c'est fait totalement par hasard au détour des WC, puis je trouve que tout c'est enchaîner assez rapidement, une discutions dans mon bureau, puis un accrochage avec un agent de sécurité heureusement que j'ai pus la rattraper in-extremis pour mettre les choses au clair, ensuite je ne sais par quel miracle j'eu une dose assez importante de courage pour proposer à la jeune Ana de me suivre dans l'une de mes habitations en ville, pour essayer de faire plus ample connaissance, nous voilà enfin arrivé dans mon antre, alors que la jeune danseuse s'installer confortablement dans mon canapé, je remarquais que son regard ce porter sur la baie vitré avec la magnifique vue qu'elle offrait sur la ville durant une belle nuit étoilé. Alors que nous discutions en cherchant à nous connaître un peu plus, plus le temps passer je ressentais une attirance envers la jeune femme, je ne serais dire ni comment ni pourquoi mais quelque chose en moi me pousser vers elle, pour la découvrir un peu plus, il faut dire que son style et sa gentillesse que je pouvais ressentir aider pas mal non plus je pense.

Alors que je la taquinais un peu sans grand étonnement la jeune répliqua sans ce faire attendre ou prier un petit rire béant s'échappa de ma bouche, cela faisait bien longtemps que je n'avais pas ricaner ainsi, d'habitude un petit rire ou un sourire s'affichait mais n'y plus ni moins, alors que la jeune femme continua son interrogatoire en essayant de chercher à comprendre pourquoi je m'étais installé ici, est pas dans une autre grande ville, c'est vrais que c'était une question intéressante, mais je ne souhaites pas être dans une grande ville pour flamber, est être entouré de gens qui n'aillaient m'aimait que si j'arrivais à flamber tous mon argent dans des choses futiles ou encore dans des fêtes extravagante comme durant l'époque de Caligula, je dois dire que je n'étais pas adepte de ce genre de festivité, j'aimais plus les fêtes sobre et entre ami, au moins je pouvais profiter pleinement de tout le monde sans avoir à aller d'un bout à l'autre pour voir tout le monde.

- Je sais que j'ai parfaitement une bonne vue, car avec tout ceux que j'ai autour de moi me le confirme ne fait que confirmer ceux que je sais déjà, en plus je dois te dire une chose, plus je t'observe est plus je me dit que j'ai vraiment de la chance de t'avoir, ici car tu es vraiment une fille d'une très grande beauté, si je devais te comparer à un chef d'oeuvre, j'aurais pensé à la Joconde, une femme qui au premier abord parait si simple, mais avec une beauté qu'ont ne peut vraiment mesurer, croit en un amateur d'art. Est sinon pour te répondre non j'ai étais la pour lancer le truc, mais maintenant ils sont tous grand, majeur et vacciné comme ont à tendance à dire, est puis s'il y a eu des soucis au Lux, je les réglerais demain matin, il y a pas le feu au lac, au pire ils peuvent me téléphoner .

Alors que mon regard ce porter sur ma baie vitré, je pouvais voir le soleil sortir peu à peu, quand soudain une forte douleur me prit au niveau de la poitrine, comme si mille pieux en même temps, me taper sur mon coeur inerte, je m’asseyais d'un coup, je dois dire que depuis je suis vampire jamais une telle sensation ne m'avait fait, de la sueur émaner de moi, comme si le soleil me taper directement à moins de cinq mètre de moi, je regardais Ana sans vraiment savoir ceux qui ce passer réellement, mais une chose encore ce passer, car plus le temps passer, plus je sentais le coeur d'Ana battre est plus son sang m'attirer, alors que j'étais dans le fauteuil mes griffes ce planter dans le cuire, j'essayais de me contenir tant bien que mal, car c'était vraiment la premier fois que je ressentais une telle chose, est plus je luttais est plus j'avais envie de passer à l'acte.

Nouvelle opportunité

En toute sincérité, je n'avais pas exactement prévu terminé ma soirée en mauvais terme avec l'agence, ni même de quitter l'événement au bras d'un homme pour quelle raison que ce soit. À dire vrai, je crois que je m'étais fait une idée un peu trop superficielle de ce que devait comprendre l'agence, malgré les zones grises lors de mon entrevue. Quoi qu'il en soit, durant la soirée, j'avais été mené à parler avec Jim, qui gérait la nouvelle boite de nuit en ville, du moins de ce que j'avais cru comprendre. Il me semblait fort sympathique, sans oublier qu'il est plutôt séduisant. Si mon meilleur ami était là, il m'aurait sûrement dit que j'avais de sérieux problème à me faire charmer par la tenue que pouvait avoir un homme, mais dans ce cas-ci, il y avait ce petit accent qui ne me laissait pas entièrement insensible. Cependant, j'y étais pour affaire professionnel, j'aurai manqué à mes responsabilités à laisser mon jugement interféré à tout ça. Bien qu'en y repensant, des gens m'avaient vu quitté à son bras, peut-être avais-je déjà brisé cette figure que je m'étais tenté de préserver. Le regard perdu par la fenêtre, j'avais profité pour complimenter l'hôte de la maison pour la vue qu'offrait son appartement sur la ville haute en festivité qu'était la Nouvelle-Orléans.

Une brève conversation qui se tourna en un brin d'humour, ce qui avait sembler détendre l'atmosphère suite à ce mini-interrogatoire qu'avait Jim en tête afin d'apprendre à mieux me connaître. Ce serait plutôt dommage de tout déballer en l'espace d'une heure, ça briserait tout le plaisir de faire la rencontre de quelqu'un. Et puis quelle femme n'aimait pas être complimenté par un si bel homme après tout, je ne suis pas dupe. J'esquissais un fin sourire à ces belles paroles, alors que je ne faisais qu'encore et encore faire languir le désir qu'il semblait éprouver de ma personne. Mon regard croisa doucement le sien avant que je ne complète l'histoire du club, en acquiesçant d'un faible signe de tête. M'apprêtant à argumenter, je fis un léger pas vers l'avant lorsque Jim se laissa tomber en position assise dans le canapé non loin derrière, comme s'il allait faire une crise cœur.

- Jim, est-ce que tout va bien ? Demandais-je

Mes battements de cœur semblaient d’accélérer, comme si j'avais été submergé par plusieurs émotions à la fois, bien que la situation ne m'amenait pas à me sentir ainsi. Un léger froncement de sourcil se détailla sur mon visage alors que je me rapprochais de Jim, voulant laisser de côté mes envies qui me tiraillait de l'intérieur. Je ne pouvais pas craquer une nouvelle fois, déjà ma consommation de poudre était un échec à mon processus de guérison, voilà que cette envie de voir le sang coulé le long de ma peau me revenait. Ce besoin d'étouffer mon mal-être psychologique par la douleur physique, ce n'était pas le moment, je devais combattre cette envie soudaine.

- Attends, je vais t'apporter un verre d'eau, finis-je par ajouté.

Je m'étais aussitôt dirigé dans la cuisine afin de lui préparer un verre d'eau afin de le ressaisir légèrement bien que j'ignorais ce qui lui arrivait. Ma respiration se faisait doucement saccadée, comme si mon corps quémandait un besoin à combler et que je me refusais à lui donner. Je tendis lentement le verre à Jim afin de l'aider, mais l'expression faciale de mon hôte semblait différente, même si je ne pourrais complètement le décrire.

- Non, mais t'es sûr que tu vas bien ? Tu as le teint pâle d'un coup...

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Alors que tout ce passer à merveille, je passais une soirée plus qu'agréable en charmante compagnie, dans mon immense loft, avec une vue sur toute la ville, parfait pour crée une belle ambiance, propice pour que mille et une chose ce passe, alors que je sentais un léger rapprochement avec la belle et douce Ana, un mal intérieur me prit subitement, comme si le destin lui même ne voulait pas que je connaisse le bonheur un seul instant, je sentais quelque chose bouillir en moi, comme si mon sang a était mit dans un chaudron ou alors que mon corps entier, fut placer sur un bûcher de feu ardent, mon rythme cardiaque s’accélère, comme si mon pauvre coeur centenaire aller sortir de mon thorax, pour finir sa course dans mon salon devant les yeux de la jeune et belle danseuse, je dois dire que je ne savais pas ce qui m'arrivait, car je n'ai jamais subis une telle chose auparavant, enfin pas que je me souvienne ou que cela m'ai marquer suffisamment pour que je puisse m'en rappeler, je vacillais comme si tout mon être qui m'habiter voulais quitter mon corps, comme si mon corps et le reste n'était plus compatible est que mon vampirisme chercher un autre hôte pour ce réfugier, car je ne lui correspondais plus vraiment, est qu'il voulait donc me laisser mourir ainsi tout seul dans mon coin.

Alors que je m'étais assis, Ana, me demandais comment j'allais, je dois dire que mes sens était brouillé est je percevais très peu ce qu'elle me disait, je comprenais vaguement qu'elle me demandait comment j'allais, est que si je voulais un verre d'eau, mais je ne l'écoutais pas vraiment, je luttais en moi, en me fort intérieur à ne pas sortir mes canines est à lui sauter dessus, alors qu'elle partait dans la cuisine pour me ramener un verre d'eau, je pouvais sentir d'ici ses battement de coeur, avec le sang qui s'écoule dans ses veines, j'avais comme l'impression d'entendre une symphonie qui m’appelais à lui sauter dessus, pour lui vider complètement son corps de son sang, est la laisser tomber vide et sans âme ici dans le salon, mais je devais lutter, je ne devais pas attirer l'intention sur moi, mais sauf que c'était un calvaire, car plus j’essayais de me retenir, plus la douleur était forte en moi, est je me tordais dans tout les sens, alors que je luttais tant bien que mal, voilà qu'elle était revenus avec son verre, d'eau, qu'elle me tendais, je pouvais sentir que quelque chose avait changer en moi, est il ne fallait pas longtemps que mon invité me fasse remarquer, que mon teint avait changer est que j'étais devenus aussi blanc qu'une paire de fesse qui ne vois jamais la lumière du jour. Alors que je la regardais de plus près, je pouvais pressentir que mes yeux avait changé de couleur, je regardais Ana comme un collégien devant une vitrine d'une boulangerie, mon souhait actuelle était de la croquer pour assouvir enfin cette pulsion sauvage que j'avais en moi, est ainsi calmer la bête, alors que je la regardais en détaille, je voyais que mes canines, commençais à ce sortir sans que je les avaient invité, mes doigts ce planter dans le siége en cuire, pour évité que je l’attrape par son cou si tendre, que je brise pour pouvoir la vider de son sang, alors que j'essaye de rester concentré, je lui répondis d'une voix saqua dé.

- Oui ne t’inquiète pas ça va, il m'arrive parfois de faire des crises comme ça, c'est comme une sorte de spasme, puis au bout d'un moment sa part, il faut juste que je sois assis, est puis dans cinq minute cela me passera, généralement ce genre de crise m'arrive quand je suis un peu stressé, mais t’inquiète pas pour moi, cet crise va me passer.

Je la regardais droit dans le blanc des yeux, mes yeux devaient me trahir, car je pouvais penser que je la dévorais du regard, mais bon tout devrait bien ce passer tant que je ne sentirais pas l’odeur du sang frais, est que ses brûles cesse aussi, avant de me rendre complètement dingue et incontrôlable.

Nouvelle opportunité

Se ressentis qui avait sembler prendre possession de moi petit à petit, me laissait un arrière-goût de cette dernière rechute que j'avais fait. Je n'aimais pas cette sensation, ce besoin qui me submergeait et surtout que je ne suis pas seule, ce qui me rendait encore plus mal. Le besoin de voir le sang longer ma peau, retirer cette pression dans ma tête qui me faisait sentir ainsi, je ne pouvais pas me le permettre en plus de ce qui s'était passé dans le bar plus tôt. Une vague de culpabilité s'en était pris à moi au moment où je réalisais que j'avais fait partir en fumée ce travail que je faisais sur moi-même depuis plusieurs semaines déjà. Le mouvement brusque de Jim pour s'asseoir dans le canapé m'avait fait sortir de ce monde de transe dans lequel j'étais en train de m'enfermer inconsciemment, quelque chose n'allait pas alors qu'il me disait que c'était normal, que parfois ça lui arrivait généralement quand il était stressé. Je m'étais donné l'autorisation de fouiner dans sa cuisine afin de trouver un verre pour lui ramener de l'eau, histoire de l'hydrater pour éviter un malaise plus grave. J'avais posé le verre près de lui, vu son teint pâle que je lui fis remarqué, mais l'avais échappé au sol bêtement, sursautant au resserrement de ses doigts dans les bras du fauteuil.

- Oh, désolée, je vais nettoyer… Commençais-je. Attends-je vais t'en chercher un autre, lançais-je, fuyant son regard.

Bien que je tentais d'éviter d'axer sur le fait qu'il me dévorait littéralement du regard, au point où je ne savais plus si je devais être amusé ou inquiète. Je m'étais dépêché de ramasser les bris de verre au sol avant de me diriger à nouveau dans la cuisine, où je les avais jetées, remarquant par la même occasion que je m'étais coupé. J'avais longuement regardé ma plaie ouverte, me perdant vaguement dans mes pensées, je saignais et je ne l'avais pas fait exprès, était-ce mon subconscient qui avait fait en sorte que cela arrive pour soulager cette idée noire qui avait envahit mon esprit ? Je secouais la tête avant de faire une légère pression sur ma plaie, pour arrêter le saignement, pour me permettre de continuer ce que je faisais. Je me retournais pour prendre un autre verre, me retrouvant face à face avec Jim qui me fit lâcher un cri strident de surprise.

- Ah ! Avais-je crié. Jim, tu m'as fait peur putain ! Ajoutais-je aussitôt, alors que mon cœur avait manqué quelques battements.

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Voilà que la pression monter en moi, je sentais que les pulsions les plus enfouis que j'avais en moi me démangeais, oui j'avais envie de tout casser, est de lui vider son sang, là j'avais l'impression d'être revenus 740ans en arrière, oui ce moment où je me suis fait transformer, jamais je n’oublierais ce jour, car à ce moment précis, les champs autour de moi était imprégner de sang, des cadavres gisé de partout, je me comportais telle un drogué, je voulais goûter à tout, mais je dois dire que la premier semaine était un festin, tant de mort, tant de sang, que du bonheurs, mais après j'ai appris avec le temps à contrôler mes pulsions, mais là je dois dire que j'étais étonné, assis dans mon fauteuil, mais le pire dans tout ça, c'est qu'il y avait la jeune Ana dans l'appartement avec moi, je pouvais sentir les battements de son coeur, son sang chaud qui appelle mes crocs, je refrénais mes pulsions mais c'était difficile, je luttais contre ce mal intérieur, qui me rongeais, Ana en voyant ma situation s'aggraver alla rapidement dans la cuisine pour me ramener un verre, d'eau tandis que j'étais crispé je lui lâchais un petit sourire, mais alors que j'allais attraper le verre, Ana le fit tomber, est en voulant le ramasser, elle ce coupa.

Alors que mes yeux luisant la regarder, l'odeur du sang remonta en me donnant une claque dans le nez, du bon sang frais et chaud, en plus de cela je pouvais dire avec précision qu'elle était une donneuse universelle O-, leurs sang avait une odeur singulière, je me connaissais est la lutte était de plus en plus difficile, je sentais mon air saqué, telle un petit chien après avoir courus, alors que Ana ce dirigeait vers la cuisine, je décidais de lui emboîter le pas, alors qu'elle était perdus dans ses pensées, je me trouvais derrière elle, à regarder son beau cou, qui s'offrait à moi, mais si je lui mordais le cou, elle ne sentirait presque rien, cela lui fera mal sur le coup, puis cela la passera, alors que j'allais cédé à la tentation, elle ce tourna à ce moment précis, elle lâcha un cri strident, en précisant que je lui avait fait peur, je restais bloquer pendant quelque seconde, qu'allais-je faire ? La mordre, en lui vidant de son sang, ou bien refouler mes pulsions vampirique, le dilemme était lourd de sens, est il fallait que je fasse quelque chose, je décidais donc de m'approcher d'Ana, en la saisissant par la taille, avant de l'approcher de moi, est en lui donnant un long baiser, puis je reculais.

- Je..Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'as prit, mais depuis le début je sentais un truc qui m'attire chez toi, est là j'ai succombé, je suis désolé, je ne pensais pas à mal.

Je regardais Ana d'un air inquiet, enfin surtout de sa réaction.

Nouvelle opportunité

Cette pulsion, qui m'avait, envahit en un claquement de doigt, ce besoin de trouver mes repaires alors que le reste du monde s'effondrait autour de moi, du moins psychologiquement parlant, tout cela semblait avoir pris la porte aussi rapidement que cela avait fait son entré, ne laissant qu'un sentiment de mal-être et culpabilité. J'avais rapidement chassé cette idée de mon esprit en prenant conscience de l'état étrange de Jim, voulant l'aider, j'avais simplement merdé une fois de plus en me blessant bêtement. Alors que j'avais pris la direction de la cuisine pour ramener un autre verre d'eau à l'homme qui m'avait conduite dans cet appartement, bien trop luxueux pour mon mode de vie, j'avais été pris par surprise lorsque je lui avais fait face en me retournant. Ce bruit qui avait frayé son chemin hors de ma bouche, m'avait moi-même surprise à dire vrai. Le silence qui s'en était suivit avait été un peu étrange à dire vrai, alors que je reprenais mon souffle face à ce saut qu'il m'avait fait faire en me suivant sans bruit. Cependant, j'avais un peu plus que figée au moment où il m'avait agrippé par la taille pour trouver un chemin entre ces lèvres et les miennes. J'étais prise de cours, une fois de plus ce soir face aux hommes de cette ville, avais-je été naïve de suivre cet homme jusqu'ici ? Peut-être. Bien que je n'avais pas pour autant ressentit un manque de respect de la part de Jim sur l'instant, ni même avec ce baiser, bien qu'étrangement choisi. Ces excuses me sortirent rapidement de ce questionnement sur moi-même ainsi que face à cet homme qui me faisait face actuellement. Je me pinçais doucement les lèvres, avant de les humecter faiblement du bout de la langue.

- Je … Euh, commençais-je sans réellement parvenir à trouver des mots qui faisaient du sens. Tu n'as pas à t'excuser… C'est simplement que… Je ne m'attendais pas à ce que tu … Enfin voilà, bafouillais-je doucement.

J'avais esquissé un fin sourire, légèrement timide, je me retrouvais sans barrière devant Jim et je ne savais pas si réellement cela me plaisait. J'étais vulnérable à la suite de cette soirée chaotique, et Dieu seul savait comment j'avais tendance à faire des choix qui m'attirait bien des regrets par la suite. Malheureusement, je n'avais pas exactement les idées claires en ce moment, donc pourquoi me raisonner moi-même sur quelque chose qui ne fait aucun sens pour moi actuellement ? J'avais levé le regard vers Jim, comme j'avais un peu fui le sien après ce baiser qu'il m'avait agréablement volé quelques instants plus tôt. Un petit sourire s'était dessiné à la commissure de mes lèvres avant que je ne mordille faiblement ma lèvre inférieure. En me donnant un petit récapitulatif rapide de la soirée, je devais admettre avoir mis l'huile sur le feu avec Jim, puisque j'avais compris rapidement que physiquement parlant, je ne semblais pas lui déplaire et j'en avais joué un peu, bien qu'il soit resté des plus poli et respectueux durant la soirée, ce baiser ne se voulait en rien déplacer et d'une part, je pouvais facilement le croire. Et puis j'étais tout de même vêtu de sous-vêtements assortit rouge recouvert d'un petit peignoir en dentelle à peine opaque. Je devais admettre que je n'aidais sûrement en rien ma cause en ce moment, avant de paniquer au bar comme je l'avais fait, j'aurais pu m'habiller convenablement.

- Je me sens un peu… Stupide en ce moment, avouais-je, légèrement trahis par le teint rosé de mes joues.

Malgré ce petit recul qu'il avait eut, la distance entre nous était resté très minime, donc peut-être qu'intérieurement, je ne me sentais pas réellement inconfortable face à cette situation.

- Bien que je ne pense pas ce que ce soit à sens unique? Ajoutais-je, plus bas.

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