What if I was nothing nothing without you
Dylan McNeil
Mon espèce est humaine et je suis âgé(e) de 41 ans. Je suis divorcée et je suis actuellement médecin légiste. Je ne suis pas au courant du monde surnaturel.
Mon prénom ou pseudo est Yume. Je possède au compteur 29 ans et j'écris depuis 12 ans. Je joue mon personnage depuis moins d'un année(s). Mon avatar représente Charlize Theron | Dylan McNeil. Je prends note évidemment du règlement du forum et je choisis de venir sur le serveur Discord.
Caractère On peut dire de Dylan que c’est une femme de caractère. Elle n’a pas l’arrogance qui pourrait être due à sa naissance aisée mais l’on ne peut pas non plus la qualifier de humble. Enfant, ses parents ont rapidement remarqué qu'elle était différente. Après plusieurs tests, l'on a apprit qu'elle était une surdouée avec un léger syndrome d'Asperger. De ce fait, l’on peut remarquer qu’elle ne gère pas ses interactions sociales comme les autres. Si en pleine tâche intellectuelle, elle pourra répondre de façon inappropriée, que vous soyez serveur ou ministre. Avec l’intelligence vient l’ambition. Dylan n’y échappe pas. Pour preuve, elle aime dire que si elle l’avait voulu, elle serait aujourd’hui l'une des plus grandes businesswoman du monde. Souvent traitée de « control freak », entre autre par son ex-époux, c’est une femme qui a du mal à laisser quelqu’un d’autre qu’elle en charge. Elle n’apprécie pas que les choses ne soient pas à leur place ou qu’elles n’aient pas été remises à leur place après avoir été utilisées. Elle tente quelquefois de faire un travail sur elle d’ailleurs. Evidemment ce trait de sa personnalité ressort également dans sa vie privée. Cela a fait d’elle quelqu’un d’assez volage, se refusant entre autre de s’attacher à un autre humain que ses parents. Mais ses plus grands défauts sont sans aucun doute la curiosité et la fierté. Elle est semblable à un chien sur un os à ronger, elle ne lâchera pas tant qu’elle ne sera pas aller au bout des choses. Malgré cela, elle a tout de même quelques qualités. C’est une femme douce et prévenante quand on la connait. D’autant qu’elle n’est pas le genre de personne hautaine et méprisante, elle est très abordable. Elle est également de bons conseils, du moins, tente de l’être lorsque l’on vient la quérir. Elle ne vous ménagera pas si cela n'est pas nécessaire. | Histoire Très tôt, l’on remarqua que Dylan McNeil était une jeune demoiselle singulière. Elle mit énormément de temps à parler, à interagir avec les autres enfants de son âge. Ses parents pensèrent qu’elle était déficiente et n’hésitèrent pas à lui faire voir un psychologue. Celui-ci les rassura, les informant que non seulement leur fille était très intelligente, mais qu’elle avait également un syndrome autistique nommé syndrome d’Asperger. Ils durent suivre quelques cours pour savoir comment comprendre et éduquer la demoiselle. La première étape fut de l'initié à un art quelconque et ce fut ainsi qu'elle tomba amoureuse de la peinture. Etre surdouée n’apportait pas que des avantages. Du moins, c’était ce que pensait Dylan. Elle avait souvent une façon bien à elle de voir les choses et n’hésitait pas à le faire remarquer. Evidemment, lorsque l’on était employée, ça ne plaisait pas toujours à celui au dessus de vous. D’autant qu’elle avait quand même la réputation d’être une obsédée du contrôle. Elle préférait avoir les choses en main, les gérer à sa façon, plutôt que de devoir suivre les ordres. Autant vous dire qu’elle ne gardait jamais très longtemps le même emploi. Evidemment, ça ne l’empêchait pas de rebondir facilement, ayant une capacité d’adaptation particulièrement élevée. Cette incapacité à demeurer constante dans quelque chose se voyait également dans ses relations humaines. Les bons amis de la blonde se comptait sur les doigts d’une main. Il était difficile pour elle se confier. Ce n’était pas une question de confiance. Plutôt d’émotions à proprement parlé. Ce n’était pas quelque chose de rationnel pour elle, d’inexplicable et elle détestait ce qu’elle ne pouvait expliquer, maitriser. En toute logique, ses relations amoureuses en pâtissait plus que tout le reste. Même en couple, elle ne pouvait s’empêcher de voir ailleurs, de goûter d’autres plaisirs. Ce n’était pourtant pas faute d’essayer. Dylan était l’unique héritière d’un magnat de l’industrie automobile. Qui disait seule héritière disait gros héritage et enfant pourrie gâtée. Ce fut tout le contraire. Ses parents étaient particulièrement stricts avec elle, ne voulant pas qu’elle devienne l’une de ses petites bimbos écervelées. C’était les dires de sa mère. Dylan était tout le portrait de cette dernière. Physiquement du moins. _ Mon caractère dans le corps de ta mère. C’est à la fois beau et effrayant, avait un jour confié son père en la voyant devenir une magnifique jeune femme. Nul doute qu’elle devenait une ravissante demoiselle. Bien consciente de ses charmes, mais bien trop fière pour se laisser séduire par des compliments, elle n’hésitait pas à donner du fil à retordre à ses prétendants. Pourtant elle enchaina quelques relations sans lendemain le plus souvent. Jusqu’à ce qu’elle laisse son père la convaincre d’épouser l’un de ses collègues. Philippe, le fils d’un autre magnat de l’automobile français avec lequel une fusion serait plus profitable à l’entreprise de son père. Elle ne l’aimait pas et lui non plus d’ailleurs. Malgré tout, leur couple fut la coqueluche des magazine people. Ils formaient un couple en apparence amoureux et puissant, tout ce que les paparazzi adoraient. Convaincue de ne jamais rien ressentir pour qui que ce soit en dehors de ses parents, elle fut bien surprise quand un jour elle donna naissance à leur enfant. Le petit être qui avait grandi en elle pendant 9 mois ne lui avait rien fait ressentir d’autre que les symptômes d’une grossesse normale. Mais une fois que l’enfant fut posé sur son sein, elle comprit alors qu’il n’y avait rien de plus important dans sa vie. Les premiers temps, le sommeil s’était fait rare et précieux. Cependant le bonheur n’en était pas moindre. C’était à tel point qu’elle ne tolérait plus seulement son mari, elle lui faisait confiance. Et puis l’enfant tomba malade. Une maladie orpheline, qu’on avait annoncé comme incurable aux parents. Philippe sembla prendre la nouvelle comme un parent normal, la tête entre les mains, la gorge encombrée de sanglots. Dylan, elle, se contenta de fixer le médecin, le visage impassible. Ce fut à la suite de cette nouvelle que la relation des époux se détériora. L’un reprochait à l’autre de ne pas avoir de coeur quand l’autre reprochait à l’un de n’avoir aucun espoir. La fille McNeil fit appel à plusieurs médecins différents pour tenter de trouver une solution pendant que son mari restait au chevet de leur enfant aussi souvent que cela lui était permis. Malheureusement, aucun des deux ne parvint à sauver la petite Julia. Les papiers du divorce furent signés rapidement et contre toute attente, les biens équitablement répartis. Tous prirent des chemins opposés, une petite somme d’argent conséquente pour Dylan, comme si ça pouvait soulager sa peine. Peine qu’elle avait pris soin d’enfermer dans un coin de son esprit pour ne pas avoir à appuyer là où ça faisait mal. A peine âgé de 30 ans, elle reprit les bancs de la fac pour apprendre un métier autre que celui de son père. Elle ne voulait pas reprendre l’entreprise familiale. Trop facile, c’était indigne d’elle. La médecine fut sa voix de prédilection. Pensant au préalable vouloir soigner des enfants comme elle n’avait pas pu soigner la sienne, elle choisit finalement de s’occuper de ceux déjà morts. Ainsi, elle n’aurait pas à s’attacher, ni à souffrir de les voir mourir un jour. Car bien qu’elle gardait cela au plus profond d’elle-même, la perte de sa petite fille de quelques mois avaient été la plus horrible des douleurs. Pendant ses études, elle ne pensa à personne d’autres qu’elle et son objectif, avoir son diplôme haut la main. La femme ambitieuse qu’elle était ne se permettrait jamais d’être médiocre, ni même dans la moyenne. Elle se devait de donner le meilleur d’elle-même. Le seul extra qu’elle se permit, fut un voyage scolaire en Europe d’une année qu’elle n’oublierait probablement jamais tant elle y avait pris du plaisir. Ce fut ainsi qu’elle fut major de sa promotion, en plus d’en avoir été la doyenne lors de sa dernière année. Il lui fut rapidement nécessaire de trouver une affectation pour pratiquer rapidement. Elle ne put se résoudre à quitter les Etats-Unis, même si l’Europe l’avait séduite à bien des égards. Son premier choix, New York, ne lui proposa qu’un stage de quelques mois, non payé bien évidemment. Elle accepta malgré tout, ne souffrant pas de manquer d’argent et voulant plus que tout mettre la main à la patte. Finalement, elle reçut un coup de fil de la Nouvelle Orléans qui venait de perdre leur dernier coroner d’une crise cardiaque. Elle ne put refuser cette offre sans savoir ce qui l'attendrait là-bas. |
Mon prénom ou pseudo est Yume. Je possède au compteur 29 ans et j'écris depuis 12 ans. Je joue mon personnage depuis moins d'un année(s). Mon avatar représente Charlize Theron | Dylan McNeil. Je prends note évidemment du règlement du forum et je choisis de venir sur le serveur Discord.
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