Nouvelle opportunité ft. Mikhail Mikhailov

Nouvelle opportunité

[ Le Lux, New Orleans ]

Voilà quelques jours que j'étais arrivée, j'avais profité de la ville et de ses habitants, ça ne me semblait pas si mal pour être honnête. J'ai trouvé un petit bar où je pourrai jouer quelques morceaux en soirée après mes journées au boulot, après reste à voir si l'endroit me plaira toujours une fois que je l'aurai essayé. Aujourd'hui était ma seconde journée de boulot, mon agente m'avait parlé comme quoi on devait organiser une soirée dans une boite de nuit qui ouvrait en ville et qu'ils avaient en tête d'attirer de la clientèle avec des prix chuté pour l'ouverture et une parade de quelques heures pour divertir la clientèle. Cela me semblait un brin incompréhensible, comme nous ne sommes pas des escortes ou autres dans le genre, mais des mannequins pour l'entreprise, peut-être devrais-je apprendre à lire plus attentivement les petits caractères aux contrats. Donc si j'avais bien compris, l'espace d'une soirée, j'étais mannequin et danseuse improvisé avec pourboire. Selon les closes que j'avais signé, je ne pouvais pas refuser cette soirée par conséquence de mettre fin à mon contrat avec l'agence. Je ne voulais pas baisser les bras fassent à une branche plus sombre sur contrat, que diraient les gens sur mes choix. Peut-être accordais-je trop d'importance à cette image que je projetais aussi, l'idée que les gens se faisaient de moi.

Je me préparais donc avec les filles de l'agence, organisant le défilé selon les critères du patron de la boite. Il n'avait pas de grandes spécifications quant aux filles sur le défilé, tant et aussi longtemps qu'elles offraient un bon show pour occuper sa future clientèle. On en savait très peu sur l'endroit en soit, en dehors du fait que l'alcool et les repas nous étaient offert par la maison. Nous avions tous été apportés au Lux, en limousine, pour treize heures afin qu'on puisse ce familiarisé avec l'endroit, le stage et les employées. Nous avions donc prit possession de l'arrière stage installé spécialement pour nous, puis avec l'organisatrice d'événement, on avait pris le temps de mettre à jour le déroulement de la soirée. Cela semblait plutôt détaillé, et durait beaucoup plus longtemps que supposer, mais comme visiblement l'argent n'était pas un problème pour le patron de cette boîte, engagé les filles et moi pour une durée prolongée ne l'importait peu. Je ne savais pas comment je devais catégoriser cet homme d'ailleurs, macho ou bien simplement un homme d'affaire typique ? C'est son ouverture, j'imagine que nous aurons l'occasion de le croisé à un moment ou un autre.

À l'entrée, j'avais aperçu une affiche qui indiquait que l'endroit était à la recherche d'employé pour l'établissement. Il y avait éventuellement un poste d'assistant(e), deux danseuses et des postes ouvert au bar. Cela avait attiré mon attention, comme en discutant avec mon agente à mon arrivée, j'avais cru comprendre que le salaire était plutôt restreint dans les premières semaines, afin de constater si les candidates ayant postulés soient sérieuse, visiblement le métier ne convenait pas à tous. Je m'étais informée avec une des femmes au bar qui semblait connaître la chaîne de boite de nuit, elle m'avait donné quelques détails concernant les postes ouverts, je croyais pouvoir être à la hauteur pour être au bar, ou servir les clients, s'ils voulaient bien prendre quelque temps pour me le montrer. Elle avait semblé plutôt enthousiaste à cette idée, donc m'avait demandé de la rejoindre ici le vendredi qui suivait afin de voir cela avec elle plus en détails.

Après de longues heures à pratiquer le déroulement de la soirée, le show allait débuter sous peu. Le Lux s'était étrangement bien remplis, les clients avaient pris place un peu partout près du stage où avait lieu l'événement. Le Lux s'était étrangement bien d'un, les clients avaient pris place un peu partout près du stage où avait lieu l'événement. La musique avait monté en volume alors que les lumières s'étaient tamisées de nouveau afin d'annoncer le commencement du défilé. Le Lux s'était étrangement bien d'un, les clients avaient pris place un peu partout près du stage où avait lieu l'événement. L'événement suivait son cours, alors que certaines des filles avaient été interpellé par des clients déjà familier du bar, ou du moins à la chaîne qui détenait quelques établissements aux pays.

Parait-il que j'avais été mise hors des potentielles demandes suite à la demande Andrea, la femme du bar à qui j'avais parlé un peu plus tôt dans la soirée. Mon intérêt, pour travailler dans cet endroit m'avait interrompu dans mon boulot de mannequin ? Je ne comprenais pas exactement le pourquoi, j'étais la fille qu'on interdisait sur le '' menu '' si je puisse dire cela, quoi que je ne m'en gênais pas, je ne crois pas qu'en solo j'aurais été super à l'aise avec ces hommes. Les filles et moi défilions pour leurs beaux yeux au final, pour leur permettre un aperçu de leur choix s'ils la choisissaient. Étais-ce un bar de danseuse nue et je n'avais pas été mise au courant ? Quoi qu'il en soit, j'avais pris une pause, m'éloignant à l'extérieur afin de prendre l'air. Un homme vendait des comprimés, il avait un très mauvais Anglais, donc dur de dire de quel drogue, il s'agissait exactement, mais j'en avais que faire en réalité puisqu'il m'avait assuré que c'était du solide inhaler. Alors que je rentrais à nouveau pour me diriger vers la salle de bain, je tombais nez à nez avec un homme en costard, avec des boutons de manchette plutôt luxueux vu leur scintillement, que je m'étais gentiment contenté de saluer poliment, ça devait être un investisseur, du moins c'est ce que je croyais. J'avais échappé mon sachet quelque part entre l'entrée et ici, j'avais échappé un juron avant de me pencher légèrement, refermant mon peignoir légèrement, je tapotais le sol jusqu'à finalement retrouvé mon petit sachet. Cependant, en me relevant, je constatais le rapprochement de l'homme en question vers moi.

- Hm, bonsoir ? Lançais-je, en refermant ma main sur la drogue dans mes mains. Je peux vous aider? Demandais-je poliment par la suite, plus timidement.

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Aujourd'hui était une journée plus qu'importe pour moi, cela faisait des semaines et des semaines que je travaillais sur l'ouverture du Lux, ce n'était pas une mince affaire, entre les différentes autorisations que j'ai du obtenir en graissant certaine patte ou alors en usant de mon charme vampirique, mais comme si cela n'était pas suffisant, je devais diriger et manager mes équipes, leurs donnaient les différent poste et mission qu'ils auront tous, c'était donc plus qu'agité je sentais la pression monter en moi, j'essayais tant bien que mal de garder un certain calme pour évite de décapité les gens qui étaient autour de moi, alors que tous avancer à petit pas, je décidais de déléguer une seul chose, l'animation c'était l'une des seul chose où je n'avais ni l'envie ni la patience de le faire, j'allais donc contacter une agence de mannequin qui allait m'envoyer de jolies demoiselles qui auront seulement pour but de défiler, faire quelque petit sourire ravageur et pousser mes premiers client à consommer en masse, en achetant des bouteilles et en leur offrant des verres à boire ou des shoteur. Après avoir eu la discutions avec la responsable d'agence, et fixe les petits détaille de notre contrat, je lui fis un virement d'acompte.

Voilà que l'heure J approchais à grand pas, je décidais de rentrer chez moi, pour prendre une douche me reposer l'esprit et surtout me changer. Je pris donc la voiture direction la demeure Mikhailov, après avoir saluer mon personnelle de maison, je me dirigeais vers mon antre, mes appartements privé, je fis couler un bain chaud, que je savourais avec une petite coupelle de champagne pour me détendre, après vingt bonne minute de relaxation il était temps de se changer et de s'habiller, je me dirigeais vers mon vide dressing, pour choisir la tenus la plus adéquat, il faut dire que j'avais l'embarras du choix, j'étais une personne qui aimais les costumes Italien de grand qualité de travail, pour ce soir j'allais opter pour une chemise rouge, avec un costume de couleur noir, avec des chaussures en cuir noir ciré. Sayez j'étais enfin fin prêt pour partir au club, l'ouverture officielle était donc prévus pour dans deux heures, je prie ma voiture sportive pour aller au club, il fallait quand même monter que le gérant du club n'était pas un idiot de pacotille.

Alors qu'une certain tension ce sentais dans le club de tous part, l'agence de mannequin, avait tous installe et commençait les petits préparatif d'avant la fête, j'ai eu un aperçu rapide des filles présente ce soir, mais j'avais pas le temps de me présentais je montais directement dans mon bureau pour peaufiner les derniers détaille de cette soirée qui va marquer les anales de cette ville, j'avais vue les choses en grand, des mannequins, différents Dj's de renom, avec de l'alcool à flot. Alors que j'étais perdus dans ses papiers je n'avais pas vu l'heure tourner est il était déjà l'heure d'ouverture, je descendis et je pouvais déjà annoncer que la soirée aller être bonne, le club s’emplissait peu à peu, tous le monde étaient sur le pied de guerre, les gens s'amusaient la musiques était bonne, tous réunis pour passer une bonne soirée, en perspective alors que les jolies models photo défilaient, je fus intrigué par une, une jeune brune, qui semblait avoir une prestance naturelle, un truc que les autres filles ne semblaient pas avoir en elle, je le suivais au loin du regard je ne pouvais détacher mes yeux de son visage, jusque au moment ou la jeune femme semblait avoir pris sa pose, elle sortit en extérieur, et quelque instant après la voilà de nouveau de retour, la jeune brunette ce dirigeait donc vers les toilettes et mon instinct de Vampire me dit de faire pareille, je la suivais discrètement pour pas éveiller ses soupçons.

Alors que je m'approchais délicatement de la jeune femme, elle semblait avoir fait tomber quelque chose, et lâcher quelque jurons avant de le retrouver, nous voilà maintenant elle et moi nez à nez, j'avais un petit sourire sur les lèvres, elle me salua et me demanda si j'avais besoin d'aide, d'un ton assuré je lui dis.

- Bonsoir, je suis un ami du patron , et il faut dire que c'est la première fois que je viens ici et je me suis perdus dans tous ses couloirs, c'est un night vraiment immense, sinon je m'appelle Jim, et vous quel est votre joli prénom ? Et sinon puis je vous invitez à aller boire un verre si nous n'êtes pas pressé ou alors attendus par quelqu'un.

J'attendais la réponse donc de la jeune et jolie femme, au fond de moi je n'avais qu'une seul envie c'est qu'elle me dise oui, pour continuer la soirée dans une bonne ambiance et en bonne compagnie surtout car la femme, m'attirait un peu.

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Depuis le début de la soirée, j'avais dû changer au moins cinq fois de tenues jusqu'à présent pour le défiler et plus cela allait, plus j'avais l'impression que c'était réellement des vêtements de moins en moins habillés. La sélection des tenues avaient dû être faites avec des associés du patron de la boîte de nuit pour garder l'intérêt des clients sur les jeunes femmes. Si la clientèle était intéressée à regarder, il avait intérêt à vouloir consommer pour ensuite avoir l'occasion de partager avec les mannequins présentes. Quoi qu'il en soit, je ne pouvais aucunement dire que la soirée était ennuyante, bien au contraire, le divertissement était au rendez-vous avec les DJ's, le service et la présence des clients. J'avais demandé à pouvoir prendre une pause étant donné que je commençais légèrement à avoir la tête qui tournait avec les quelques shots qu'on m'avait offert. Malgré les tenues légères, avec les spots de lumière et compagnie, il faisait chaud dans le night-club. Alors que je sortis de l'établissement pour prendre l'air, je m'étais malheureusement laissé tenté par un produit qu'offrait un dealer à l'extérieur. Alors que je sortis de l'établissement pour prendre l'air, je m'étais malheureusement laissé tenté par un produit qu'offrait un dealer à l'extérieur. En me redressant une fois mes dus retrouvés, j'avais pris quelques secondes pour refermer mon peignoir pour finalement faire face à cet inconnu que j'avais brièvement aperçu avant de me faire bousculer. Son regard était plutôt insistant lorsque je m'étais relevé la tête, j'avais souri timidement avant qu'il ne se présente. Eh merde, je devais bien m'y attendre vu le look hyper soigné, ce n'était pas exactement un client traditionnel. La politesse Ana, voyons! Je refermais ma main sur le sachet, avant de croiser mes bras sous ma poitrine, afin de le glisser dans mon soutien-gorge.

- Oh, enchanté Jim ! Répliquais-je, en souriant. Oui, effectivement, c'est presque un labyrinthe cet endroit, et cela même lorsqu'il n'y pas autant de monde. L'endroit est sympa, affirmais-je, en jetant brièvement un coup d'œil vers le bar où tout près se trouvait le stage. Ana, finis-je par répondre. Je m'appelle Ana, désolée.

Je n'avais qu'une dizaine de minutes encore devant moi avant la fin de ma pause, soit j'allais finir ce que j'allais m'apprêter à faire donc en faussant compagnie à l'ami du patron de cette boite, qui paye mon salaire pour la soirée, soit je le suivais en laissant le cours de la soirée aller. J'étais un peu partagé à l'heure actuelle, cette tentation était tellement forte de rechuter, se laisser aller ou bien de rester concentrer sur l'idée première de cette soirée ; le boulot et ce qui en découle. Il paraissait plutôt bien, homme d'affaire classe, sérieux et à la fois charmeur. C'était ce qu'il dégageait jusqu'à maintenant du moins. J'adressais un charmant sourire à ce jeune homme avant de finalement répondre à sa proposition.

- J'ai un peu de temps devant moi avant ma prochaine parade, répondis-je.

Que perdais-je réellement à discuter avec lui ? À défaut de briser mon abstinence, parce que j'avais ressentis un vide pendant une fraction de seconde. Ma venue ici me dépaysait complètement, je n'avais personne vers qui réellement me retourner, j'aurais tant aimé que mon meilleur ami soit là malheureusement, par ma faute, il ne le pouvait pas. Je chassais rapidement cette idée de ma tête autrement, je ne passerais pas la fin de la soirée.

- Avec plaisir, pour le verre, terminais-je, en lui adressant un joli sourire.

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Alors que la soirée ce passer à ravir, tous semblait aller sur des roulettes, les gens s'amusaient, l'alcool couler à flot, mais mon oeil de vampire fus attirer par une jeune femme, toute jeune avec les cheveux brun, je la suivais du regard, alors quel semblait quitter la scène l'heure de sa pause, discrètement je la suivais, alors qu'elle semblait vouloir aller au toilette, je m'approchais d'elle, je ne voulais pas me présenter tous de suite comme Mikhail Mikhailov, le gérant de cette boite de nuit, non ce soir j'avais envie de jouer un peu et me présenter sous une autre identité, pour jouer un peu j'inventais donc un prénom bidon et une pseudo amitié avec moi même, rien que le fait d'y penser, un sourire s'afficha sur mes lèvres, nous verrons où cela va nous mener, j'avais donc proposé à la jeune femme d'aller boire un verre, elle réfléchis quelque instant, elle me dit qu'elle avait un peu de temps avant sa prochaine parade de mode, je lui tendis donc mon bras, alors que j'allais l'emmener au bar, je risquais de me faire démasquer, mes employés risque de griller ma couverture.

Alors que mon cerveau tourné à plein régime, un éclaire de génie éclata, j'allais devoir l'amener dans mon bureau, pour boire un verre tranquillement sans être importune par qui que ce soit. Alors que je la guider, nous nous trouvions devant l’ascenseur, je tapais le code pour pouvoir monter, nous voilà dans mon petit coin de paradis, avec mon petit salon et mon bar, j’invitais la jeune Ana à s'installer confortablement dans le petit salon prévus à cette effet et de ce mettre à l'aise, alors que la jeune brunette s'installer, discrètement je jetais un coup d'oeil au caméra de surveillance, pour voir si tous aller bien, ensuite avec un petit sourire charmeur, je m'approchais du bar, en proposant à la jeune mannequin savoir ceux qu'elle vaudrait boire, la jeune femme me demanda de lui servir un petit shot, sourire au lèvre je lui préparer ma spécial, après l'avoir servis, je me servis un bon verre de Vodka. Je m'installer donc sur mon fauteuil fétiche, et regarder la jeune brunette qui semblait parcourir mon bureau de fond en comble, tout semblait l'intriguer.

- A notre santé et surtout à notre belle rencontre, bon je me suis permis d'emprunter le bureau de mon ami Mikhail, car lui actuellement à du s'absenter car il à eu des choses à régler dans l'un de ses autres commerces, dans une autre, ville c'est pour cela qu'il m'avait demander de rester ici ce soir et garder un œil sur son affaire, mais bon vu que tous roule parfaitement pas besoin de s’inquiète. Sinon j'ai pu voir que vous travaillez comme Mannequin pas étonnant qu'une aussi jolie fille que vous, fasse un tel travail.

Avec un petit sourire, je continuais à examiner la jeune femme, une humaine mais qui semblait avoir quelque chose en elle qui m'attirait, et je dois avouer que cela ne m'est pas arriver depuis un long moment, d'habitude ce genre de fille, je passe directement au plat de résistance sans vouloir à apprendre à les connaître, mais là aujourd'hui c'était complétement différent, je voulais en savoir un peu plus sur elle, d'où elle vient, ses goûts, avoir une véritable discutions, alors que nous buvions tranquillement nos verres, pour mettre un peu plus d'ambiance, j'allumais les enceintes pour diffuser la musique.

- Sinon cela fait longtemps que tu es dans cette ville, car je dois t'avouer que c'est la premier fois que je te vois ici, et pourtant je dois te dire que je sors souvent trainer à droite ou à gauche, mais ton visage ne me rappelle strictement rien et pourtant un visage comme le tiens on ne peut pas l'oublier si facilement, sa j'en suis sur à cent pour cent.

Je proposais à la jeune femme un deuxième verre, car nous avons tous les deux finis notre première consommation.

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Depuis le début de la soirée, j'avais dû changer au moins cinq fois de tenues jusqu'à présent pour le déCette soirée avait aucunement pu être comme j'avais pensé à dire vrai quand je m'imaginais commencer dans ce métier, faut croire que je n'avais pas une vision généralisé du boulot. Je devais admettre que c'était plaisant de sortir des normes qu'on qualifie de traditionnel, ça permet de mettre des objectifs beaucoup plus large. Cet événement représentait ma seconde journée de boulot avec l'agence qui m'employait et bien sûr, j'avais un peu le titre de la petite nouvelle, celle à qui on veut tout conseiller pour que tout se passe bien, mais aussi celle à qui on veut faire de l'ombre pour garder ses avantages. Ce matin, l'une des filles avec qui je bossais pour le défilé était venue me dire que je ne ferai jamais long feu dans le domaine étant donné que je n'avais pas les mêmes dimensions corporelle que les filles de l'agence. J'avais effectivement, plus de formes qu'elle et j'étais plus petite que la moyenne, mais cela ne changeait en rien le rendu que je donnais, à croire qu'elle craigne réellement que la petite nouvelle lui fasse de l'ombre parce que la patronne voulait que je sois dans l'ouverture. Je ne pouvais pas me laisser abattre au moindre faux pas, je n'avais pas le même parcours que ces filles, je n'étais pas elles et elles ne sont pas moi non plus. Je venais du Canada, donc déjà les autres me voyaient un peu comme un intrus étant donné que de leur point de vue, j'aurais pu trouver quelque chose plus près de chez moi. J'ai bien essayé alors que pourtant, je n'avais pas réussi à avoir un contrat plus sérieux, comme me proposait cette agence.

Voilà que ma pause prenait un tout autre tournant lorsque j'étais tombé sur Jim, qui semblait vivement intéressé à prendre un verre en ma compagnie. Alors que j'avais pris un instant pour regarder mon téléphone afin de savoir le temps qui me restait avant de devoir retourner dans l'arrière stage, j'avais accepté sa proposition. Il était d'une élégance impressionnante, alors que son sourire ne faisait que complémenter son charme. Alors que j'avais pris un instant pour regarder mon téléphone afin de savoir le temps qui me restait avant de devoir retourner dans l'arrière stage, j'avais accepté sa proposition. Adressant un léger sourire à ce jeune homme, j'avais jeté un coup d'œil vers le podium un bref instant avant d'apercevoir le regard de ma patronne qui m'adressait un large sourire et un clin d'œil. Je n'étais pas tellement certaine de comprendre ce que cela voulait dire exactement à dire vrai et cela me tracassait légèrement. Nous avons finalement continué notre chemin pour se rendre dans le bureau du patron de cette boite, plutôt fascinant à dire vrai. Un style plutôt moderne décoré avec des objets qui pourrait faire partit de collections dans des musées probablement, cela ne semblait pas des plus communs à dire vrai. J'étais curieuse de nature, donc je fouinais du regard un peu partout autour de moi alors que je l'avais suivi de manière plus timide. Alors qu'il me proposait quelque chose à boire, je m'étais contenté de lui demander un shot de ce qui lui parlait le plus, pour finalement prendre place dans un des fauteuils au centre de la pièce.

- Vous croyez que votre ami apprécierait que vous invitiez une femme ici ? Lançais-je, curieuse. Il semble être un homme d'affaire plutôt occupé à ce que vous me dites et ce que j'ai pu entendre de lui, ajoutais-je. À dire vrai, je débute tout juste… Avec l'agence, je veux dire. Cet univers est tout nouveau, repris-je, en lui adressant un petit sourire.

Sur le moment, j'avais surtout fui son regard par gêne, je n'aimais pas être le centre d'attention et je ne m'attendais pas forcément à un tête-à-tête avec lui lorsque j'avais accepté ce verre. Je me trouvais complètement idiote pour être honnête, peut-être trop naïve pour ce monde de subtilité constante. Alors que je me replaçais doucement sur le fauteuil, ajustant mon par-dessus, je lui adressais un petit regard intrigué de cet intérêt qu'il avait pour moi, cependant, je fus prise de cours par les mots qu'il avait employé par la suite, le teint rosé de mes joues trahissaient sûrement l'expression indéchiffrable sur mon visage.

- Parce que vous avez une mémoire photographique de tous les gens que vous croisez ? Répliquais-je aussitôt. Enfin, il y a tellement d'habitants ici, repris-je, en m'excusant. Je ne viens pas d'ici, lui répondis-je, plus sincèrement.

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Alors que nous buvions un verre dans le bureau de Mikhail, et oui ce n'étais pas le mien mais celui de Mik, car ce soir j'avais envide 'être Jim, ce mec lambda qu'on fréquente car il est cool et raconte des blagues sympa et pas parce que son portefeuille est plus important que certain pays, ou encore car il connait un telle ou un telle, non ce soir j'avais décider du moins avec cette fille, d'être un inconnus sans aucun prestige ou étalement de richesse, ce soir je voulais voir si cette fille, est superficielle ou si il y a quelque chose de plus en elle, car je dois avouer une chose elle me plait bien, cette jeune petit brunette, et ce soir nous allons nous amuse car j'étais d'assez bonne humeur, le club marche d'après ce que j'ai pu voir l'alcool coule à flot, alors pourquoi ne m'autoriserais je pas une petit pause ? Ses derniers jours on était difficile pour moi, j'avais donc un besoin en moi de me défouler ce soir, oublier le club, mes potentiels problèmes, le monde surnaturel, je voulais ce soir être tous simplement moi, un homme jeune fêtard et insouciant.

Alors que nous buvions nos verres tranquillement, la jeune femme me fit une remarque qui effleura un sourire sur mes lèvres, alors Jim croit tu vraiment que Mik, ne va pas aimer ce que tu viens de faire ? Alors que la jeune femme continuais à m'expliquais, que cela ne faisait pas longtemps qu'elle était en ville, et que surtout le mannequin était d'après ce que j'ai compris un peu une nouveauté pour elle, ok donc elle n'avait vraiment aucun attache ici et elle vient découvrir cette ville Ô tant dangereuse par elle même, intéressant comme remarque. Je continuais à boire ses paroles, telle un adolescent lors de sa premier date, pour autant il faut dire que en sept ans trente année d’existence j'ai eu largement le temps de m'entrainer à draguer une fille, et j'ai même eu le sacré privilégié d'en voir l'évolution ou à une époque nous devions courtiser la demoiselle pendant un certain temps, avant de pouvoir conclure ou encore il y a pas si longtemps à l'invite à plusieurs diner et enfin conclure, tandis que maintenant avec votre Smartphone tous est devenus digitale, tu peux choisir n'importe quel fille, et au bout de une ou deux heures d'attente de conclure.

- Ne vous inquiétez pas pour sa Ana, Mikhail et moi sommes vraiment de bon copain, nous partageons beaucoup de chose ensemble, donc même si il nous savait ici dans son bureau, Mik nous en tiendrais vraiment pas rigueur, je t'assure, après je comprends que cela soit dur pour toi si tu débute ce métier et surtout dans une nouvelle ville comme celle-ci qui n'est pas vraiment une ville des plus rose, en tous cas c'est bien que tu sais ce que tu veux.

Alors que nous continuons à discuter de tous et de rien, je lui fis remarquer que jamais, je ne l'avais croiser auparavant je pus remarquer à cette remarque que les joues de la fille avait légèrement changer de couleur, elle semblerait qu'elle ne soit pas habituer à tant d'attention de la part d'un type, et je dois avouer que cela m'étonnais fortement car une si jolie femme, a du ce faire courtiser plus d'une fois, elle me dit en me taquinant si j'avais une mémoire photographique, comment lui dire qu'un vampire retiens quasiment tous ? Puis elle me dit que la ville était bien trop grande, c'est vrai que pour moi c'est une petite ville, ayant pas mal vécus sur Moscou, c'est vrais que maintenant que je suis ici, tous me paraît plus petit et dérisoire.

- Effectivement nous pouvons dire sur en quelque sorte, j'avais une mémoire photographique puis comme je l'ai dit une si jolie femme, ne s'oublie pas, mais maintenant je comprends un peu mieux que votre tête ne me reviens pas, car si cela ne fait pas longtemps que vous êtes là, je n'ai pas encore eu le plaisir de vous voir en dehors d'ici, en ceux qui concerne la grandeur de cette ville, c'est vrais qu'elle est assez grande, mais j'ai eu la chance de pas mal voyager, et finalement je trouve que cette ville n'est pas si grande que cela après ceux que j'ai pus voir ou encore visiter.

Bon maintenons que nous avons un peu discuter, il fallait passer au niveau supérieur, j'avais envie de la connaître bien entendus mais j'ai aussi envie de m'amuser, alors qu'elle était assise sur le fauteuil en fasse de moi, je me levais pour me rapprochais, un peu plus d'elle, mon ouïe me permis d'entendre que ses battements de coeur avait légèrement augmenter, et ainsi augmenter le débit de circulation de son sang, je trouvais toujours cela amusant que les humains dans certaine situation où ils sont un peu mal à l'aise, leur pouls augmente, je regardais la jeune femme avec insistance.

- Sinon comment tu aimes passer ton temps libre, comme tu l'as si bien dit tous à l'heur cette ville est très grande, et pour quelqu'un qui est arriver depuis peu, et qui n'as pas forcément des attaches, cela ne dois pas être évident, surtout que ton métier et un peu prenant, mais bon si tu aimes t'amuser tu es tombe sur le parfais garçon, car moi j'adore m'amuser et découvrir de nouvelle chose en permanence.

Avec un petit sourire, je me servais un autre verre en regardant la jeune fille.

- Oh fait veut, tu boire autre chose ou manger un bout, car depuis que tu es ici je ne t'ai pas vu beaucoup souffler, alors surtout n'hésite pas à demander ceux que tu veux, tes désirs serons mes ordres ce soir.

J'avais bien appuyé sur la dernière partie de ma phrase.

Nouvelle opportunité

Le déroulement de la soirée avait fini par me diriger vers le bureau du patron, en présence d'un ami de ce dernier étant donné que le patron en question, semblait avoir eut autre chose à faire de plus important que de prendre le temps de d’intéresser à l'ouverture de sa nouvelle boîte. Quel genre de patron cela faisait-il de lui en réalité… Le genre qui n'avait guère l'intérêt de s'impliquer auprès des gens qui travaillaient pour lui, tous ne devenaient qu'un numéro à son empire grandissant. Ça laissait paraître à ces clients ainsi qu'à ces employés que la seule chose qui l'importait réellement était le revenu que lui apporterait l'établissement, rien de plus. Prétentieux sur les bords comme homme d'affaire, mais bon, ça lui appartenait, il le gérait comme bon lui semblait. Il avait une décoration, ou plutôt une collection d'objets surprenants qui devaient valoir une petite fortune, à quoi bon décorer un bureau pour une boîte pour laquelle il avait si peu d'intérêt ? Pour montrer sa fortune à ces investisseurs ? Tant de questionnements qui resteraient sûrement sans réponse, puisque ma curiosité maladive ne quitterait pas les mises en scènes que produisait mon cerveau.

Acceptant alors le verre que Jim m'avait offert, nous avions commencé près du mini-bar privé que Mikhail avait dans son bureau. Je n'avais pas réellement pris conscience du nombre de caméras que pouvait contenir une boite de nuit comme celle-ci avant d'apercevoir les écrans dans le bureau, c'était surprenant l'idée de pouvoir tout garder à l'œil. J'avais consommé mon shot avant de le redéposer sur la surface en marbre, pour finalement me promener légèrement dans le bureau et finir par rejoindre le grand fauteuil libre, face à mon interlocuteur qui me faisait part de son point de vue à mon sujet, puis finalement de me questionner sur ma présence en ville. J'avais abrégé le sujet de Mikhail, puisque je ne jugeais pas important de l'inclure plus longtemps dans cette conversation, autrement, il n'avait qu'à être présent pour se justifier lui-même. Je n'étais sûrement pas le genre de femme classique qui aimait particulièrement avoir le centre d'attention, bien que j'avais mes moments. Je m'étais contenté de rester brève dans mes propos, lui expliquant que la Nouvelle-Orléans était encore tout nouveau pour moi. Ce regard qu'il avait en me regardant, avait pour effet de légèrement me faire perdre le sens de mes idées, c'était assez déconcertant.

- Je ne dirais pas que ce soit plus dur parce que je suis nouvelle, le corrigeais-je. Je dois faire ma place, tout simplement, comme celles avant moi. Qui n'est pas une ville des plus roses ? Demandais-je, par pure curiosité. Qu'est-ce que c'est supposé vouloir dire ?

Inclinant doucement la tête vers lui lorsqu'il mentionnait que la ville n'était pas forcément des plus roses, j'ignorais complètement ce que j'étais supposé comprendre de tout cela. Il avait enchaîné en me faisant part du fait qu'il n'avait aucune idée de qui j'étais réellement, que mon visage ne lui était en rien familier et que jamais il n'aurait oublié m'avoir croisé si cela avait été le cas, ce qui m'avait fait légèrement rougir. Non pas que je n'avais pas spécialement l'habitude de ce genre de compliments, simplement que la formulation n'était pas exactement sous cette forme. Je n'étais donc pas très difficile à déboussolé, et puis il y avait toujours une façon de parler, mais cela n'en était pas déplacer pour autant.

- C'est très charmant de votre part, cependant, je ne suis pas si différente des autres femmes. Autrement, vous devriez envisager de voyager vers Montréal, peut-être auriez-vous l'occasion de rencontrer plus …. De belles femmes ? Répondis-je.

Alors qu'il avait expliqué avoir beaucoup voyagé, il avait affirmé que la Nouvelle-Orléans n'était peut-être pas aussi grand que je pouvais la décrire. Peut-être n'avais-je pas la même vision de la vie pour n'avoir que visiter mon petit chez moi après tout, mais pour la taille que j'occupe dans cette ville, j'ai tendance à dire qu'elle n'est pas si petite que ça. Il s'était par la suite redressé de son fauteuil afin de se rapprocher, pour prendre place tout près de moi, alors que bêtement, j'avais été nerveuse. Mon cœur avait manqué un battement avant de s’accélérer petit à petit, alors que je l'avais suivi du regard.

- Suis-je en train de répondre à un sondage sur comment, devrais-je vivre à la Nouvelle-Orléans ? Répliquais-je, en le regardant. Vous savez que vous pouvez presque sonner comme un potentiel agresseur à me questionner sur mes habitudes de vie comme ça ? Lui fis-je remarquer, en restant de mon côté.

Il avait cette façon d'être sûr de lui sur un peu tout ce qu'il avançait, ça pouvait avoir son charme. Cette façon qu'il avait de vouloir savoir qui j'étais, ce que je faisais me mettait légèrement mal à l'aise, j'avais l'impression qu'il voulait un peu trop me connaître et cela était dans la limite du intrusif.

- Je suis principalement ici pour le boulot, repris-je. Normal que je ne prenne pas exactement le temps de m'amuser avec l'ouverture de la boite de nuit. D'ailleurs, je devrais sûrement y retourner bientôt…

Codage par Libella sur Graphiorum

Voilà que la soirée était déjà bien entamé, le club était remplis de gens qui s'amusaient comme des dingues, mais moi ce soir là j'avais décider d'être un autre homme, pour parler à cette jeune et jolie mannequin venus directement de notre pays voisin le Canada, je dois avouer une chose en tant d'année d'expérience quelque chose m'attirais en elle, comme un aimant alors que nous discutions de tous et de rien dans mon bureau, enfin de le bureau de Mikhail, je voyais que la jeune femme avait un certain tempérament et qu'elle n'allait surement pas aller ce laisser avoir si facilement, plus j'essayais de la chercher et la pousser dans ses retranchement et plus la jeune femme montrait de ses crocs, cela en devenais fortement intéressant comme jeu, nous buvons nos verres, j'essayais d'en apprendre d'avantage sur la jeune femme, mais elle semblait être sur la défensif constamment, le jeu n'aller pas être facile mais j'aimais les nouveaux challenge, certain de mes confrères auraient déjà utiliser leur charme vampirique mais moi je ne le voulais pas non, je trouvais cette voix tellement facile et indigne pour un vampire telle que moi, je devais être capable de percer ce genre de risque sans avoir à utiliser n'importe quel subterfuge de vieux vampire, je devais connaître ceux qui m'entoure comme je me connais moi même.

Alors que je tentais de percer les mystères de la jeune et belle fille, je fis des erreurs de débutant, au lieu de la jouer en finesse et douceur, je rentrais dedans comme dans du lard, ce qui poussa bien entendus la jeune femme à être encore plus renfermer et sur la défensif avec moi, elle me souligna un moment d'une façon jolie mais élégante, que nous pourrions penser que mon comportement à la questionner autant ressembler à celle d'un potentiel agresseur, ses mots firent disparaître de mon visage l'histoire de quelque instant mon sourire, suis-je devenus si mauvais que cela ? Cela me rappelle mes début en tant que vampire, j'alliais une certaine délicatesse et finesse mais toujours sur une lame de rasoir, je tanguais toujours entre deux eaux, attraper ou ce faire attraper telle était la question perpétuelle, mais heureusement au fil du temps, je m'étais grandement améliorer et j'avais ainsi eu le temps d'étudier le comportement humain au mieux, pour ainsi pouvoir les cernés dans la vie de tous les jours.

- Veuillez m'excuser de mes maladresses, je ne suis en aucun cas un prédateur ou autre, mais je suis une personne assez cash et direct donc parfois nous pourrions croire que je cherche je ne sais quoi alors que pas du tout, je ne vais pas vous mentir car ce n'est pas dans mes habitudes, il est vrai que je vous trouve fortement charmante comme demoiselle mais jamais je ne ferais quelque chose qui pourrait vous nuire ou être une situation embarrassante pour vous comme pour moi.

J'espère que ses mots, l'aurait un peu apaiser, alors que nous continuons à discuter de tous et de rien, elle me rappela gentiment qu'elle était ici principalement ce soir pour le boulot et que c'est bien normale qu'elle n'était pas venus ici pour s'amuser ou passer du bon temps, une jeune femme ambitieuse et en plus de cela consciencieuse, j’apprécie cela, de nos jours les jeune femmes qui font le même travail qu'elle cherche seulement le parfait dandin, mais non pas elle, Ana savait qu'elle était payer pour un boulot, et qu'elle devait le réaliser que cela lui plaise ou non, un large sourire s'afficha à mes lèvres, voulait elle réellement retourner auprès de ses gens et être contempler comme du bétail et être aduler comme un objet que tous les hommes de cette soirée vaudraient s'approprier au moins pour une soirée et qui seraient tous capable de vendre leurs âmes au Diable pour assouvir ce désire charnel qui habite quasiment tous les hommes présent ici ce soir au club, moi j'avais une meilleur plan pour elle, je ne voulais pas qu'elle soit le fruit des fantasmes de jeune puceau ce soir ou encore l'objet de conversation de vieux riche véreux, qui discuterais pour combien d'argent elle accepterait de coucher avec eux.

- Sinon j'ai une autre proposition à vous faire, que direz-vous de rester ici encore avec moi, et de discuter et profiter de cette soirée, au lieu de redescendre en bas avec les autres, pour être regarder telle un steak haché, en ce qui concerne vos indemnité ne vous inquiétez pas le moindre du monde, je connais très bien votre patronne et elle ne vous dira pas le moindre mot, je m'en porte entièrement garant et si cela peut vous rassurer je peux même lui passer un coup de fil pour lui préciser que vous êtes actuellement en ma compagnie et qu'elle ne s’inquiète pas pour vous.

La balle était maintenant lancer, et elle se trouver dans son camp, elle avait maintenant le pouvoir de soit poursuivre la soirée en ma compagnie ou alors de retourner auprès de ses amis en bas et continuer le défiler devant tous les gens présents en bas qui m'attende qu'une seule chose.

Nouvelle opportunité

Le bureau de Mikhail restait un endroit plutôt agréable, pas trop surchargé de décoration, juste assez pour dire qu'il était personnalisé pour lui. Plutôt complexe à cerné, je devais admettre, une part semble donner l'impression que sa fortune le décrit parfaitement dans son indifférence pour autrui alors que lorsque nous portons un peu plus attention aux détails, c'était un peu plus complexe que l'idéologie de démontrer ces biens. Il n'y avait pas l'ombre d'un doute qu'il ne vivait pas la misère, mais peut-être n'était-il pas aussi froid que l'image laissait transparaître, du moins je laissais place aux doutes. Cependant vu cette façon de le décrire qu'avait Jim, cela n'aidait pas sa cause, beaucoup trop occupés pour se présenter en personne à l'ouverture d'une nouvelle boite ? On revenait à l'idée de départ qui se veut que Mikhail soit un patron détaché, et froid envers ceux qui l'entoure au niveau de ces commerces ; l'image parfait du business man. Rien dans la pièce ne la personnalisait plus intimement, pas de cadre photo, pas de trait plus spécifique relatif à l'homme qu'il pouvait être. Outre un fanatique d'histoire, vu cette collection d'objets.

Alors que je suranalysais tout ce qui se trouvait autour de moi, je m'étais légèrement égaré dans mes pensées tandis que j'échangeais avec Jim sur les raisons de ma venue à la Nouvelle-Orléans. Je ne m'étais aucunement gêné de lui faire savoir que ces questions me semblaient un peu trop intrusive dans ma vie personnelle alors qu'on ne se connaissait pas du tout. Je ne pouvais pas nier que le charme semblait faire partie entière de lui, cependant, le manque de délicatesse dans ses échanges restaient encore un peu douteux. J'esquissais un fin sourire lorsqu'il s'excusa d'être aussi maladroit, se justifiant en précisant que ce n'était pas dans ces habitudes. Et hop, nous revoilà du côté charmeur de cet homme qui jouait de ses mots sur une mélodie parfaitement accordée.

- Préciser de ne pas avoir de mauvaises intentions, n'aide pas votre cause Jim, m'amusais-je. Mais je vais vous laisser le bénéfice du doute sur le sujet, renchéris-je.

Il ne semblait pas être si mauvais, mais je savais que les apparences pouvaient nous être rapidement trompeuses, je restais donc sur la défensive. Je devais m'attendre à me faire regarder et attirer l'attention vu la raison de notre venue dans ce bar, c'était une évidence avant même qu'on a eut traverser les portes de l'établissement. Je ne voyais aucun inconvénient à ce que les gens, les hommes principalement, nous déshabille du regard, tant et aussi longtemps que cela restait à ce stade. Je ne crois pas que le désire soit un péché, cependant franchir ce stade, devient un terrain glissant. En ce qui me concerne, aucun homme, ce soir, n'avait semblé dépasser la limite du respectable, bien que j'avais conscience que la nuit était encore jeune. Jim me proposa alors de rester avec lui, afin de discuter plus longuement, m'assurant que ma présence ici ne serait pas pénalisé en lien avec mon travail au sain de l'agence. Il m'expliquait alors que peut-être, je n'avais simplement pas envie d'être observé comme un morceau de viande au centre d'homme en chaleur, ce qui m'amusa grandement.

- Il serait donc plus approprié que je reste ici, que pour vos beaux yeux ? Je ne sais pas si je devrais percevoir cela comme de l’égoïsme ou de la possessivité, lançais-je en lui adressant un sourire en coin.

Bien entendu, je n'énonçais aucun jugement, simplement un fort amusement face à sa proposition. Cette proposition à laquelle je pouvais être tenté de réfléchir, non pas que j'adhère pleinement à l'idéologie qu'il ait du défilé et des clients de son ami mais parce qu'il m'intriguait. J'étais de nature curieuse, donc, cette façon qu'il avait à m'aborder avait piqué ma curiosité, en quoi, moi, je sortais du lot à ces yeux.

- Vous connaissez ma patronne vous dites ? Elle aurait intérêt de d’inquiéter pour moi, sachant que je suis avec vous? Demandais-je, l'interrogeant d'un haussement de sourcil.

Codage par Libella sur Graphiorum

La soirée défiler, je passais du bon temps avec la jeune Ana, à discuter, même si elle me tenait tête j’apprécie sa présence, avec elle il n'y a pas de faux semblant ou autre, et jusque à maintenant elle à toujours était ouverte et cache avec moi, la jeune mannequin ne macher pas ses mots, et surtout ne ce soucier pas si j'allais pour cela, tenter de lui entraver sa future carrière de mannequin, non pas le moindre du monde, la jeune femme parler avec moi sans aucun philtre comme si nous nous connaissions depuis de longue date, cela fait longtemps que je n'avais pas croisé une telle, fille car au fond de moi je sais qu'elle n'est pas intéressé par mon argent ou mon statue sociale, elle doit je pense apprécier juste ma présence et ma compagnie et sa de nos jours c'était extrêmement rare de trouver une fille de la sorte, ce genre de perle rare il fallait bien la garder et la cocooner. Tandis que je m'étais excusé de ma maladresse de tout à l'heure, elle me lança un autre pique en me précisant que préciser que je n'étais pas une personne avec de mauvaises intentions ne jouer pas actuellement en ma faveur.

Mais alors qu'elle m'avait préciser que bientôt elle devait aller rejoindre son défiler, dans un élan de courage je me lançais en lui proposant de rester ici avec moi, c'est vrais que je ne souhaitais pas tellement que d'autre homme l'épi telle un objet, je voulais garder ce beau diamant que pour mes yeux, mais ceci ne m'appartenais pas, elle était libre de faire ce qu'elle voulait, même si dans mon fort intérieur j’espérais qu'elle choisit de rester en ma compagnie, mais la jeune femme rebondis encore une fois sur ses pates, elle me demanda si je n'étais pas un peu égoïste ou encore possessif, a ses mots, je ressentis un léger rougissement, comment lui avouer qu'effectivement je ne souhaitais pas que les autres la regarde avec leurs yeux envieux et perfide, et que je voulais l'avoir avec moi pour le reste de la soirée, pour que je puisse profiter pleinement de cette dernière, en discutant, échangeant ou encore en rigolant, et puis surtout avec des discutions sérieuse car depuis longtemps personne n'avait oser me tenir tête de la sorte par peur de représailles ou autre.

- Je ne sais pas comment nous pouvons qualifier les faits, mais je sais que j'apprécie énormément votre compagnie, comme je vous l'ai dit j'ai beaucoup voyagé, rencontrer du beau monde, des femmes. Mais vous, vous avez quelque chose qui me pousse à rester avec vous et qui me dit "Jim essayer d'en apprendre plus sur cette fille car elle en vaut réellement la peine". En faite je pense ce que j'aime chez vous, c'est votre franc parler et votre simplicité, il n'y a pas de chichi ou je ne sais quoi, vous dite ceux que vous pensez et sa j’adhère à cent pour cent.

J'avais plonger mon regard de celui de la jeune femme, une certaine séreinité ce dégager de son regarde, quelque chose qui me déconnecter temporairement de ma triste réalité de vampire, et oui des personnes de mon rang n'ont pas le droit à l'amour ou encore à la compassion, non nous sommes considéré comme des damnés que Dieu à punis pour je ne sais quel raison, mais quand nous y pensons de plus près, moi je n'ai jamais rien demander, une personne du jour au lendemain ma ramener des morts en me disant "Tiens te voilà vampire, profite de ta nouvelle vie." Mais alors que je chassais rapidement ses idées de ma tête, la jeune femme, me demanda si je connaissais sa patronne et si cette dernière doit s’inquiète si elle est avec moi, un large sourire s'afficha sur mes lèvres, d'habitudes j'aurais dit que oui, car mon côté joueur ressortez souvent, mais pas là avec cette fille, je continuais de la regarder, mon regard ne lâcha pas le sien, je lui dit donc d'une voix des plus sensuelle.

- Effectivement je connais assez bien votre patronne, cela fait longtemps qu'elle dirige son entreprise et nous avons eu l'honneur de nous voir plusieurs fois, mais non elle n'as aucun raison de s'en faire pour vous, tant que vous êtes avec moi, vous ne craignez rien Mademoiselle, mais revenons à nos moutons, que souhaitez-vous faire ? Retourner en bas, ou alors profiter et me faire l'honneur de rester avec moi encore ? Pour vous dire franchement j'espère sincèrement que vous allez opter pour la deuxième option.

Un large sourire ravageur c'était affiché sur mon visage.

Nouvelle opportunité

L'idéologie du job de mannequinat avait toujours été pour moi un rêve, sans exactement savoir réellement ce que cela impliquait. Et malgré mes soucis de santé, j'avais toujours l'impression que je n'étais pas exactement à la hauteur, vu que je n'étais pas comme toutes ces autres filles qui exerçaient. Je me mettais une pression sur moi-même sur la vision que la société voulait que chaque femme soit, bien que cela pouvait paraître superficiel. Certains jours je vivais très bien avec le fait d'être différente alors que d'autres jours, je ne parvenais tout simplement pas à me retirer cette idée de la tête me ramenant à mes démons. Aujourd'hui représentait ma seconde journée au sain de l'agence et malgré les commentaires désobligeant de certaines filles, j'appréciais encore être là où j'étais, connaissant le parcours que j'avais entrepris pour me rendre jusqu'ici.

Cet échange avec Jim, me laissait doucement me remettre en question sur cette façon que je pouvais percevoir la vie certains jours, comme si au final, j'accordais réellement trop d'importance à ce que les gens pensaient. De nos jours, quoi qu'on fasse, qu'on dise cela déplaît toujours à quelqu'un, il suffit de s'entourer des gens qui correspondent à qui nous sommes. Peut-être devrais-je appliquer plus sérieusement ses conseils que j'ai tendance à donner aux autres alors que je n'en tiens pas moi-même rigueur. Je revenais donc un peu plus sérieusement à notre conversation, alors que je ne manquais pas une occasion de lui faire savoir que mentionner ne pas avoir de mauvaises intentions ne jouait pas plus en sa faveur. Était-ce une technique ou était-il réellement maladroit sur les bords ? Quoi qu'il en soit, cela avait piqué ma curiosité. Enchaînant en mentionnant que je devrais peut-être retourner à mon job, étant donné que j'étais payé pour défilé ce soir et non pour échanger sur ma vie avec l'ami du patron. Ajoutant que le fait qu'il aimerait continuer cette discussion et que s'il le fallait, il appellerait ma patronne afin de ne pas me pénaliser. En quoi ce Jim pourrait avoir une telle influence sur mon job ? Cela m'intriguait.

- J'apprécie l'intérêt que vous portez à mon égard, Jim, mais je ne suis pas aussi spéciale que vous le croyez. Sûrement même, loin de l'idée de simplicité que vous vous imaginez, m'étais-je contenté d'ajouter.

Alors que je portais mon regard vers le sien, j'esquissais un fin sourire. J'étais bien loin de l'idée d'une femme simple, j'avais plus de complications dans ma vie que je ne laissais paraître réellement. Je réfléchissais sûrement beaucoup trop de façon générale, je travaillais là-dessus, comme parfois cela me donnait l'air de considérer quelque chose qui n'est pas le cas du tout. J'ai besoin de revoir mes paroles avant de dire quoi que ce soit, parce que je me savais maladroite naturellement. Certes, je ne me mentais pas à moi-même sur ce qui se passait avec moi-même, mais j'avais aussi conscience que je ne le contrôlais peut-être pas aussi bien que je l'aurais voulu. Sans parler de ce fameux sachet que j'avais caché dans mon soutiens-gorge juste avant de monter avec Jim, pour discuter. D'ailleurs, avait-il un arrière pensé en m'amenant ici ? Pourquoi à part de tous alors que le bar aurait aussi très bien pu faire l'affaire ? Voilà que je recommençais à me faire mille et une histoire dans ma tête. Reviens à toi, Ana, s'il t'avait voulu du mal ça aurait déjà été fait. Enfin, je crois. J'avais chassé rapidement ces idées de ma tête, autrement, je savais que j'arriverai à déclencher une crise de panique et ce n'était ni le moment, ni le lieu.

Je m'étais redressé du fauteuil afin de me dégourdir les jambes, prenant quelques secondes pour repositionner mon peignoir avant de me diriger vers le mur vitré qui donnait une vue sur la ville. C'était impressionnant de voir la ville sous cet angle, aux petites heures de la nuit, voir à quel point, il avait tant de vie. Dans certains quartiers de Montréal, l'ambiance pouvait ressembler à la Nouvelle-Orléans, mais en beaucoup moins festif dans les saisons où les festivités n'étaient pas au rendez-vous. Reportant ensuite mon regard vers Jim, un léger sourire aux lèvres.

- Et vous Jim, que faites-vous dans la vie ? Je doute fortement que vous viviez dans l'ombre de Mikhail, vous semblez être un homme important. Vous ne portez pas un costard, basse gamme, comme ces clients en bas, qui veulent faire croire à une fortune, précisais-je.

Il avait eut les mérites de parler de son ami qui menait cette boite de nuit, mais autrement, je n'en savais très peu à son sujet à défaut de savoir qu'il avait beaucoup voyagé et du fait qu'il était peut-être un peu rouillé pour charmer une femme. Ce qui en soit, m'amusait un peu puisque cela faisait le charme du moment, j'avouerais. Je lui demandais alors si le fait qu'il aimerait que je reste ici avec lui se résumait à de l’égoïsme de sa part ou bien plutôt à de la possessivité, bien entendu, tout cela sur le ton de la rigolade. J'aimais l'idée qu'il désirait ma présence à ses côtés durant cette soirée, cependant, j'aimais aussi défiler, et cela, même si les filles et moi en faisions baver plus d'un. Il n'appréciait donc pas l'idée du défilé si je comprenais ce qu'il disait, puisque vu les circonstances, notre venue ici était principalement pour inciter la clientèle à consommer, impliquant indirectement les filles dans leur consommation pour un résultat plus optimale. Jim n'appréciait donc pas que les femmes soient vu comme des pièces de viandes, intéressant, différentes mentalités qu'une bonne partie des hommes de nos jours.

- Craignez-vous de ne plus avoir l'occasion de me recroiser ? J'ai cru comprendre que la Nouvelle-Orléans était une petite ville pour vous, souriais-je amusé, ramenant ces paroles. Je serais ravie de discuter avec vous, après mes obligations, affirmais-je.

Je lui avais accordé de mon temps personnel avant de reprendre, mais je ne devais pas marcher sur des œufs. Ce boulot était tout ce que j'avais pour le moment et je ne pouvais pas miser aveuglément sur les paroles de Jim pour m'assurer que cela ne viendrait pas me mettre des bâtons dans les roues plus tard. Déjà j'avais certaines filles à dos pour avoir fait le show d'ouverture sur le défilé alors que je suis nouvelle, si je me voyais avoir une passe-droit en plus, je creuserais moi-même ma tombe dans le domaine du mannequinat. Par politesse, je m'avançais vers lui, déposant un baiser à la commissure de ces lèvres avant de me diriger vers l’ascenseur.

- Usez de patience Jim, d'ici une heure, tout devrait être terminé, lui avais-je dit alors que les portes se refermaient.

Un sourire au visage, je regagnais alors mon poste derrière le rideau de présentation. J'avais eu très peu de temps pour changer de tenue étant donné cette discussion dans le bureau. Ma patronne était venue me glisser un mot sur le fait que je m'étais rapidement remise sur pied, ce qui m'avait laissée perplexe, que devais-je en conclure ? Quelles histoires parallèles reliait Jim à ma patronne, je l'ignorais, mais cela piquait de nouveau ma curiosité. Je n'avais pas le temps d'argumenter ce commentaire étant donné que c'était mon tour. J'avais donc pris place à nouveau sous le feu des projecteurs, sous le regard ravageur de ces hommes qui semblaient n'avoir vu aucune femme depuis bien trop longtemps. Le défiler avait une tournure plus musicale vu l'événement donc tirait vers de légers numéros de danse. C'était un peu de l'improvisation pour ce qui concernait la danse, étant donné que l'agence ne donnait pas dans ce domaine. Mélanie, ma patronne, avait fait monter deux hommes sur le stage, un des barmans du Lux et un des hommes de la sécurité de l'agence, bien que mon visage laissait transparaître l'incompréhension alors que je percevais la fille qui m'accompagnait, se diriger vers le barman. Une version de club de la chanson '' Señorita '' de Shawn Mendes avait débuter, alors que Nancy, celle qui m'accompagnait sur la chanson s'improvisait strip-teaseuse sur le bord en se frottant à lui. Ce n'était aucunement prévu dans le planning que j'ai à faire ce genre de chose. Par la même occasion, l'homme de la sécurité m'attrape par la taille pour ma garder près de lui alors que je me décale presque aussitôt. Il m'avait attiré contre lui après m'avoir fait tourner sur moi-même en me disant au creux de l'oreille qu'il s'attendait à beaucoup plus de ma part. Avec dégoût, je m'étais écarté avant de quitter la scène, évitant de justesse sa main pour me garder là où j'étais. J'avais croisé ma patronne qui semblait surprise que je ne me sois pas prêté au jeu alors que je semblais être une fille débordante de surprise. Je ne savais pas si je devais bien prendre ce commentaire.

- Tu sais quoi ? Je vais rentrer maintenant, affirmais-je.

Je m'étais aussitôt dirigé vers la sortie, me faufilant au travers de la foule alors que je n'espérais qu'une chose ne pas recroiser ce con de la sécurité. Je n'avais même pas jeté un coup d'œil au stage, alors que je montais l'escalier, je gardais la tête basse. Aussitôt, j'avais fait un bon dans la salle de bain, j'avais sorti ce fameux sachet que j'avais acheté plus tôt. J'avais finalement tiré une ligne dans l'une des cabines avant de ressortir, m'arrêtant brièvement devant le miroir. J'avais retouché mon maquillage, essuyant du revers de la main mon nez, en sortant de la salle de bain, j'avais foncé dans quelqu'un, en relevant la tête, j'avais reconnu Jim. Décidément aujourd'hui, j'étais plus que maladroite. J'échappais un soupire envers moi-même, avant de me mordiller la lèvre mal à l'aise.

- Je… Désolée. Je quittais, repris-je, simplement.

Codage par Libella sur Graphiorum

Alors que je profitais du moment présent avec Ana, j'essayais tant bien que mal de la convaincre de rester ici ce soir avec moi dans mes appartements privé, je dois avouer que ce n'était pas une chose facile et de tous repos, car la jeune femme savait ceux qu'elle voulait et aussi ce qu'elle ne voulait pas, est en plus de cela pour couronner le tous, elle était une fille extrêmement ambitieuse, elle à parcouru tant de kilomètre pour quitter sa ville et son pays d'origine et venir s'installer ici à la Nouvelle-Orleans, pour vivre en quelque sorte le rêve Américain, je dois avouer que moi le premier je pensais que la vie ici était tellement belle et rose, je me souviens quand je regardais les séries et filme Hollywoodien, dans ce genre de moment, ils promettent terre et lune, avec un pays remplis d'opportunité est qui en plus ouvert au autre. Mais qui est une réelle déception en fin de compte, tu débarques ici est tout le monde essaye de t'avoir ou encore t'arnaquer. Les autres poissons se prennent pour des requis, en essayant de te faire peur ou encore intimider, mais la plupart du temps, ce sont eux, qui sont les victimes.

Mais tandis que nous continuons à boire nos verres, tranquillement, la jeune femme avec un petit sourire me dit qu'elle devait partir, mais qu'elle reviendrais d'ici une petite heure, j'eu un petit sourire, si seulement la jeune femme, savait qu'une heure pour moi était simplement futile, j'étais un vampire à la vie éternelle jusque à ceux que la fin du monde arrive ou jusque au jour ou un vilain chasseur arrive jusque à moi et réussisse à me tuer, moi pour les années était devenus des heures, je me demande même si parfois, je n'ai pas perdus un peu cette notion du temps, comme je suis déconnecter un peu du système classique, ayant vécus et traversé sept siècle différent, parfois il peut m'arriver de voir une chose sous un angle, alors que finalement non ce n'était pas comme cela. Alors que la jeune Ana, ce leva pour aller accomplir son travail pour la quelque elle était payer, je ne pouvais pas m’empêcher de la contempler une dernière fois avant son départ, même si je savais que nous allions nous revoir, j'avais quand même cette envie qu'elle reste ici.

- Il n'y a pas de soucis, je vous attendrez alors ici, je vous attendrez une heure entière même plus si cela était nécessaire, j'ai beaucoup apprécier votre compagnie, maintenant je comprends que vous ayez des engagements auprès de votre agence et vos collègues de travaille, et je respecte ce choix donc quand vous aurez fini, je vous attendrez sagement ici, je n'aurais pas changer d'endroit, et puis nous pourrons continuer un peu plus sereinement la soirée que nous avons entamer ici.

Alors que la jeune femme pris l’ascenseur et descende rejoindre ses amis, je m'asseyais dans mon canapé en dégustant quelque verre de vodka, et je pouvais encore sentir son parfum imprégner mon bureau, un parfum qui est doux et délicat en même temps, quelque chose de subtile sans forcément être trop fort ou irritant, tandis que je buvais tranquillement mon verre de vodka, je me levais pour m'asseoir sur ma chaise, et ainsi avoir une vue sur la salle en bas, avec mes caméras je pouvais ainsi constater que tous jusque à présent ce passer à merveille, l'ambiance semblait bonne enfant, et les gens consommer tous en s'amusant, mais je dois dire que mon regard était rive sur la piste de mode, mais quelque chose m'intrigua alors qu'une chanson à allure latino passer, j'ai pus voir que Ana était là a ce moment. Mais quelque chose vient frapper mon regard, tandis qu'un agent de sécurité de mon club l'avait attiré près de lui, je pouvais voir qu'il lui glissa quelque chose au creux de l'oreille, et que cette dernière avec un visage de dégoût, le repoussa avant de partir.

A la vue de cette scène j’eus une monter de pression quasi immédiate, d'un pas rapide je pris l’ascenseur pour essayer de rattraper la jeune femme, alors que j'étais parmi la foule, mon regard croisa celui du videur, je lui fis comprendre d'un simple regard qu'il allait passer un mauvais quart d'heure mais pas dans l'immédiat non, je devais d'abord retrouver Ana, pour comprendre la situation, alors que j'avais pris une porte dérober, et que je marchais en direction de la sortie, par un heureux hasard, Ana me percuta alors qu'elle relever la tête, elle me fit un petit air de chien battue, elle s'excusa et bredouilla qu'elle partait. Je ne sais pas pourquoi mais l'un de mes premiers réflexe fut de la prendre dans mes bras, en la serrant contre moi, alors que je relâchais la pression en reculant, j’eus un petit sourire.

- Bah alors vous essayez de partir sans me dire un au revoir, j'étais de si mauvaise compagnie que ça ? Mais sinon trêve de plaisanterie j'ai vue à la caméra ce qui sais passer, enfin je n'ai malheureusement vue que des choses très courte et brève, pourriez-vous me raconter un peu plus en détaille ce qui viens de vous arriver ? Car dans ce club nous ne tolérons aucun comportement grossier ou déplacer, et aussi ne vous inquiétez pas pour votre travail, j'irais toucher deux mots à cette veille charrue, qui n'avertis pas ses filles du genre de prestation qu'elle propose parfois, vous allez garder votre emplois si vous le souhaitez mais sinon, je vous propose un poste ici car nous chercherons du personnelle est je me porterais garant pour vous, pour n'importe quel poste que vous aimeriez faire.

Avec un petit sourire, je regardais la jeune femme, qui semblait un peu sous les vapes.

Nouvelle opportunité

Bien que la journée avait débuté sur un petit nuage avec l'agence, tout venait de s'effondrer avec ce mal entendu, je n'avais pas fait autant de kilomètres pour venir provoquer un homme sur une scène devant les yeux envieux de ces autres hommes. Si j'avais réellement voulu faire ce genre de chose, j'aurais facilement pu trouver mon bonheur à Montréal, la ville regorge de bar de danseuses. Je ne jugeais pas ces filles qui exerçaient ce genre de boulot, simplement, je ne me voyais pas exactement faites pour, donc je ne supportais pas qu'on puisse me dire que j'avais à le faire sans mon consentement. Je n'étais pas une sainte, des danses dans le genre, j'en avais fait dans le passé en solo non pas devant d'autres gens puisque je ne jugeais pas approprié que ce soit public. Quoi qu'il en soit, j'étais réellement déçue par ma patronne qui me jouait du violon sur le respect mutuel dans l'entreprise.

Je n'avais pas exactement les idées claires sur le moment, j'avais finalement cédé à l'appel de la rechute face à ce bousculement d'émotions qui me traversait l'esprit actuellement. Je sentais déjà les effets de ce que je venais d'inhaler, différent de ce que j'avais pu prendre au paravent, je planais et c'était simplement plaisant. Alors que je retouchais brièvement mon maquillage, j'avais discuté avec une jeune femme complètement bourrée dans la salle de bain qui venait visiblement de s'envoyer en l'air avec quelqu'un dans le bar. Elle semblait défoncée et bourrée, mais aux anges, ce qui m'avait amusé à dire vrai bien qu'elle le regretterait sûrement demain matin, j'avais échangé brièvement avec elle avant de finalement me diriger vers la sortie pour rentrer chez moi, j'avais qu'une envie être loin de cet endroit. Disons que je n'avais pas exactement prévu d'être des plus maladroites en sortant de la salle de bain, cependant, fallait croire que c'était mon titre de la soirée. Je ne pouvais pas uniquement me contenter de percuter une personne sans importance en voulant quitter, la mine basse, je gardais en tête la direction de la sortie.

En relevant la tête vers Jim, je me souvenais notre discussion dans le bureau, en partie du fait que nous aurions l'occasion de rediscuter lorsque le tout serait terminé alors que voilà qu'il me prenait en pleine fuite. Certes, je ne le fuyais pas lui, mais les gens qui m'avaient mise mal à l'aise et en prenant rapidement conscience de cela, je culpabilisais légèrement. C'était stupide, je ne devais rien à personne, j'étais une jeune femme libre de mes choix après tout. Le regard que j'avais lancé à Jim, lui admettant que j'étais sur le point de quitter laissait transparaître mon inconfort de l'endroit actuellement. Son enlacement m'avait pris de cours, alors que je n'avais même pas bronché à son intrusion dans ma bulle, puisque je n'avais ressentit que du réconfort dans son geste. C'était sûrement bête de voir les choses ainsi étant donné que Jim m'est autant inconnu que l'agent de sécurité qui m'avait fait sortir de mes gonds. Il avait complémenté son geste avec des paroles qui avait réussi vaguement à me faire sourire avant qu'il enchaîne plus sérieusement en mentionnant les derniers faits. Je n'avais pas exactement envie de discuter de ce qui venait de se passer, et disons que j'avais les idées qui s'embrouillait légèrement avec la drogue.

- Je ne crains pas de perdre mon job, affirmais-je. Je discuterai plus clairement avec ma patronne lorsque j'aurai les idées claires.

Sans l'ombre d'un doute, les derniers événements m'avaient complètement prise de court, cela m'avait affecté émotionnellement et j'avais préféré consommer une substance illicite pour tenter de fuir ce que je ressentais. Ça allait à l'encontre de ma médication et pourtant, j'en avais rien à foutre en ce moment. J'adressais finalement un léger sourire à ce Jim, qui était bien trop charmant avec moi depuis le début de la soirée. Cet homme qui avait visiblement beaucoup de respect pour la gente féminine, à la différence de bien des hommes dans ce bar. Je lui fis savoir que le job qu'il me proposait était déjà en suspens comme j'avais discuté avec Andrea au début de la soirée. Inclinant doucement la tête en sa direction, j'affichais un faible sourire sur mes lèvres.

- À bien y penser… Je ne sais plus j'ai réellement envie de quitter, repris-je, en faisant un pas vers lui.

J'avais réduit l'espace qui nous séparait, alors que je pouvais sentir ce délicat parfum qu'il dégageait chose que je n'avais pas exactement remarqué plus tôt. Je ne souhaitais pas exactement causer d’ennuis à qui que ce soit par rapport aux choix que je faisais, peut-être avais-je simplement été trop vaste dans ce que je recherchais en commençant avec cette agence. Peut-être aurais-je dû porter une attention plus particulière aux petits caractères. Quoi qu'il en soit, je ne pouvais pas être entièrement responsable de la naïveté dont j'avais fait preuve en acceptant ce contrat, ma patronne connaissait en partie qui j'étais étant la femme de mon oncle. Tout ça allait être plutôt dur comme discussion le temps venue, ce qui n'est pas pour ce soir. Je devais plutôt concentrer mon attention sur cet homme, bien mystérieux de mon point de vue.

- Je ne dirais pas non à un verre en votre compagnie, finis-je par ajouter.

Codage par Libella sur Graphiorum

Alors que j'avais passe une douce et belle soirée, avec la jeune Ana, que j'avais rencontrer grâce à l'agence de mannequin que j'avais engager, enfin que Mik avait engager pour la soirée, je l'avais vue par pur hasard, sur la scène entrain de défiler, et je dois avouer que quelque chose m'as directement attiré vers elle, alors que je l'avais suivis du regard, la chance semblait me sourire, à ce moment précis, il semblait que c'était l'heur de sa pause, alors je décidais de la suivre, avant de lui tomber nez à nez dessus au toilette.Je ne me suis pas présente sous mon vrais identité, j'avais peur qu'elle ne soit ce genre de fille que j'avais rencontre plus d'une fois lors d'événement mondain, qui est attirer par l’appât du gain ou encore de rencontrer une personne avec un carnet d'adresse bien remplis, c'était donc pour cela que j'avais mentis, alors qu'elle avait accepté mon invitation, nous buvions un verre tranquillement un verre, et c'est ainsi que de fils en aiguille j'appris à la connaître et voir qu'elle était tous le contraire de ceux que j'avais imaginé, c'était une fille simple qui ne voulait pas ce prendre la tête et juste profite du moment présent, elle avait ses objectifs en tête, et elle savait ceux qu'elle valait, une femme autonome et indépendante qui sais ce qu'elle veut.

Tandis que nous buvions nos verres tranquillement, j'apprenais à connaître la jeune femme peu à peu, ses origines, ses ambitions et pourquoi elle est venus dans notre belle ville de la Nouvelle-Orleans, mais quelque chose me tracasser au fond de moi, je savais qu'elle était venu via cette maudite agence, et que la plupart du temps, il propose à des clubs comme le mien, des shows un peu plus comment le qualifier animé ? Alors que j'essayais de la convaincre tant bien que mal de rester en ma présence, elle souhaita tout de même retourner à son spectacle, chose que je respectais elle avait des engagements, qu'elle voulait respecter cela montre une fois de plus son dévouement professionnels ainsi que le professionnalisme qu'elle avait envers sa patronne et ses collègues de travail qui compter sur elle, la jeune Ana aurait très bien pu rester avec moi, sans qu'elle ne craigne la moindre représaille, mais non pas ce soir. Alors qu'elle me quitta pour rejoindre ses clients envieux, il ne se passa pas quelques vingtaines de minutes, qu'un souci éclata en bas, je descendis à la va-vite pour tenter de rattraper la jeune Ana, qui semblait s'être volatilisé dans la nature.

Mais par chance, je l'avais retrouver par pur hasard, alors qu'elle tentait de s’échapper en catimini, elle me fonça dessus, avec un petit sourire, je le regardais avec que je prenne dans mes bras, ainsi par la suite nous avons eu une petite discutions, mais encore une fois la jeune femme ce montra forte est indépendante, j'eus un autre petit sourire, mais c'est sa phrase suivante, qui fis un drôle d'effet, elle souhaitait continuer la soirée en ma compagnie en buvant un verre avec moi, cette femme était vraiment remplis de surprise, avec un petit sourire, je m'approchais délicatement de la jeune Ana, qui avait déjà réduis l'espace qui nous séparer déjà, avant de lui dire avec mon sourire le plus charmeur, comme je savais si bien le faire, de temps à autre.

- Je vais vous avouez une chose, j'espère réellement de tout cœur, que vous alliez me proposer cette option, au fait, je voulais savoir, cela ne vous dérange pas que nous nous tutoyons cela seras plus agréable et feras un peu moins formelle entre nous, et sinon pour le verre, je te propose de me suivre, dans un endroit encore plus agréable que le club, je suis sûr que tu ne seras pas déçus de ce détour.

Alors que je lui tendais ma main, elle me suivi sans trop poser de question, nous nous dirigions donc vers ma voiture qui était garer la, et après lui avoir ouvert la porte et l'installer, nous partions vers une nouvelle destination, nous voilà arriver, dans l'une des mes nombreuses habitation, un loft en plein centre ville, après m'être garer, j'ouvris la porte d'Ana en l'invitant une nouvelle fois à me suivre, alors que nous avions pris l’ascenseur, nous voilà arrive dans mes logements, alors que nous entrions, dans le salon, qui donner sur un immense salon avec une baie vitré, alors que je proposais à Ana de s'assoir je me dirigeais vers le bar pour sortir deux verres. Alors que je nous servais, je m'assis à coter de la jeune femme.

- Trinquons ce soir à notre nouvelle rencontre, et puis à ce moment de détente, sache que je suis actuellement très heureux d'avoir fait ta rencontre, et puis je suis sur que tu caches très bien ton jeu, et que tu as plein de chose à me dire et à me faire découvrir, je sens quelque chose de spéciale en toi, quelque chose de comment le qualifier d'envoutant ? Alors rien que pour cela, j'ai envie d'apprendre à te connaître d'avantage.

Alors que nous buvions nos verres tranquillement, je regardais la jeune femme, avec un petit sourire.

Nouvelle opportunité

Doucement, au cours de la soirée, j’avais finalement laissé mon addiction prendre le dessus sur mon abstinence et pour la première fois depuis un bon moment, je pouvais sentir cette liberté que me procurait ce genre de décompressant. Mes proches seraient sûrement déçues que j’aie flanché alors que sur le moment, j’avouerais que ça m’importais peu. En quittant la salle de bain, prenant la direction de l’échappatoire à cette soirée qui était devenu toxique pour moi, j’avais accroché cet homme, avec qui j’avais vaguement échangé au cours de la soirée. Tout allait bien avant que je ne choisisse de retourner à mes obligations, peut être, n’aurais-je jamais dû quitter le bureau de Mikhail lorsqu’il avait fait sa proposition. Cependant, ce n’était pas moi, je me devais de respecter mes engagements tant qu’ils respectaient mes limites, ce qui n’avait pas été le cas pour l’un des numéros final. Je lui avais adressée un fin sourire lorsqu’il s’était proposer d’échanger une conversation avec ma patronne sur le déroulement de la finale, qui n’avait visiblement pas été énoncer correctement envers ma personne. Je lui avais assuré que lorsque j’aurais les idées claires, je saurais mettre en ordre par moi-même ce mal entendu, mais que la soirée s’était écourtée pour ma part puisque je ne supportais pas qu’on empiète sur les limites que j’ai imposée.

— C’est très aimable à vous cependant de prendre ma défense. Enfin, à toi, repris-je suite à ce qu’il venait de me dire.

Faisant alors un pas vers lui, lui confiant que quitter n’était peut-être pas exactement une priorité sur le moment, maintenant que ma route venait de croiser à nouveau la sienne. Je lui proposait alors de reprendre la discussion que nous avions dans le bureau de Mikhail un peu plus tôt, afin de terminer la soirée sur une meilleure note. Je perdais peut-être un peu cette barrière que je m’imposais avec l’alcool que j’avais pu consommer dans ma soirée ainsi que la ligne que je venais de prendre, laissant place à une transparence totale. Il me proposa alors de le suivre, restant plutôt mystérieux sur l’endroit, je l’avais suivi sans l’ombre d’un malice alors qu’il avait piqué ma curiosité. Je prenais alors sa main, le suivant entre la foule, sans porter une réelle attention aux regards des gens autour de moi, qui eut pouvaient facilement se faire plein de scénario. Je restais, malgré moi surprise de la luxure de la voiture qu’il conduisait, comme moi l’idée que je me faisais de lui était un peu confuse, puis son attachement surdimensionner face au club de son ami laissait quelques questions dans ma tête. J’étais peut-être trop affecté par ces substances dans mon organisme pour réfléchir réellement à tout ça, peut être que j’aurais les idées plus claires demain matin. Bouclant ma ceinture, je m’étais laissé conduire là où il avait envie puisqu’en réalité, je l’ignorais complètement. Une fois à destination, j’avais l’air d’une gamine de cinq ans le soir de Noël, à regarder partout, autour de moi, le suivant de nouveau dans ce grand building à appartement. Il nous guida jusqu’à l’ascenseur tournant une clef afin de l’amener jusqu’au Penthouse, qui se trouvait être le sien.

— Vous ... Enfin, tu ne m’as toujours pas dit ce que tu faisais outre le fait de vivre dans l’ombre de ton ami, lançais-je en m’adossant à la paroi de l’ascenseur.

Je réalisais à peine que je n’étais pas exactement des mieux habillés pour me balader en ville, et pourtant, j’en avais rien à faire. C’était un peu contredisant d’avoir refusé ce numéro sur le stage alors que je me baladais si peu vêtu, avec qu’un léger peignoir de soi rose comme par-dessus. Je regardais longuement cet homme mystérieux qu’était Jim, bien concentré sur son téléphone suite à un message qu’il avait reçu. Je n’avais pas fait de commentaire, après tout, il avait été chargé de surveiller la boîte et au lieu de cela, il avait quitté avec une nana, moi, alors que là soirée était encore jeune pour une boîte de nuit. Lorsque les portes d’ascenseur s’ouvrirent finalement laissant place à un appartement immense, j’étais effectivement sans mot, sans doute beaucoup trop facile à surprendre vu l’échelon salarial que j’avais connus avec mes parents. Ce genre d’endroit n’existait que dans les films de mon point de vue, alors que non, il y avait réellement des gens comme Jim, qui pouvait se permettre cette luxure comme si c’était qu’une vulgaire habitation. Je passais rapidement près de la baie vitré afin de prendre place dans le grand canapé qui ornait le salon par sa grosseur. Je pris donc le verre qu’il m’avait tendu avant de prendre place près de moi, prenant une légère gorgée pour éviter de faire des dégâts inutiles.

— Voilà qui est nouveau, répondis-je avec un doux sourire. On ne m’avait jamais dit que je pouvais être envoûtante, m’amusais-je.

Nous trinquons alors nos verres à cette rencontre causé par ma maladresse incroyable alors que je redressais légèrement sur le canapé, je tournais le haut de mon corps dans la direction de mon interlocuteur cependant mon regard fuyais un peu partout autour de moi. Ma curiosité me dépassait par moment, alors que je me concentrais à nouveau sur Jim pour échanger un dialogue plus agréable que ce sourire que j'affichais bêtement sur mon visage.

— C'est … Immense, commentais-je à la Watson. Tu vis seul ici ? Enfin, non pas que je te demande si tu fréquentes quelqu'un .. 'Fin colocataire ou autre, repris-je aussitôt, me maudissant de mes choix de mots.

Codage par Libella sur Graphiorum