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Since 1864 | Katherine

Sujet: Since 1864 | Katherine    Dim 17 Mar - 10:51
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L’alcool, c’est de l’eau qu’ils disaient. Oui, mais non pas vraiment, en tout cas pas en tant qu’humain. Quand il était vampire, il pouvait boire durant des heures sans arrêter sans qu’il y ait d’effets ou très peu, sa tolérance à l’alcool était impressionnante. Durant des années ça avait été comme cela donc forcément, il c’était habitué à cette résistance. Il avait pris l’habitude de pouvoir boire sans se soucier des conséquences, déjà de base, il ne pensait pas aux conséquences, mais sur ce point c’était encore moins le cas. Alors oui, c’était devenu une habitude de pouvoir enchaîner sans rien. Mais depuis qu’il était redevenu humain ce n’était plus vraiment le cas, loin de là. Cela faisait des années maintenant qu’il avait perdu son vampirisme, mais il continuait toujours à essayer, il se disait que plus on buvait plus on buvait, plus on résister. C’était des belles conneries. Ils buvaient souvent, très souvent même eh bah, il ne tenait pas plus qu’avant, pas du tout même. Mais il continuait tout de même.
Il était au Rousseau depuis un moment déjà, il ne savait pas combien de verre il avait bu, il avait arrêté de compter à un moment donné clairement. Ce n’était plus utile à un moment donné et il avait perdu le fils aussi. Mais il était bien, il n’était pas bourré, il était bien. C’était vraiment l’excuse pourri ça pour ne pas dire qu’on avait clairement quatre grammes dans le sang. Il finissait son verre d’une gorgée alors qu’il laissait son regard posé dans celui-ci qui était bien vide et pendant deux secondes, il se demandait s’il en reprenait un ou non. Mais non car le bar fermé donc il c’était fait avoir. Il se levait alors en sortant du bar, la nuit était tombée depuis longtemps et tous les bars étaient fermés donc il décida de rentrer chez lui. Au moins il avait ce qu’il fallait. Il marchait dans les rues de la ville heureusement qu’il connaissait la route par cœur pour rentrer, mais d’un coup.
-Damon.
Il se retourna d’un coup et quand il vit un homme non loin de lui, qui de visage ne lui disait absolument rien. Lui avait l’air de le connaître et à son air ce n’était pas forcément dans le bon sens, mais en tout cas pour lui ce n’était pas bon signe, pas du tout même. Il arqué un sourcil, il ne savait pas trop quoi faire pour être franc. Mais sa décision fut vite prise quand le visage de l’autre se transforma, rien que le fait de voir le sillon de ses veines sous ses yeux se faire voir, il comprit. Ce n’était pas la première fois qu’il se faisait attaquer, il n’avait pas que des amis dans le monde vampirique loin de là et cela se faisait bien ressentir. Mais la sensation qu’il avait quand ça arrivait c’était toujours aussi stressant. Il ne prit pas longtemps avant de prendre la décision, courir. Il n’avait pas d’autre choix qu’est-ce qu’il pouvait faire contre un vampire. C’était une bonne manière de faire descendre le taux d’alcoolémie dans le sang. Il aurait préféré ne pas avoir un vampire derrière le cul quand même. Il ne regardait même pas derrière lui, car de toute façon, c’était con, il devait le rattraper en deux secondes. Et se fut le cas quelques secondes plus tard, il se retrouver face à face avec le vampire. Il se stopper d’un coup, génial. Il se mit à rire d’un coup en le regardant.
-Fais toi plaisir.
Il écartait les bras en arquant un sourcil, de toute façon s’il mourait, l’autre deviendrait humain ce qui était la seule chose qui le rassurait.

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Sujet: Re: Since 1864 | Katherine    Ven 22 Mar - 14:18
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Damon & Katherine

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Vouloir être discrète était une chose, réussir dans ce domaine était une autre. Se préparant à rassembler ses troupes, Katherine ne pouvait qu'afficher à la maître d'hôte, un large sourire satisfait. "Qu'est-ce qui vous met de si bonne humeur, mademoiselle Katerina?" Demandait-elle de son air le plus innocent, cette vieille dame avait une place précieuse dans la vie de la vampire qui pourtant, ne connaissait pas même la valeur d'une vie humaine, du moins... Autre que la sienne. Devant ce grand miroir, elle s'avançait pour lui faire face avec un cintre à la main, agrippant une fine robe noir qui, ne ressemblait pas tellement à la Petrova qui avait donné son dernier souffle à Mystic Falls, c'était.. Une renaissance, tout le monde y a droit, après tout. Plissant ses lèvres, elle détaille sa tenue et tourne légèrement son visage pour offrir un regard à la propriétaire, qui était.. Également son pantin. "Aujourd'hui est un grand jour, Mrs Robinson. Vous souvenez-vous de mon vieil ami, dont je vous ai si gentiment parlé?" Son regard, se tournait à nouveau face à la glace dans un silence dont seule la reine était capable de comprendre son sens. "Je l'ai enfin retrouvé" se murmurait-elle à elle-même d'un sourire mauvais. Elle ignorait encore si les deux frères étaient de retour, seulement un d'entre eux avait été vu la veille par un de ses sbires, c'est comme ça que Katherine se cachait tout en ayant une longueur d'avance comme toujours, cette ville était bondée de jeune vampire prêts à faire leurs preuves pour satisfaire un alpha, et cette fois et comme toujours, elle était le leur, et ils savaient déjà tout des frères Salvatore, tout en ne sachant rien sur Katherine, ni même son nom, son histoire, c'était plus prudent, pensait-elle.

L'un deux, avait déjà prit une longueur d'avance sur elle, ayant suivi du regard l'humain tant recherché, il avait passé la journée entière à scruter ses faits et gestes pour ne pas le perdre de vue et ne pas décevoir la vampire sur qui il craquait secrètement, ces jeunes vampires.. Assez bête pour penser qu'ils pouvaient cacher leurs émotions à la reine de la manipulation. Cependant, ça faisait ses preuves. Rapidement, Katherine avait rejoint le QG, le Rousseau était l'endroit idéal pour que ces jeunes vampires se retrouvent pour profiter de leurs soirées et éventuellement finir dans le même cas que lui, Damon, qu'elle détaillait d'un sourire mutin alors qu'elle était tapie dans l'ombre, au fond de la pièce autour de cette table ronde ou ses sbires un peu trop éméchés se battaient en paroles, sans doute pour l'impressionner, sauf qu'elle n'écoutait qu'à peine leurs vilenies, toute son attention était portée sur son ex conquête qui, soudainement quittait le bar. Inutile de parler, l'un d'eux savait déjà ce qu'il avait à faire, un seul regard et le vampire s'en allait afin de suivre Damon et d'en faire sa proie numéro une. Suivant le mouvement quelques minutes après, Katherine se levait en prenant appui sur l'épaule des deux sbires qui l'entouraient. "Messieurs, j'en ai assez entendu pour aujourd'hui." C'est tout. Elle n'avait pas besoin de plus grande justification pour s'en aller, elle quittait le lieu avec un large sourire machiavélique qui exprimait bien toutes ses intentions.

Lorsqu'il se trouvait entre les griffes du vampire, la Petrova ne pouvait s'empêcher de savourer l'instant, la vue de l'ancien ténébreux vampire en train de courir pour sauver sa peau, c'était digne d'un sketch qu'elle pouvait se revoir à l'infini. Mais la scène avait assez durée, lorsqu'il était prêt à se rendre, et que le vampire n'avait pas le sens du contrôle, il n'allait sûrement pas refuser une telle offre. Arrivant à vitesse vampirique derrière l'humain, elle laissait sa douce voix le surprendre. " Ca suffit pour aujourd'hui, Tony. " C'était assez pour attirer l'attention de Damon qui, re dévoile son visage à la Petrova après autant de temps. Un étrange frisson parcourt son échine à la lueur de ses yeux, mais son deuxième côté ne pouvait s'empêcher de jubiler en voyant sa vulnérabilité. Elle penche sa tête sur le côté et détail de bas en haut la silhouette de l'humain. "Je ne te pensais pas si faible, Damon, mais les choses changent." D'un fin sourire, elle se mit à le contourner, son index suivant son déplacement se glissait contre son vêtement, elle se positionne près de son chien de garde en gardant son regard rivé vers ses céruléennes. " J'espère qu'au prochain épisode, tu te mettras finalement à genoux à supplier ton maître. Qui pour rappel.. N'a jamais été autre que moi." Le bruit de ses talons raisonne dans la rue tandis qu'elle s'approche de lui, brisant cet écart pour déstabiliser l'humain de cette proximité, son visage proche du siens, elle vient frôler la fine peau de sa joue avec ses lèvres pour rejoindre le creux de son oreille afin de lui susurrer : "Allons Damon, tu sais aussi bien que moi, que je suis là pour toi."
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Sujet: Re: Since 1864 | Katherine    Dim 24 Mar - 10:34
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Damon aurait pu courir encore longtemps pour éviter de se faire bouffer, car là, il n'y avait pas d’autre mot, le gars qui était devant lui à cet instant n’avait qu’une envie, le vider de son sang immédiatement et sans aucune délicatesse. Ca avait l’air d’être un jeune vampire qui ne se contrôlait clairement pas encore. Il avait l’habitude qu’on veuille s’en prendre à lui, car au fur et à mesure des années, il avait fini par avoir beaucoup d’ennemis, énormément même. Mais que lui voulait ce jeune novice qui ne devait même pas le connaître. Certes il était humain ça se sentait, mais dans le bar, il y avait pleins d’humains. Alors pourquoi prendre le temps de s’en prendre spécialement à lui, le brun était sûr qu’il avait pu avoir une victime qui aurait franchement plus facile à avoir que lui. Alors pourquoi lui ? Il y avait quelque chose de bizarre. Et puis il en prenait du temps avant de l’attaquer. Il avait pas que ça a foutre lui en fait. Il baissait les bras, car il commençait à quand même avoir des crampes, corps faible d’humain qu’il détestait plus que tout au monde. Par moment, il avait envie de s’arracher la peau, de changer de corps, d’il ne savait pas quoi faire juste pour retrouver sa condition d’avant, il voulait juste retrouver son vampirisme. Et dire que durant une période, il c’était dit que, pourquoi pas être humain ça ne pouvait pas être si terrible que ça, ça pouvait même être bien. Il se voyait bien finir sa vie comme cela. Mais qu’il était con quand il s’y mettait, même lui, il s’en rendait compte. Des fois, il ne réfléchissait pas vraiment avant de prendre des décisions. Et là, là maintenant tout de suite dans son corps qu’il ne pouvait supporter, il le regrettait fortement d’avoir pensé cela à un moment donné. C’était le karma, il en était presque sûr. En tout cas, ce qui était certain était le fait que c’était de la faute de son frère qui en quelques jours lui avait arraché son meilleur ami, l’avait empêcher de finir sa vie comme lui le voulait et lui avait retirer son vampirisme. Comment dire que la haine qu’il avait pu ressentir durant des années et des années était revenu rapidement.
Damon allait dire quelque chose au vampire qui était clairement trop lent pour le brun qui commençait à trouver le temps long, mais il n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche qu’il entendit une voix, une voix qu’il connaissait que trop bien. C’était surprenant dans le fond ? Même l’enfer n’avait pas voulu de toi définitivement. Il se retourna vers toi en posant son regard sur ta personne. Tu étais loin de la personne qu’il avait vu la dernière fois, tu avais retrouvé ta grandeur d’auparavant ce qui n’était pas bon, mais alors pas bon du tout pour lui. Mais bien sûr il n’allait pas le montrer que ton retour le perturbé, même si tu revenais cent fois dans sa vie, il serait toujours autant perturbé et il pouvait te détester de lui faire cet effet. Il se mit à rire à tes paroles, un rire nerveux. Comme d’habitude, il se cacher derrière l’humour, c’était plus simple que de faire face à la situation.
-Tu veux que je te rappelle il y a quelques années ? Si je me souviens bien les rôles était inversé.
Il arquait un sourcil en te regardant de ses yeux océans avec un léger sourire au coin des lèvres provocateur, il était doué dans ce domaine. Il fallait dire qu’il avait eu un bon professeur. Tony, tu avais vraiment trouvé des chiens qui te suivais partout, c’était pathétique. Il avait été pathétique clairement, mais il n’avait jamais été à ce point-là. Heureusement d’ailleurs, ça n'aurait pas été possible. Il te suivait du regard quand tu lui tournais comme cela autour, il se sentait comme une proie entre les griffes d’un rapace. C’était bizarre comme sensation. Quand tu reprenais la parole, il roulait des yeux en riant.
-Ne prends pas tes rêves pour une réalité Pierce.
Il sentait son cœur commençait à battre d’une manière plus rapide et chaotique. Il détestait être un humain, c’était quoi ce corps qui le trahissait à chaque fois sérieusement. Il savait que tu entendais, il n’était pas con non plus mais il faisait comme si de rien était. Comme si ça ne lui faisait rien.
-Tu te trompes de frère là.
Dit-il alors en arquant un sourcil à cet instant tout en ayant un sourie au coin des lèvres, si tu voulais jouer lui aussi il savait jouer. Il baissait légèrement son visage en tournant son regard vers toi avant de murmurer à son tour.
-Tu arrives trop tard, Katherine, ta place a été prise.

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Sujet: Re: Since 1864 | Katherine    Dim 7 Avr - 16:10
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Damon & Katherine

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Rien n'avait changé, malgré sa vulnérabilité le mystérieux Damon gardait ce petit côté insolent, Katherine pensait surtout qu'il avait un petit ego fragile, c'est d'ailleurs tout ce qu'il lui restait. Elle le voyait comme un pantin, et une chose était certaine ;  elle allait s'en jouer. Comme des siècles avant, Damon allait redevenir son petit jeu dont elle ne pouvait se lasser que si le beau Stefan ne refait lui aussi son apparition. Son faible pour le cadet n'avait pas changé, mais puisqu'elle était visiblement destinée à se coltiner l'ainé, elle pouvait faire avec, il était tout aussi amusant voir même plus que Stefan, c'était un fait. Bien que, les quelques secondes en sa présence, et ses dires l'ennuyaient déjà, la belle brune riait presque au visage de notre vampire ténébreux qui n'était plus qu'une distraction à ses yeux, en 1864, Damon était déjà une distraction face à son frère, et le plus triste pour lui, c'est qu'il l'était encore et toujours, après tout, il n'y avait que cette faible Gilbert capable d'aimer un vampire aussi irascible, niais et ennuyant. Ses réponses manquaient totalement de répartis, ça pouvait se ressentir sur le visage de la Petrova qui se sentait plutôt peinée en ayant un droit vip à ce petit spectacle.


Seulement, autant Damon n'était plus du tout en mesure d'atteindre la vampire, s'il y avait bien une chose qu'elle ne supportait pas, c'était de mentionner toutes celles qui avaient réussi à gagner une place dans le cœur des frères Salvatore, lui retirant alors tout espoir d'encore réussir à entrer dedans pour le manipuler. C'était suffisant pour faire monter la colère de Katherine qui, brise cette proximité après un petit rire mesquin, en attrapant l'humain par son cou, ses doigts se resserrent autour et exercent une forte pression pour lui priver un instant d'air. Ses pieds quittaient rapidement le sol lorsqu'elle le relevait pour lui faire comprendre son mécontentement. D'un regard mauvais, Katherine grimaçait en voyant le visage de Damon après ses dires.


" Toujours aussi puéril dans ta façon de provoquer, pauvre Damon. Dans quel état ta tendre et douce Elena te retrouvera-t'elle encore?"


Elle serrait un peu plus sa poigne avant de tourner son regard vers son petit sbire qui t'attendais que de pouvoir percer la peau de l'humain avec ses crocs déchaînées, son regard était assez explicite, Tony s'avançait alors vers la scène et n'attend pas pour serrer son poing et le cogner contre l'estomac de Damon, tandis que Katherine relâche son emprise en même temps, faisant de l'humain une vrai balle à jouer. Son corps maintenant au sol, la Petrova peut enfin avoir toute son attention, le bruit de ses talons raisonne dans cette rue lorsqu'elle s'avance vers lui afin de reprendre une petite emprise. Son talon s'appuye sur son torse afin de la coucher totalement et remonte sur son cou, une sensation bien désagréable pour un humain, elle y mettait un peu de son poids et, le regardait d'un petit sourire mutin.


" Il n'y a pas de place pour deux, mon cher Damon, n'as-tu quand même pas oublié les règles du jeu? Je suis la seule qui ai le droit d'avoir mes deux tableaux favoris, toi, ennuyeux petit vampire, tu te rabaisses et tu te plies aux règles."


Katherine retire alors son talon de son cou et, se met accroupi à côté de son corps avachi sur le béton et le regarde, son indexe glisse sur son torse de bas en haut pour ensuite remonter jusqu'a sa joue et la tourner afin que ses si beaux yeux bleus percent les siens.


" Il ne faudrait quand même pas que tu prennes la position de ton frère et que j'use de la manipulation.... N'est-ce pas?"


Afin de lui offrir un aperçu de ses derniers mots, ses yeux hypnotiques se plongent dans ceux de Damon, lui faisant ressentir un début d'hypnose, le mettant déjà en état, avant de cligner des yeux et de s'arrêter, penchant la tête fièrement, en attendant sa réponse.
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Sujet: Re: Since 1864 | Katherine    Dim 14 Avr - 11:37
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Damon savait très bien qu’il n’était qu’un divertissement pour toi, tu lui avait déjà bien assez fait comprendre durant ses dernière années et il ne fallait pas être idiot non plus pour l’avoir compris et c’était quelque chose qui l’avait assez blessé c’était vrai, car il était celui qui jouait avec les gens et non avec qui les gens joués, il ne supportez pas que ça soit le cas. Car c’était franchement se ressentir plus bas que terre et c’était juste humiliant dans le fond. Et tu arrivais à le rendre dingue en quelques secondes. Il avait envie de t’encastrer dans le mur violemment, mais simplement, il ne pouvait pas. Cette nature qu’il détestait le plus haut possible l’empêcher de le faire. Personne ne pouvait s’imaginer à quel point il détestait être humain, c’était une nature qu’il avait tellement souvent dénigré, torturé que maintenant se retrouver dans cette situation, c’était la pire chose qui pouvait lui arriver. Et surtout le fait que ça dure aussi longtemps. Au début, il c’était dit qu’il allait trouver une solution et que ça n’allait pas durer longtemps. Il y avait cru pendant quelque temps, mais plus les années passé moins il y croyait, il ne voulait pas perdre espoir, car le jour où ça arriverait tout était fini, dont lui. Il ne le supporterait pas clairement. Il savait pertinemment que le fait de parler d’Elena n’allait pas te plaire s’il y avait quelque chose qui pouvait te faire sortir de tes gonds, c’était bien ça. Il avait comprit il y a bien longtemps que même s’il n’était qu’un jouet pour toi tu souhaitais toujours avoir l’exclusivité et quand ce n’était pas le cas ce n’était bon. Et il aimait te provoquer aussi clairement, parce que tu étais comme lui pour ça, votre impulsivité vous tuera un jour.
Et il en eu la preuve peu de temps après quand sans pouvoir rien faire il se retrouvait plaquer au mur avec ta main autour du cou qui lui coupait clairement presque totalement la respiration, c’était une sensation tout sauf agréable et pendant deux secondes, il ne put s’empêcher de grimacer, mais il ne voulait pas te montrer que cela le touché alors il ne le montra pas ça te ferais beaucoup trop plaisir de voir que tu pouvais lui faire du mal alors plutôt crever que de te le montrer et il ne put s’empêcher de rire même si cela ne ressemblait pas du tout à rire avec le fait que peu d’air passait dans sa trachée.
-Tu n’oseras pas.
Oui, il te cherchait complètement à cet instant, il voulait voir jusqu’où tu pouvais aller, même si clairement il pouvait prendre bien cher dans le fond. Il savait que tu ne pourrais pas le tuer, car tu avais déjà eu beaucoup d’occasions de le faire, mais tu ne l’avais jamais fait. Alors pourquoi maintenant, tu le ferais ? Il tournait son regard vers le gars qui était à tes pieds comme un lâche, et il lui lâchait un regard noir, en tout cas autant qu’il le pouvait vu sa position, et le fait qu’il ne touchait même plus le sol son ego en prenait un bon coup. Mais non il ne le tua pas ou même le mordre, il se contenta de lui mettre un coup-de-poing dans le venter ce qui le déstabilisa et comme tu le lâcha au même moment, il se retrouva par terre. Totalement sous ton emprise à cet instant pour dire vrai, car il ne pouvait pas faire grand-chose à cet instant, il était plus faible que toi, même quand il était vampire déjà il était plus faible alors en tant qu’humain ce n’était pas reprenait la parole après l’avoir fait tombé sur le dos, il avait l’impression d’être une poupée qu’on baladé dans tous les sens. Il avait l’impression qu’en deux secondes, tu pouvais le tuer, et ce n’était pas qu’une impression dans le fond, car un coup de talon et il n’était plus là. Tu pouvais lui tranché la carotide en deux secondes sans problème. Il ne put répondre et a quoi cela servirait de répondre dans le fond ? Par contre quand tu voulu le contraindre, il te laissait simplement faire comme s’il n’avait pas le choix, comme si tu commençais à prendre possession de son esprit plus il se mit à rire.
-Tu crois que vraiment que je suis si idiot que ça ? Vraiment ?
Il prenait de la verveine tous les matins, il avait été un vampire pendant tellement longtemps qu’il savait parfaitement comme faire, il n’était pas idiot non plus dans le fond. Il arquait un sourcil avant de se redressait et il disait.
-Tu as fini ?

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Sujet: Re: Since 1864 | Katherine    Mar 7 Mai - 4:04
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Damon & Katherine

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L’art de la manipulation était quelque chose que la belle Petrova connaissait que bien, maitre en la matière, elle avait usé de ce pouvoir à maintes et maintes reprises afin d’obtenir ce qu’elle voulait, même si, elle n’avait pas spécialement besoin de ce genre de petites manières pour arriver à ses fins, néanmoins, quelque chose lui échappait cette fois. L’humain n’avait pas l’air très réceptif à l’hypnose, de quoi bien frustrer Katherine qui était certaine de sa vulnérabilité face à la situation. L’expression de son visage montrait parfaitement la rage qui venait de s’installer, sa mâchoire serrée, ses yeux qui clignaient davantage inconsciemment, il n’en fallait pas plus pour parfaitement la provoquer. Se redressant, ses mains sur ses cuisses qu’elle frottait bêtement, elle regardait son petit sbire d’un regard assez explicite. Tony s’avance vers Damon, il faisait d’ailleurs trois fois sa taille, l’humain paraissait tellement fragile à côté de la carrure du jeune vampire. D’un geste de main, en s’abaissant, il soulève Damon afin de le remettre sur pied et son envie assez visible d’en faire qu’une bouchée le trahissais plus qu’il ne voulait le laisser paraitre, Katherine s’avançait jusqu’à une ruelle juste à côté, suivie par Tony qui, de son poing, tenais le col de Damon pour le trainer avec lui. Juste au moment ou il franchit l’entrée de la ruelle, la vampire se tournait afin d’attraper elle-même l’humain par l’arrière des cheveux et d’un rire sadique se met à lui pester : « Tu cherches à te montrer coriace, typique du Damon seul et sans défense, n’est-ce pas d’un pathétisme? Voyons si tu l’es vraiment. » Il ne fallait pas plus longtemps pour qu’elle retourne le corps du mortel, agrippant bien l’arrière de ses cheveux de ses doigts pour le pousser, sa tête à l’instant collée au mur, elle se déplaçait vers la droite tout en trainant son faible visage contre les briques, lui laissant alors d’affreuses traces, une douleur infinie due au frottement de sa peau.


«  Ce que tu peux être ennuyant. Toujours un rappel du pourquoi j’ai toujours préféré Stefan. N’est-il pas ennuyant, Tony? »


Disait-elle en tournant son regard vers le jeune vampire totalement aux ordres de Katherine, et même s’il ne le pensait pas, il n’aurait pas eu d’autres choix que d’acquiescer à ses dires. En écartant son visage du mur, un sourire mauvais décorait son visage en apercevant les cicatrices de son oeuvre, son visage tout griffé lui offrait une certaine satisfaction, se demandant jusqu’ou tiendra t’il en subissant les tortures de la reine des enfers.  


« Lorsque tu seras décidé à te secouer, bouger ton corps fébrile et te défendre, au lieu de rester avachi et simplement répondre avec des mots puérile à mes attaques, tu me feras signe, en attendant, t’affaiblir et  t’ôter cette dose de verveine serait un bon début pour que tu sois un bon petit jouet. »


Ses épaules haussées, elle ajoutait simplement : «  Un bon billet d’échange, pour attirer le plus beau des deux frères. »


N’étant pas loin de la demeure de Mrs Robinson, le petit plan de Katherine était déjà clair dans son esprit, Tony la raccompagnait jusqu’à l’entrée de la pension, trainant à nouveau l’humain qui, se retrouvait rapidement seule entre ses griffes, dans sa propre chambre, Damon était simplement attaché à une chaise, des chaines entourant son corps, la vampire s’asseyait alors sur lui à califourchon, la pièce était sombre, la seule source de lumière dans cette chambre froide n’était autre que la lueur de la pleine lune. N’hésitant pas à remuer légèrement son bassin pour frustrer sa virilité, elle approchait le bout de ses lèvres dans le cou de l’humain, laissant ses crocs percer ses gencives et s’allonger à vue d’oeil afin de laisser toute une trainée de morsures entre la fine peau de son cou et son épaule libérée de son haut, afin de le saigner et lui retirer la seule barrière entre lui et elle ; la verveine. Le silence rendait ce petit moment plus intense, peu importe s'il souffrait, la satisfaction de Katherine était à son apogée, son échine frissonnait au contact de la verveine, ses lèvres brulaient, ses joues se rosaient, et le bout de ses ongles, inévitablement, perçaient la peau fragile de l'humain, lui laissant ainsi de nouvelles traces sur les omoplates.

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Sujet: Re: Since 1864 | Katherine    Dim 12 Mai - 18:41
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Damon devait avouer qu’il était quand même fier de ne pas pouvoir se laisser contraindre aussi facilement, il savait que ça allait te faire rager facilement, il te connaissait tout de même énormément. Par cœur ? Peu être. En tout cas il pouvait déduire tes réactions assez facilement selon les actions qu’il allait faire. Et ça il savait que ça allait te faire sortir de tes gonds et il devait avouer que cette idée lui plaisait énormément. Pendant deux secondes, il c’était presque senti aussi fort qu’avant retrouver les sensations qu’il avait quand il était encore vampire ne serais qu’un instant était franchement jouissif pour lui, sa puissance lui manquait, le contrôle des évènements lui manquait, sa force, sa vitesse tout ce qui était vampirique lui manquait dans le fond. Il vivait très mal le fait d’être humain, et le fait de se sentir faible encore plus, alors le fait d’avoir pu ne plus ressentir cette sensation pendant un instant déjà c’était beaucoup pour lui, même s’il savait que derrière il allait le payer très cher clairement. Il en avait très bien conscience. Mais il s’en foutait, il allait assumer. Rien que la vision de ton visage déformé par la rage du fait de s’être fait avoir par un simple humain ça lui suffisait. Rapidement, il sentit le sol ce dérobé sous ses pieds sans qu’il puisse faire quoi que ce soit, et même s’il venait attraper les mains de son agresseur il ne put rien faire, sa prise était beaucoup trop forte et le fait de sentir son haut se resserrer autour de son cou, il sentit sa respiration se couper pendant quelques secondes avant de reprendre difficilement, il resserrait ses doigts autour des bras de ton chien dont il n’avait même pas retenu le prénom, il fallait dire ce n’était pas d’une grande importance dans le fond. Il allait sûrement finir par le tuer. Quoi que tu le laisserais faire ? Il avait presque envie de dire que non, mais dans le fond il te connaissait et il savait que tu pouvais avoir des pulsions par moment incontrôlable et il pourrait facilement en subir les conséquences. Ou même que lui ne se contrôle pas et finisse par le briser en deux clairement. La mort ne lui faisait plus peur depuis le temps, il avait déjà vécu de nombreuses années maintenant partir n’était plus une fatalité, mais mourir comme cela, il n’était pas sûr d’être prêt. Quand tu reprenais la parole il eu un léger rire, qui ressemblait plus à un couinement qu’à un rire d’ailleurs alors qu’il essayait de te regarder même si cela n’était pas facile.
-Je ne vais pas te rendre la tâche plus facile.
Dit-il avec une voix légèrement basse, le fait d’être tenu comme cela n’aider pas loin de là. Mais il ne voulait pas te montrer que clairement, il commençait à avoir quand même assez mal, il avait l’impression qu’on lui prenait tous ses muscles pour les tendre contre ses os et finalement les briser en deux. Et encore, il n’avait encore rien vu et il le comprit rapidement quand une douleur intense commença au niveau de son visage remontant dans son crâne, son cou, son dos et ses épaules. Il avait l’impression qu’on lui arracher la peau du visage, et ça devait sûrement être le cas d’ailleurs, il sentait un liquide épais et chaud couler le long de sa joue, il comprit alors que c’était vraiment pas qu’une impression et que tu étais en train de lui arracher la peau de la joue. Il avait envie de hurler de douleur mais il ne voulait pas te faire ce plaisir, il ne voulait pas montrer que tu arrivais à avoir le dessus sur lui. Quand il était encore vampire il avait subi tout de même beaucoup de torture, mais à ce stade, il ne s’en souvenait pas. Quand il ne senti plus la sensation froide du mur il eu presque envie de lâcher un soupir de soulagement tellement il fut soulagé justement, c’était comme une délivrance tellement cette sensation avait été horrible. Il avait les oreilles qui bourdonné sous le choc qu’il venait de recevoir. Il n’entendit même pas tes paroles pour le coup et d’un côté, c’était presque mieux, que ce soit pour lui, que pour toi. Enfin, surtout, pour lui, car il ne pouvait pas grand-chose contre toi. Son visage tomba quelques instants vers le sol alors qu’il finissait par relever son visage en posant son regard sur toi.
-On échange les places si tu veux, on verra ce que ça donne. Et un détail, Stefan est mort je te rappel.
Plus le temps passé et plus sa voix était faible et il avait l’impression qu’il allait finir par juste s’évanouir, mais il ne voulait pas, il ne fallait pas qu’il perde tout contact avec la réalité, déjà ça te ferais beaucoup trop plaisir et puis à partir du moment qu’il allait perdre connaissance, tu pourrais faire tout ce que tu voulais de lui et ce n’était pas bon, pas bon du tout.
Il ne se rendit pas compte du chemin que vous aviez fait jusqu’à la maison que tu habitais, et sans qu’il comprenne comment il se retrouvait assis même attaché sur une chaise de ta chambre, il posait son regard sur toi en fronçant les sourcils, un sentiment de peur commençait à prendre possession de lui, il savait comment tu pouvais être sadique quand tu t’y mettais, qu’est-ce que tu allais lui faire ? Il essayait de se débattre pour ..pour il ne savait pas vraiment, faire tomber la chaise ? La casser ? Il ne savait pas franchement. Il voulait juste se défaire de ton emprise et vide, car il savait que s’il ne le faisait pas ça allait très mal finir. La douleur se noyait dans le flot de douleur qu’il ressentait déjà ce qui faisait qu’au final ce n’était pas si terrible, mais il sentait son sang couler le long de sa gorge, de ses bras, de son dos alors qu’à tes mouvements de bassin un grognement remontait le long de sa gorge, enfin si on pouvait appeler cela un grognement, il essaya de se dégager et quand le visage face au sien, il vint te donner un coup de boule pile au niveau de ton nez alors qu’il se débattait pour te faire perdre l’équilibre afin de te faire tomber. Il avait aucune chance, mais il ne pouvait pas rester comme ça, il ne pouvait pas mourir sans se défendre.
Ce n’était juste pas possible, pas envisageable pour lui. Surtout de tes mains, il ne te laisserait pas faire aussi facilement pour dire vrai. Il n’attendait pas plus longtemps pour essayer tant bien que mal de se défaire de ses liens malgré le sang qui coulait le long de son cou et de son torse. Une grimace prenait place sur son visage car cela était loin d’être agréable mais il finissait par y arriver par il ne savait quel miracle. Toujours attaché à la chaise au niveau des pieds il vint te mettre un coup au niveau de la tempe à l’aide de son coude juste. Cela n’avait prit que quelques secondes, mais il avait eu l’impression que ça avait durer des heures presque. Te poussant de toutes ses forces il venait essayer de retirer ses liens aux pieds ce qui n’était pas forcément le plus simple, mais il réussit à les retirer en arrachant un pied de la chaise, il était mort autant mourir dignement.

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Sujet: Re: Since 1864 | Katherine    Mar 4 Juin - 23:33
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Damon & Katherine

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Since 1864

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Le rappel de la mort de Stefan venait de provoquer en elle un frisson qui avait ainsi parcouru rapidement son échine, traversant sa nuque et faisant grimacer son doux visage. Un sentiment encore trop douloureux même pour une vampire aussi coriace qu’elle pouvait être. Malgré tout, son amour pour le cadet des frères Salvatore n’avait jamais disparu, le vampire était encore encré dans sa peau malgré les nombreux rejets. Lorsque le corps de Katherine se frottait à celui du brun ténébreux, elle se remémorait les multiples plaisirs charnels vécu avec son frère, une pensée qui pouvait être absolument dégoutante du point de vue de Damon - qui n’était en aucun cas au courant -. Une certaine satisfaction se faisait voir sur son visage à l’allure diabolique et mauvaise lorsqu’il expirait des grognements, ignorant si la frustration s’emparait lentement de lui ou si le désir devenait plus fort que sa colère. Ni l’un ni l’autre, exprimait-il par ce coup inattendu. Le nez de la Petrova se mit immédiatement à saigner, dans un petit cri de frustration mélangé à une fine douleur en même temps que son corps rencontrait enfin le sol. Un regard noir et vide de sentiment se rivait vers l’humain, usant d’une voix assez rauque en tentant de se relever sur ses coudes.


Très audacieux, Damon… Même si, très idiot. Comment comptes-tu t’enfuir?



Son envie de rire était de plus en plus intense, jusqu’à ce qu’il décide de la jouer vengeance et de blesser le visage de la vampire. A en juger la force qu’il avait, Katherine ressentait sa brutalité telle une tape de mouche, rien qui pouvait réellement la blesser ou lui faire peur. Ni lui, ni le bout de bois qu’il tenait dans sa main tremblante. Il avait tant de choses à faire avec ce simple bout de bois, il avait avant tout le pouvoir de totalement et définitivement éliminer la reine des enfers. Mais à quel prix? Il serait mort à la minute après avoir agit, Katherine était malgré tout à présent très entourée, ses sbires étaient loyaux et pas seulement, sa nouvelle petite recrue l’était aussi. C’était d’ailleurs, aussi étonnant que ça pouvait être, sa première pensée en pensant à une possibilité de mort, qui évidement était de sa vision impossible vu la vulnérabilité de l’humain. Après avoir dégluti, la brune se redressait de plus en plus.


Oh, je t’en prie. Tu tuerais une nouvelle mère?



D’un petit clin d’oeil et d’un sourire malicieux, elle lui avait exprimer explicitement la grande nouvelle. De quoi profiter pour reprendre l’avantage, elle se relevait si rapidement que le brun n’avait pas l’occasion de s’en apercevoir, lui prenant le bout de bois des mains pour le balancer à l’autre bout de la pièce.


Peut-être aurais-je dû t’annoncer la grande nouvelle dans d’autres circonstances… Mais d’ailleurs, qui sera le père… Toi… Ou ton cher frère.



Pendant ses mots d’une voix plus basse, elle s’approchait lentement de lui à nouveau, jouant encore un peu de lui avant de se laisser tomber, assise sur son propre lit en soupirant.


Je vais aller droit au but. Stefan à été aperçu il y a peu, sans son très grand frère, à vrai dire… Il ne semblait pas même lui-même. Devrais-je lui réserver le même sort?
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Sujet: Re: Since 1864 | Katherine    Dim 14 Juil - 14:17
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La colère prenait le dessus sur tout pour dire vrai, c’était un mélange assez particulier entre le désir qu’il avait pu ressentir et la haine qu’il ressentait toujours pour toi depuis maintenant plusieurs années, plusieurs centaines d’années même ? Peu-être. C’était juste quelque chose qui lui prenait aux tripes et qui faisait qu’il avait envie en même temps de te coller contre le mur pour t’embrasser et d’un autre côté t’enfoncer un pieu dans le cœur. Et il avait fini par choisir la deuxième option. Car encore, quand il était vampire, il aurait pu jouer des deux et juste t’enfoncer dans le mur, mais maintenant, ce n’était plus possible, sa condition d’humain c’était dans ces moments qu’il la détesté le plus pour dire vrai. Car il ne pouvait pas faire tout ce qu’il voulait. Il eu quand même un léger sourire au coin des lèvres quand il vit le sang coulé de ton nez. Il devait avouer qu’il était tout de même fier de lui pour le coup. Car même s’il n’avait plus la force d’antan, il pouvait encore te faire du mal, en tout cas un peu. Même si clairement il c’était plus fait mal à lui qu’à toi en te frappant, mais il ne montrait pas, il ne voulait pas te faire ce plaisir.
-En te tuant ?
Demanda-t-il simplement en arquant un sourcil à cet instant, il avait ce qui lui servait de pieu dans la main et franchement, il n’hésiterait pas à s’en servir, c’était sa survie après et depuis maintenant plusieurs années il avait bien comprit que la survie était le plus important, plus important que le reste même. A tes paroles il fut tellement surpris qu’il ne resta sans réaction pour dire vrai, il ne s’y attendait tellement pas, que tu lui aurais mit un poing en plein estomac ça aurait été la même chose voir moins pire. Au moins ça aurait été une douleur physique qu’il aurait pu comprendre et non ce choc que pour le coup, c’était juste incompréhensible. Il était figé sur place alors que sa vision devint de plus en plus trouble.
-Qu..Quoi ?
Il eu juste le temps de dire cela avant que le noir complet prenne possession de son champ visuel et plus rien. Le noir complet. Il n’avait même pas entendu tes dernières paroles. Tu ne pouvais pas lui faire ce genre de révélations et penser que ça allait passer comme cela aussi facilement. Qu’il n’y aurait pas du tout de conséquences. Cela ne dura pas longtemps, mais suffisamment pour qu’il ne comprenne pas ce qui c’était passé quand il reprit connaissait. Il rouvrit les yeux alors qu’il était au sol, d’accord, il allait falloir qu’il soit plus résistant clairement. Il se relever d’un coup en regardant autour de lui.
-Ce n'est pas mon problème, c’est plus mon problème. D’emmerde toi Pierce.
Dit-il simplement, il ne fallait pas qu’il craque, il ne pouvait plus craquer. Tu avais trop souvent joué de lui et il ne voulait plus, il ne pouvait plus. Il regardait autour de lui à cet instant et en deux secondes, il aperçut une porte, il allait sûrement crever, mais tant pis. Avec le peu de force qu’il lui restait, il se mit à courir pour ouvrir la porte en un coup et il monté pour rejoindre le rez-de-chaussée de la maison, ouais, il fuyait, c’était lâche, il s’en foutait.

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Sujet: Re: Since 1864 | Katherine    
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