Business or not business [Pv : Mikhail

Business or not business
... that's your choice to make ••• Vingt trois. Dylan était arrivée à la Nouvelle-Orléans depuis vingt trois jours. Elle n’avait pas chômé. Elle n’en avait pas le temps. Il y avait eu tant de choses à faire. Le premier jour avait été le repérage. Elle s’était présentée à son nouvel emploi, avait fait la connaissance de ses collègues et avait exprimé à quel point elle avait hâte de commencer. On lui avait bien fait comprendre qu’il faudrait attendre encore quelques jours, le temps de finaliser la paperasserie. Elle avait soupiré mais avait tout de même accepté les délais. On lui avait également proposé un logement de fortune le temps qu’elle puisse trouver son endroit à elle. Le reste de la journée, elle s’était promenée dans la ville, découvrant les bruits, les couleurs, la population. Ce n’était peut-être qu’une façade, mais les gens semblaient plus souriants qu’à New-York, plus aimables.

Le deuxième jour, elle commença ses recherches. Ce ne serait pas compliqué, elle savait parfaitement ce qu’elle voulait. Une grande maison pour elle toute seule, c’était hors de question. Un petit appartement dans un vieil immeuble ne lui correspondrait pas non plus. Elle ne criait certainement pas sa fortune sur tous les toits, elle ne souhaitait pas non plus vivre comme une simple employée lambda. Ce qu’elle voulait, c’était un grand logement, avec une jolie vue, un grand balcon et surtout un dressing à perte de vue. Elle passa plusieurs coups de téléphone, demandant à visiter rapidement ceux qu’elle avait repéré. Elle n’oublia pas de contacter ses parents dont elle donnait des nouvelles régulièrement. Elle avait beau avoir été mariée, divorcée, avoir plus de quarante ans, ils ne semblaient pas prêts à la considérer comme une adulte.

A partir du quatrième jour, elle put commencer à organiser son installation. Elle avait visité trois appartements et le dernier fut le bon. Un penthouse au dessus d’un restaurant français. Les odeurs lui rappelleraient certainement de doux souvenirs. Elle prit le temps de s’installer dans son nouvel appartement, alternant avec ses premières journées de travail. Tout s’était rapidement accéléré, ce qui n’était pas pour déplaire à Dylan qui ne supportait pas de n’avoir rien à faire. Et finalement vint le vingt troisième jour.

De repos, elle avait pour objectif d’aller s’imprégner de l’ambiance dans le parc pour trouver de l’inspiration. La peinture étant un passe-temps presque secret, elle n’avait aucune envie de le faire dans la rue comme la plupart des artistes qu’elle avait croisé depuis son arrivée. Elle appréciait tout de même de pouvoir les voir à l’oeuvre, de pouvoir les observer et peut-être même s’inspirer de leur technique. Elle avait la sienne et en était plutôt fière, mais elle savait qu’elle pouvait encore s’améliorer. L’on pouvait toujours s’améliorer. Alors qu’elle était sur le point de prendre une première photo avec son appareil, son téléphone se mit à vibrer.

« Papa ? Y a un soucis… Non, non, je ne travaille pas au… Vraiment ? Ici ?, » elle fronça les sourcils, « Pas de soucis, envoie-moi l’adresse où je peux le trouver si tu l’as et j’irais le voir. »

Elle raccrocha et soupira fortement. Voilà que son père lui demandait un service qu’elle aurait préféré éviter. Elle avait toujours refusé de reprendre l’entreprise familiale mais avait concédé à son père l’éventualité qu’il lui demande quelques petits services de temps en temps. Ca pouvait être un conseil financier, une nouvelle idée. Aujourd’hui, il lui demandait de prendre contact avec un ancien collaborateur pour un partenariat.

L’adresse reçue, elle se mit en route. Le « Lux » c’était le nom de l’établissement devant lequel elle venait de s’arrêter. A en juger par la devanture, elle se trouvait dans un lieu normalement fermé en journée. La quarantenaire leva un sourcil perplexe avant de frapper à la porte. Elle patienta en jetant de petits coups d’oeil autour d’elle. Enfin on vint l’ouvrir et elle arbora son plus beau sourire de femme d’affaire.

« Bonjour, je cherche un certain M. Mikhaïlov, » l’homme face à elle semblant hésiter, elle poursuivit. « Ma démarche va vous sembler cavalière mais je viens de la part de M. McNeil. »

Comme si c’était le mot magique, elle était prête à entrer sans même y être invitée mais demeura sur place, ses prunelles azurées examinant les traits de son vis à vis.:copyright:️ 2981 12289 0

Voilà le début d"une journée mouvementé, que dire de plus ? J'avais l'impression de crouler sous les papiers depuis dix bon jours, je ne sais plus où donner de la tête, mais heureusement que j'étais un vampire est que je n'avais pas besoin de beaucoup de sommeille pour ne pas m'écrouler, alors que je m'asseyais sur un fauteuil, je ressassé le passer, à l'époque où je travaillais pour la cour Impérial Russe, c'était facile, j'étais un notable personne ne venait me marcher sur les pieds puis surtout personne n'aurait oser venir m'embêter, car tout le monde connaissait le destin funeste réservé pour ce genre d'acte, je dois dire que je suis bien triste pour cela, car maintenant nous avons progressé sur plein de chose, mais plus personne ne respecte le rang et hiérarchie, le monde avait progresse dans plein de chose, je dois l'avouer mais sur certaine chose il avait bien régresse, est cela me donner une certaine nostalgie, comme la fois, où il y a eu la réception avec le Tsar et la Tsarine, est où un d'un Duc après avoir trop bu, avait vomis sur l'oeuf impérial qui fut offert par la grande Impératrice douairière, à son fils, cela avait fait un telle écho que ce pauvre Duc, ne c'était montrer à aucun réception durant une bonne année.

Mais bon ce bon vieux temps était révolus est il fallait faire avec, finis les grandes réceptions ou tout était fait d'or et de soie, maintenant quand je fais une soirée elle est certes raffiné mais il y a beaucoup moins de tact et de protocole qu'avant, maintenant c'est du champagne, un peu de Vodka, avec un peu de la nourriture est surtout beaucoup de belle fille, car les hommes d'aujourd'hui aiment énormément les femmes, enfin de jolie brune ou blonde écervelé, qui sont à leurs bras, est qui les font sentir riche et puissant, voilà le bon cocktail pour réussir une soirée de nos jours, je ne vais pas dire qu'avant ce n'était pas d'actualité mais disons que c'était un peu plus secret, est fait de façon un peu plus réfléchie, pat exemple tout le monde savait que le Tsar avaient plusieurs maîtresse, mais jamais personne n'aurait osé lui faire la remarque, tout était fait pour que cela passe comme une amourette de passage.

Mais alors que je faisais un peu le trie dans les choses que j'avais affaire, mon téléphone sonna, qui cela pouvait bien être ? Je décrochais mon téléphone, est à l'autre bout c'était Monsieur Mcneil, une veille connaissance avec qui j'avais fait affaire, il vendait des voitures est voulait en envoyé en Russie, sauf que vous comprenez depuis la fin de guerre froide, les choses sont compliqué entre les deux pays, est il avait besoin d'un natif de la mère Russie pour pouvoir vendre ses voitures sans trop être embête, cette fois si il m’appelait, car il voulait me proposé un nouveau partenariat, intéressant, j'accepter bien entendus son offre, alors que je m'attendais à une de ses prochaines visite, ce dernier me notifia que c'est pas lui, mais sa fille qui allait passer, intéressant, après avoir raccrocher en donnant l'adresse du Lux, je préparais donc la venus de la fille de mon ami et partenaire, alors que je faisais le trie dans tout cela, au bout d'une petite demie-heure un de mes agents me notifia la venus de la fille du magna, je descendais donc l’accueillir.

- Bonjour est surtout bienvenue, votre père m'avait prévenus que vous allez venir, est je dois dire que je m'attendais pas à voir une si jolie femme, mais bon, maintenant si vous voulez bien me suivre, dans mon bureau pour faire plus ample connaissance.

Avec un petit sourire, je l'invitais à me suivre, nous voilà dans l'ascenseur qui m'amener dans mon petit bureau, j'invitais la jeune femme à s’asseoir, est je fis de même, après lui avoir proposé à boire et servis, je la regardais avec un large sourire.

- Bon maintenant que nous sommes tranquille, je me présente je suis Mikhail Mikhailov, gérant des lieux mais aussi d'autre affaire, j'ai eu votre père au téléphone est ce dernier me propose un partenariat, sans m'en dire réellement plus, donc si vous avez d'autre info je suis preneur.

Je m'appuyé sur mon siège, avant de croisé les jambes.

Business or not business
... that's your choice to make ••• Quand l’homme ouvrit la porte pour l’accueillir, la blonde se rendit compte qu’elle ne devait pas du tout avoir l’apparence d’une femme d’affaire digne de ce nom. Aujourd’hui, il n’avait pas été question de costume de luxe et d’un chignon parfait. Elle n’en était pas négligée pour autant, ce n’était pas son genre. Même en repos, tout devait être parfait. Parfait selon ses critères. Une paire de jeans brute, un débardeur clair en dentelle sous un perfecto noir. Ses longues jambes rehaussées d’une paire d’escarpins clair également et ses cheveux lâchés au vent sous une bonne couche de laque pour ne pas qu’ils bougent.

Un homme se présenta à elle et les standards voulaient qu’on pouvait le qualifier de bel homme. Selon elle, la conversation n’en serait que plus agréable. Elle s’était déjà imaginée devoir converser avec un vieux bedonnant qui avait du mal à respirer. Elle fut soulagée, elle ne pouvait le nier. Soudain, elle supposa que son père ne l’avait pas envoyée là par hasard. Espérait-il encore se trouver un gendre digne de ce nom ? La jeune McNeil ne pouvait lui en vouloir. C’était après tout humain de vouloir que ses enfants s’en sortent dans la vie. Elle avait professionnellement réussi, il souhaitait simplement que maintenant elle trouve ce que tous appeler l’amour. La quarantenaire trouvait cela futile, superficiel. L’amour ne définissait pas la femme qu’elle était, ni même la voix qu’elle choisirait de suivre. Ce n’était clairement pas le moment de penser à cela.

Arrivés dans le bureau, le brun l’invita à s’asseoir et lui proposa à boire. Après avoir demandé un café, elle retira sa veste pour être plus à l’aise, la posant soigneusement sur le dossier et s'assit gracieusement. Il prit le premier la parole, se présentant comme étant celui avec qui elle était venue discuter. Ca, elle n’en avait pas douter une seconde. Elle lui sourit.

« Ravie de vous rencontrer M. Mikhaïlov, je suis Dylan McNeil, la fille de M. McNeil comme vous l’aurez compris. »

Voilà que Dylan devait jouer les porte-paroles pour son père. Elle aurait été plus jeune, elle lui aurait certainement demandé une commission sur tout ce qu’il vendrait à partir de cet instant si le partenariat était accepté. Elle ne fut pas surprise que son père est contacté cet homme avant de l’appeler elle. Il ne l’aurait vraisemblablement pas laissé débarquer chez quelqu’un sans que ce dernier n’ait un minimum d’informations. Il y avait une chose que la blonde admirait particulièrement chez son père, c’était son indéfectible confiance en elle et en ses capacités intellectuelles. Bien qu’elle n’avait pas toutes les cartes en main, elle en connaissait suffisamment pour faire signer des contrats sans que son père ne soit présent. C’était d’ailleurs pour cela qu'il l'envoyait elle plutôt que de se déplacer. A présent, c’était à elle de jouer.

« Vous n’êtes pas sans savoir que mon père tente de faire ouvrir une concession pour notre marque en Russie et qu’il est particulièrement difficile de s’y implanter, » elle prit une gorgée du café qui lui avait été offert.

M. MiKhaïlov. M.Mikhaïlov. Le nom résonnait dans la tête de Dylan. Elle avait déjà entendu ce nom à plusieurs reprises mais pas seulement son nom. Elle était convaincue de l’avoir déjà vu. Evidemment, c’était impossible. L’époque où elle accompagnait son père pour rencontrer de nouveaux partenaires remontait à plus de vingt ans. Si ça avait été le même homme, il aurait eu quelques rides au moins. Peut-être des temps grisonnantes. Qu’il n’y ait aucun changement après toutes ses années présupposait que ce n’était pas le même homme. Son fils peut-être ? Elle l’ignorait pour le moment, mais elle finirait bien par le savoir. Personne ne pouvait rester aussi bien conservé selon elle. Son père en était la preuve. Il avait pris plus d’un kilogramme par an et même s’il avait toujours tous ses cheveux sur la tête, ceux-ci s’étaient tous blanchis sans la moindre exception.

« De ce fait, puisque vous avez déjà eu l’occasion de collaborer ensemble par le passé, il vous propose vingt-cinq pourcents des bénéfices que nous parviendrons à faire contre l’aide que vous nous apporterez pour l’implantation dans votre beau pays. »

Dylan McNeil savait y mettre les formes. Mentir n’était pas dans ses capacités, elle pensait tout ce qu’elle disait. Si son père avait du penser ne proposer que vingt pourcents, Dylan elle, en proposait au moins cinq de plus, avec l’éventualité qu’il faille monter d’avantage. Elle était plus qu’à l’aise dans l’exercice pour avoir longuement observer son père. C’était d’ailleurs aussi pour cela que ce dernier ne comprenait pas son choix, de ne pas poursuivre dans cette voix. :copyright:️ 2981 12289 0

Voilà que j'étais en face de la fille est l’héritière de l'empire automobile Mcneil, son père est un homme fortement avisé qui avait le sens des affaires, par le passé, j'ai eu affaire avec lui plus d'une fois, mais sa réussite il le doit surtout à son sens aiguisé des affaires, je l'avais assisté plus d'une fois lors de réunion avec des homologues Russe, est quand il fallait parler agent, il savait faire, est généralement les discutions était longue et houleuse, car il ne voulait pas lâcher un cm de son territoire, mais bon comme ont dit personne ne construit un empire, en étant gentil et en ce laissant marcher sur les pieds. Alors que j'étais avec sa fille, j'allais voir si cette dernière avait hérité du gêne du paternelle, alors quand je lui avais posé la questions, pour savoir le pourquoi du comment, pour sa venue car son père était très mystérieux dans ses explications, cet dernière m'expliqua que son père tenter d'ouvrir une nouvelle concession de son empire automobile dans notre belle mère Patrie, mais que c'était difficile d'obtenir les autorisations, comme je pouvais m'en douter, les Russes sont un peuple fier et guerrière, est il à toujours une léger amertume envers le peuple des Etats-Unis, alors que je la regardais en buvant mon thé, quand j'entendis sa proposition de l'aider contre la somme de vingts-cinq pour-cent, je faillis recracher mon thé, elle avait vraiment le sens des affaires, la jeune femme, je la regardais avec un petit sourire, la somme proposé me convenait parfaitement, mais par principe il fallait que je négocie encore un peu, car si le bruit court que je me laisse facilement "amadouer", j'aurais rapidement plein de coup de fil pour renégocier les contrats en cours.

- Hum votre pourcentage est intéressant, mais vous comprenez que j'aurais beaucoup de contact à faire jouer, que cela soit au niveau du Ministère de l'économie ou encore de l'Intérieur, ce qui veut forcément dire beaucoup de service, est de pot-de-vin, donc si nous partons sur disons trente-cinq pour-cent, nous pourrions faire affaire, est ainsi vous pourriez-vous implanter d'ici la fin du mois prochain dans une ville en Russie de votre choix. Et je vais vous montrer que je suis un homme de parole tout comme votre père.

Un large sourire ce dessina sur mon visage, j'adorer toujours ce petit côte négociation entre les différents parties, car chacun chercher à s'attirer les bonnes grâces, pour tirer un maximum de profit est ce faire de l'argent, en ce qui me concerne, j'avais assez d'agent, pour vivre jusque à la fin du monde, entre l'argent que j'amasse avec mes activités ou encore tout les objets de valeurs ou autre que j'ai accumuler depuis tout ce temps, j'étais tranquille, mais bon je faisais cela par principe, car dans notre monde actuelle tout se monnaye et s'échange, donc je ne dérogeais pas au principe, je saisis mon téléphone avant d’appeler l'Ambassadeur Russe en poste, ici aux Etats-Unis.

- Priviet mon cher ami Youri, c'est Mikhail, comment vas-tu ainsi que ta famille ? Dit moi je t'appelle car je suis avec un ami associer qui souhaites s'installé dans notre beau pays, mais qui rencontre quelque soucis administratif, tu sais que cela serait dommage qu'il ne s'installe pas chez nous, car il à un très gros potentielle, puis imagine le nombre d'emplois directe et indirecte que cela peut génère, alors essaye de passer quelque appelle, puis tiens moi au courant, puis si tu passes par ici, sache que toi et les tiens vous êtes les bienvenues, aller je te laisse mon ami.

Je venez de raccrocher, en regardant la jeune femme, tout était déjà régler ce n'est plus qu'une question de jour, je savais me montrer persuasif quand je le voulais.

- Voilà Miss Mcneil, vous pouvez appeler votre père en lui disant que les choses vont rentrer rapidement dans l'ordre, est que d'ici là il pourra je pense d'ici un petit mois ou deux s'installé en Russie, dès que j'ai la confirmation de Monsieur l'Ambassadeur, je lui ferais parvenir tout les papiers nécessaire, est puis si nécessaire l'accompagner, pour formalisé tout ça, mais en tout cas , vous pouvez compter sur mon soutient.

Je prenais une gorge supplémentaire de mon thé, en observant la jeune femme.

Business or not business
... that's your choice to make ••• Elle fixait l'homme en face d'elle avec intérêt certain. Elle ne tentait pas de lire les traits de son visage, elle ne le pouvait pas. Sa pathologie l’en empêchait. Quand elle apprit que c’était possible, elle avait essayé, encore et encore, ses parents lui faisant des fiches test. Un franc sourire c’était la joie. Des larmes, c’était la tristesse. La voix qui s’élevait et des sourcils froncés, c’était la colère. Voilà, son aptitude à lire sur les visages s’arrêtait là. Alors elle le fixait simplement parce qu’il était la chose la plus intéressante de son bureau. Il se mouvait et parlait suffisamment pour capter son attention. Il était aussi plus qu'agréable à regarder, ça, elle ne pouvait le nier.

De même, lire entre les lignes, les sous-entendus, ce n’était pas dans ses capacités. Ce qui était dit était presque toujours pris au pied de la lettre. Avec le temps, elle avait tout de même appris à déceler les sarcasmes du reste, mais ça n’était pas toujours évident pour elle. Malgré cela, elle ne voyait pas sa « maladie » comme un handicap. Pour elle, il ne l’avait jamais été. Ca avait toujours été une force. Quelque chose qui l’avait poussé à dépasser ses propres limites. Elle était différente des autres, mais les autres eux, ne la voyaient pas spécialement autrement. De prime abord, elle était une femme comme une autre, sujette à ses émotions, dialoguant avec aisance la plupart du temps. Là où ça devenait compliqué pour elle, c'était qu'elle était souvent incapable de regarder ses interlocuteurs droit dans les yeux. Si elle le faisait, ça ne durait jamais longtemps.

Il loua le pourcentage qu’elle proposait mais n’hésita pas à renchérir. S’il ne l’avait pas fait, les négociations n’en auraient pas été. Il n’y aurait pas eu de challenge. Elle se contenta de sourire, prête à lui répondre quand il souhaita prouver sa bonne foi en passant un coup de téléphone. Elle écouta l’échange sans s’en cacher et sourit d’avantage quand il raccrocha. Elle pourrait ainsi assurer à son père que Mikhail avait fait le nécessaire. Ce n’était pour l’instant pas garanti que ça se ferait, mais il avait au moins fait le nécessaire devant elle.

« Je vous en remercie M. Mikhaïlov, je ne manquerais d’en informer mon père. Toutefois, sachez que vous n’êtes pas le seul de ses contacts à avoir des entrées dans votre pays, » elle afficha un sourire quasi carnassier, « s’il a souhaité faire appel à vous, c’est parce que vous êtes un partenaire de choix qui avez toujours fait preuve de discernement. »

Elle avança sur son siège, décroisant ses jambes et vint poser ses avant-bras sur le bureau. Elle se fichait bien de mettre ses atouts en avant, ce n’était pas ce qu’elle tentait de faire.

« Alors c’est vingt-cinq pourcents, ou ce n’est rien et j'irais discuter de tout cela avec quelqu'un d'autre. » conclut-elle d’un sourire toujours professionnel.

Sur ce, elle termina sa tasse de café qu’elle reposa devant elle avant de se renfoncer dans son siège. Peut-être tentait-il de la mettre à l’épreuve, savoir si elle était la digne fille de son père. Ce qu’il ignorait, c’était que les deux McNeil avaient appris l’un de l’autre. La fille avait compris le sens des affaires. Le père s’était durci dans les termes et conditions de la signature des contrats. Alors l’un comme l’autre pouvait se montrer impitoyable quand il s’agissait de business. Et selon Dylan, tout n’était qu’affaire et négociation. Même lorsqu'il s'agissait de relations sociales.

Elle appuya son dos confortablement contre le dossier du siège et recroisa les jambes avec une lenteur presque sensuelle. Son regard azuré se promenait sur les murs, le bureau, la machine à café. Finalement, elle le reposa sur M. Mikhaïlov. L'apparence de celui-ci était soignée. Son costume était du dernier cri et elle savait sans tromper qu'il valait cher. Cet homme avait du goût en plus d'assurer dans le monde du travail. Elle approuvait totalement.

« Votre dernier mot ? » relança-t-elle presque taquine.:copyright:️ 2981 12289 0

Maintenant que j'avais passer mon coup de fil, est que j'avais annoncé la couleur à la jeune hérité j'attendais donc avec impatience sa réponse, sera t'elle plus souple que son père ou alors la ténacité et l'esprit commerciale est de famille, tandis que je la regardais, la jeune femme me remercia de ma petite intervention pour qu'ils puissent ouvrir leur concession en Russie, est qu'elle informa son père de mon intervention, alors que j'essuyais un large sourire, elle renchéri que je n'étais pas le seul contact qu'avait la famille pour entrer en Russie, mais bon apparemment j'étais un partenaire de choix, car je faisais preuve de discernement, la jeune femme savait mettre les formes je dois avouer, pour annoncer les choses, si elle prend autant de précaution, je dois m'attendre un peu à la suite de son discours, n'allait pas être aussi gentil et élogieux, tandis que nous nous regardions elle m’annonçait que malheureusement, la somme des vingt-cinq pour-cent ne pourrons pas être dépassé, je ne pouvais pas m'empêcher de sourire, car finalement j'avais la réponse à ma question précédente est la jeune fille tenait donc du talent de son père, aussi dur en affaire, mais bon je n'avais pas dit mon dernier mot, car là nous entrions dans une petite bataille, jusque à celui ou celle qui aura le dernier mot, il fallait bien calculer son coup, mais bon cela me rappellera mes négociations du temps où je travaillais pour le Tsar et sa cour impérial, mais bon nous allons bien nous amuser à essayé d'obtenir ce que je souhaites, je ne dit pas que le combat sera facile bien au contraire, mais cela donne un certain challenge aujourd'hui.

- Je vous remercie de vos compliments, mais comme vous avez si bien dit, je suis une personne qui sais faire preuve de discernement et bon sens, un partenaire loyal est de choix, chose qui est plus que primordiale surtout si vous voulez ouvrir une concession en Russie, donc je reste sur mes positions initial avec trente-cinq pour-cent ou niet, mais bon après comme vous me l'avez si bien précisez, rien ne vous empêche de voir d'autre de mes compatriotes pour vous aidez dans vos projets, mais bon je penses que vous n'irez pas plus vite qu'avec moi, mais bon nous sommes en Amérique chacun est libre de ses choix non ?

Je regardais la jeune femme, qui je dois dire n'était pas désagréable à regarder, je ne sais pas si cela est une technique de son père pour essayé de faire pencher la balance de son côté mais bon, il devrait savoir que j'étais quand même un homme d'affaire hors-pair est que je ne me laisserait pas faire si facilement, mais bon je dois dire que c'est toujours plus agréable de négocier avec ce genre de partenaire, qu'avec un petit vieux ou encore un homme d'affaire véreux, là c'était un peu différent, il avait un mélange entre les affaires et la séduction, ce qui fait que le jeu en vaut doublement la chandelle, je m'appuyais donc sur mon fauteuil avec mon verre, en affichant avec un petit sourire, nous allons commencer la deuxième phase des négociations, au début nous négocions toujours de façon gentil et bien poli, mais là la partie adverse à lancer une sorte d'ultimatum il faut donc réagir vite car sinon cela sera mauvais pour les futures négociations, nous allons donc entamer son petit jeu.

- Mais bon, si j'ai compris vous avez potentiellement des "concurrents" à moi, ce que je peux comprendre, par contre mon offre commerciale est viable vingt quatre heure, maximum, donc il faudra que vous et votre Père agissez assez rapidement, sinon passer ce délais l'offre actuelle sera caduque est nous partirons je penses sur un autre pourcentage, est cela retardera encore votre ouverture dans notre belle mère Patrie, mais bon cela c'est à vous de voir, comment vous voulez et souhaitez gérer votre compagnie est vos affaires, mais bon comme je dis la balle et dans votre camps maintenant.

J'avais lancé la bombe voyons comment notre amie va réagir maintenant.