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Bitch mode ON • Blondie

Sujet: Bitch mode ON • Blondie   Dim 13 Oct - 16:39
Camille O'Connell
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Camille O'Connell
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Blonde, élancée, dynamique, l’image se reflète dans le miroir. Je pourrais croire que c’est mon propre reflet tant les similitudes sont nombreuses mais malheureusement, elle est bien autre que moi-même. Cette ressemblance m’horripile, témoignant du type de femmes qui semblent captiver l’attention de l’hybride originel. Je voudrais tellement martyriser ce corps jusqu’au moment où elle deviendrait méconnaissable mais ce rêve est totalement illusoire. Monstres de la nuit tout à mon image, elle ne pourrait que guérir de ce supplice et la frustration laisserait l’amertume dans ma bouche. Oh ce que je pourrais donner pour arracher son cœur de sa poitrine et l’éliminer de la surface de la terre mais cela ne serait que d’un faible réconfort. Une limite à ne pas franchir, j’en étais pourtant venue à douter qu’il m’en reste quelques-unes. Mais l’idée d’arracher une mère à ses enfants torturaient ce cœur dont j’avais pourtant tenté de faire taire les battements. Je me sentais métamorphosée depuis quelques temps démontrant une humanité qui m’agaçait. Je chasse cette pensée affolante car je ne comptais pas laisser ma nature faiblarde reprend le dessus. Focus Camille, l’ordre sonne sèchement dans mon esprit alors que je viens de perdre de vue ma proie. Je me concentre cherchant l’odeur de son parfum qui m’agresse tant il est doté de cette aura sucrée. Je finis par la repérer quelques vitrines plus loin reprenant ma filature discrète. Je la suis épiant ses gestes cherchant à me forger une idée de la demoiselle. Je sens la haine bouillonner dans mes veines alors qu’une image vient soudain me faire monter les larmes aux yeux. Ses lèvres sur les siennes. Je me consume intérieurement. Ce souvenir me hante et me torture depuis un temps qui me semble infini et enfin l’objet de ma colère est proche de moi. Pourtant, je patiente sagement cherchant le moment propice où l’aborder. Elle semble s’en donner à cœur joie dans le shopping vu le nombre de sac qu’elle trimballe. Mère aimante, je pense que la bonne moitié de ses emplettes est destinée à ses précieuses filles.

Elle s’installe à la terrasse d’un café. Je tourne en rond sur le trottoir d’en face faisant les cent pas. Je suis fébrile mais je finis par prendre une profonde inspiration. Il ne me faut que quelques secondes pour prendre une apparence détachée, sereine. Mon regard est aussi glacial que l’arctique alors que sans même demander l’autorisation, je m’installe face à elle. Mon sourire pue l’hypocrisie quand je lui tends la main comme si je ne rêvais pas de l’égorger. « Caroline Forbes, je suis ravie d’enfin te rencontrer après tout le bien que j’ai entendu sur tes prouesses. » Première piqure du scorpion devant sa proie, lui rappeler la perte de celui qui n’a été son mari que pendant une fraction infime de temps. Seconde piqure, ce double sens dans mes mots qui n’est nullement flatteur. Après tout, peu de filles se sont tapés autant de mecs dans le même groupe d’amis. Je bats des cils en toute innocence. « C’est vraiment un réel plaisir que le hasard nous ait réunies par ici. Mais je devrais peut-être me présenter : Camille O’Connell. » Je serre doucement sa main mais je ne la relâche pas immédiatement. Je parais venir en paix mais bien évidemment, tout cela appartient à un jeu dont elle n’a visiblement pas encore compris les règles. Imprévisible, il ne faut qu’une fraction de seconde pour qu’une lueur malsaine ne brille dans mon regard alors qu’il ne me faut pas plus de temps pour plaquer sa main sur la table et y planter une fourchette. « Pour le bien des pauvres passants, je te déconseille fortement de tenter de l’enlever. Il est temps que nous ayons une petite discussion mais à toi de voir si c’est avant ou après un bain de sang. La sainte Caroline ne doit pas vouloir que ses jolis habits soient tâchés du sang de pauvres victimes innocentes ? »

Sujet: Re: Bitch mode ON • Blondie   Mer 16 Oct - 21:41
Caroline Forbes
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Caroline Forbes
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"Qui es tu ?" -Un ange pour certain, un démon pour d'autres... •••
Le manque de mes filles se faisait ressentir de jours en jours. Je n'étais pas prête pour autant à les faire revenir en ville pour le moment. Les choses étaient encore bien trop flous et incertaines pour moi. J'avais eut Lizzie et Josie au téléphone quelques minutes et lorsque j'avais raccroché, j'avais tout simplement fondu en larmes. Mes bébés -bien trop grandes à présent- me manquais cruellement. J'avais besoin de m'occuper l'esprit alors... après avoir respiré un grand coup et remit un peu de poudre à mon maquillage pour cacher les dégats de mes larmes, j'avais décidé de partir en virée shopping. Il n'y avait QUE ça à mon sens, pour remonter le moral d'une femme. ça valait toutes les thérapies du monde et ce devrait être remboursé par les mutuels à mon sens.

Depuis une heure, je vagabondais en ville, redécouvrant certaines boutiques que j'avais affectionné lors de mes passages ici. J'en reconnaissais même certaines où Klaus m'avais trainé ainsi que quelques artistes de rue. Je retrouvais le sourire petit à petit en achetant principalement de quoi gâtée mes princesses. Alaric allait certainement encore me faire la morale mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Je craquais sur à peu près tout et j'avouerai naturellement et sans honte que c'était appréciable depuis plusieurs années de ne plus se soucier de l'argent.

Cependant, au bout d'un certain temps, je sentais une présence autours de moi. Un regard... Je pensais que départ me trompais mais plus j'avançais, plus j'avais cette sensation pesante d'être observée, épiée. Je regardais aux alentours, pensant dans un premier temps à Klaus qui serait bien assez tordu pour me faire un coup pareil. Je ne le voyais pas, ne sentais pas non plus son odeur dans les parages. En vérité, je ne voyais personne de familié, mais cette sensation ne me quittais pas et mon instinct ne m'avais jamais trompé jusqu'à présent. Je décidais donc de m'arrêter à la terrasse d'un café pour prendre un verre et mieux observer les visages qui passaient leur chemin où au contraire restait dans les environs. J'analysais les odeurs, les bruits, les respirations, les rythmes cardiaque. Tous mes sens étaient à l'affut. Je ressentais de la tension et mon regard s'arrêta un instant sur une blonde qui faisait les cents pas de l'autre coté de la rue. Il me semblait bien avoir vu son visage devant la boutique de bijoux, la librairie et l'un des magasins de fringues dans lequel je m'étais arrêté. Drole de coincidence.

J'eus la confirmation de mes soupçons en la voyant se décider à traverser la rue pour venir m'accoster. Lorsqu'elle fut en face de moi, je ne pu m'empêcher d'être frapper par notre ressemblance physique. Nos cheveux, notres regard, le visage de poupée de porcelaine. Des traits fins, doux mais laissant délicatement entrevoir le tempérament de feu qui se dissimule sous l'appence de poupées blondes. « Caroline Forbes, je suis ravie d’enfin te rencontrer après tout le bien que j’ai entendu sur tes prouesses. » J'arquais un sourcil, surprise qu'elle ne connaisse mon nom, et je me méfiais alors instinctivement. Mes prouesses ? Je ne voyais pas vraiment de quoi elle pouvait bien parler. Sa main tendue vers moi, j'y posais mon regard, hésitant un instant à la saisir. Même si cette femme se donnait un mal fou à paraitre aimable avec moi, elle puait l'animosité et la haine à plein nez. Le hic, c'est que je n'avais aucune foutre idée de ce qu'elle pouvait bien me reprocher. « C’est vraiment un réel plaisir que le hasard nous ait réunies par ici. Mais je devrais peut-être me présenter : Camille O’Connell. » Oui peut être effectivement se serait un début. Je serais sa main pour ne pas paraitre figé devant elle. Il faut dire que notre ressemblance me laissais perplexe. Camille... O'Connell. Je ne connaissais personne de ce nom...

A sa poigne, je commence à comprendre que cette folle est bien décidé à me faire payer un truc dont je n'ai pas la foutu connaissance. Une lueur de folie brille dans son regard, et la seconde suivante, ma main se retrouve planté au centre de la table avec une fourchette. Je grogne alors que mon regard se cerne de violée, mes pupilles se dilates et mes crocs se dévoilent alors qu'une soudaine envie de lui arracher son coeur me vrille les entrailles. Est-elle encore une de ces putains d'hérétiques de mes deux ? En veut elle à mes filles ? Si c'est le cas... je me ferais une joie de lui régler son compte. « Pour le bien des pauvres passants, je te déconseille fortement de tenter de l’enlever. Il est temps que nous ayons une petite discussion mais à toi de voir si c’est avant ou après un bain de sang. La sainte Caroline ne doit pas vouloir que ses jolis habits soient tâchés du sang de pauvres victimes innocentes ? » A ces propos, j'arque un sourcil et laisse mon visage redevenir lisse et de marbre. La douleur n'est rien, j'ai déjà subit bien pire et ce léger picotement ne me déstabilise en rien. Je préfère lui laisser croire qu'elle a l'avantage sur la situation, pour un temps seulement... sa langue se déliera ainsi certainement bien mieux que si je ne la lui arrache tout de suite pour ensuite l'étouffer avec... "Curieuse façon que de faire des présentations, il faut définitivement que je me mettes à la page des coutumes locales. Prends donc place... Mmm... Camille c'est ça ? Laisse moi donc t'offrir un verre... tu sembles quelques peu... sur les nerfs non ?" Mon ton reste calme, un soupçon provocateur, ce petit jeu devient suffisement attrayant pour que je joue le jeu.

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Sujet: Re: Bitch mode ON • Blondie   Lun 11 Nov - 12:22
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Je regarde le sang perler sur sa main avant de disparaître presque aussitôt grâce à ce don particulier que représente la cicatrisation instantanée. Je bouge légèrement la fourchette me délectant de sentir l’air se parfumer de cette odeur ferreuse que représente le sang frais. Son regard change, ses traits aussi. Elle laisse sortir le monstre qui se cache sous l’apparence de poupée et instinctivement, je laisse sortir mes crocs prête à en découdre si elle ose le moindre mouvement. Je souris fièrement quand elle range son attirail de vampire bien au fond d’elle pour redevenir une femme banale aux yeux de toute personne. Je reprends moi aussi un visage lisse alors que mon sourire s’étire un peu plus avec une lueur machiavélique au fond des yeux. L’ange avait depuis longtemps disparu pour ne laisser qu’un démon. J’avais autrefois été gentille mais les épreuves avaient fini par déteindre sur ma petite personne. Mielleuse, ma voix se pare d’une intonation chaleureuse lorsque je susurre sur le ton de la confidence. « Ou peut-être que cela est le signe que ta place n’est nullement en ces lieux. Cette ville ne peut pas t’accueillir dignement alors peut-être serait-il plus sage pour toi de la fuir, enfin tant que tu le peux encore. C’est un conseil amical dans ton unique intérêt bien évidemment. » Cela serait un tel soulagement si elle choisissait de simplement abdiquer et déguerpir d’ici sans demande son reste. Je n’aimais pas savoir que son aura traînait dans ces lieux où elle pourrait à tout instant croiser l’objet de notre désaccord. Je ne désirais pas voir renaître de ses cendres la passion qui un jour les avait jetés dans les bras l’un de l’autre. Je détaille ses traits frappée par notre ressemblance et sentant la bête gronder en moi. Un doute s’immisce en moi alors que je me demande si l’intérêt de l’hybride originel pour ma petite personne résidait dans cette similitude. Avait-il cherché en moi un palliatif à la belle blonde qui se refusait d’être sienne. Cette idée me blesse et je grogne sourdement en faisant signe au serveur de s’approcher. Je suis le conseil, enfin si on peut l’appeler ainsi, et nous commande deux verres d’un de ces alcools forts qui brûlent la gorge. Je me ravise presque immédiatement pour demander de tout bonnement nous apporter la bouteille et un pichet vide. Je devais garder le contrôle sinon je risquais fort de tenter de lui arracher la tête. Un combat ne manquerait pas d’attirer l’attention et mon terrain de chasse risquait fort de devenir méfiant. Je soupire lourdement me laissant retomber sur mon siège pour fixer le ciel un instant. La tension dans mon corps s’apaise légèrement avant que finalement mon regard ne se pose à nouveau sur l’intruse.

Je rigole à gorge déployée, avec un temps de retard, mais finalement ses mots m’amusent. « Sur les nerfs ? C’est un euphémisme très chère. Disons que je suis contrariée car je ne m’attendais pas à croiser une certaine personne. » Elle semble ne pas avoir la moindre idée de qui je suis ni même de ce qui cause mon animosité. Cela en est vexant et je pourrais lui apporter la réponse tout de suite mais le jeu serait bien moins amusant. J’attends patiemment le retour du serveur et attends qu’il pose la bouteille sur la table avant d’attraper rapidement son poignet. « Pas un geste. Pas un mot. » Docile, il obtempère sans se faire prier mais ce n’est pas comme s’il en avait réellement le choix. Je plante mes crocs dans son poignet avant de laisser goutter le liquide vermillon dans le pichet. Lorsque cela me paraît suffisant, je le force à lécher mon sang et une fois la plaie refermée, retourner vaquer à ses occupations. Je nous serre un verre mélangeant alcool et sang avant de lever mon verre vers le sien pour trinquer. Enfin ma langue se délie quelque peu. « Je suis certaine que tu vas rapidement comprendre ce que je ressens. Imagine donc que tu es éperdument amoureuse d’un homme et alors que l’on t’a en quelque sorte forcée à t’éloigner de lui, tu découvres qu’une femme perfide use de ses charmes, peu attrayants par ailleurs, pour prendre ta place encore toute chaude. Elle fait preuve d’une inconsidération manifeste pour ta personne que cette trahison fait souffrir. Dis-moi Caroline, n’aurais-tu pas envie de lui arracher la tête à ma place ? » J’aurais pu la prendre par surprise et mettre en action la menace implicite proférée dans mes mots. Pourtant, je ne désirais pas réellement la tuer. Je savais qu’elle possédait certaines qualités précieuses qui m’inspiraient une certaine indulgence. Je savais que ce n’était pas une mauvaise personne mais plus que tout, elle avait deux filles. Je ne voulais pas avoir à les priver de la présence maternelle. J’en avais manqué lorsque j’étais jeune. J’avais éprouvé de la douleur de ne pas me sentir soutenue par elle à l’aube des premiers émois amoureux. Je savais que c’était un bien précieux dans l’existence alors je n’en arriverais à cette extrême qu’à contrecœur. « Tu as cinq minutes pour comprendre qui je suis et pourquoi je t’en veux. Sinon, je tue une victime innocente. Tu peux me poser des questions, j’y répondrai. Tic-tac, le temps tourne, dépêche-toi de trouver. » Mon sourire joueur s’étire alors que mes doigts tapotent doucement le bois de la table. Je la regarde avec plus de chaleur mais aussi une provocation encore bien plus marque. Je suis bien décidée à profiter pleinement de cette rencontre pour en apprendre plus sur la vampirette de Mystic Falls.

Sujet: Re: Bitch mode ON • Blondie   Jeu 9 Jan - 20:47
Caroline Forbes
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Caroline Forbes
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Toute cette théatralité m'aurais amusé il y a quelques années. Tant de mélodrame pour si peu. La vampirette qui se trouvait en face de moi semblait vouloir à tout prit marquer son territoire. Je ne me sentais absolument pas menacé pour autant. Sa démonstration de force ne m'intimidais pas vraiment. Ces jeux ne m'amusais plus et je n'avais plus de temps à perdre avec ces balivernes ou ces rivalités enfantines. J'avais déjà eut affaire à Rebecka, la soeur de Klaus à son arrivée à Mystic Fall's. Je n'étais qu'une ado', une jeune vampire, éperdue de Tyler à l'époque. Elle avait tout fait pour prendre ma place et me rendre chèvre. Aujourd'hui, je n'avais que faire de ma popularité, que faire d'une prétendu place dans cette société. J'avais perdu mon mari le jour même de nos noces, j'avais perdu ma mère, mon père, mes amis étaient aux abonnés absents et les seuls qui comptaient encore pour moi réellement c'était mes filles, la prunelles de mes yeux et l'unique raison de ma présence ici à la Nouvelle Orléans. Alaric comptait aussi beaucoup pour moi, il était le père des jumelles et il allait de soit que l'on se soutiendrait toujours lui et moi. Ensuite, il y avait Klaus car il m'avait sortit des ténèbres un nombre incalculable de fois. Et quand bien même il n'y aurait jamais rien d'ambigu entre lui et moi, j'avais besoin de savoir qu'il allait bien. Dernièrement, je n'en étais pas certaine et après mon entrevue avec lui, j'avais décidé de mener ma propre enquête sur cette ville, ses occupants. Et j'étais une enquétrice hors pair ! Aussi et au fur et à mesure de ses popos et de son attitudes, je tissais des liens avec certains indices que m'avais laissé Klaus dans notre échanges et avec mes recherches. Je la laissais faire son petit numéro tout en souriant légèrement et je finis par lever les yeux au ciel. Je poussais un léger soupire en me redressant. "Tu es Camille O'Connell, tu as étudié la psychologie ici parce que comme moi à une certaine époque, tu pensais que tout n'était pas seulement blanc ou noir. Et qu'en chaque personnes pouvait se trouver du bon. Tu as aussi été barmaid ici et tu avais un frère jumeau qui est mort pour le sacrifice de la Mosson. Tu es ensuite devenu très proche de la famille originelle à son arrivée en ville et notamment de Klaus. De ce que j'ai pu entendre et comprendre... il y a une certaine ambiguité entre lui et toi... je pense même que tu es son nouveau love interest mais tu as si peu confiance en toi qu'il ne te faut pas plus que mon arrivée en ville pour devenir folle hystérique et venir me faire ton petit numéro pour marquer ton territoire. Amusant..." En une fraction de secondes, je retire la fourchette qu'elle plantait dans ma main et la plante profondément a quelques millimètres de sa joue dans le mur derrière elle tout en me penchant au dessus de la table pour me rapprocher de son visage. "Que se soit clair entre toi et moi Camille, je n'ai pas de temps à perdre pour ces enfantillages. Je ne suis pas ici pour Klaus même si je suis rassurée de le savoir en vie et qu'il est et restera quelqu'un qui a compté pour moi. Il m'a sorti des ténèbres là où personne n'aurait pu le faire. Je suis ici pour mes filles car ma place est à leur coté et àla tête de l'école Salvatore que j'ai créé en la mérmoire de mon mari et au coté du Père de Lizzie et Josie pour assurer leurs protections et leurs épanouissement alors... ne m'en veux pas trop d'écourter cette petit scène de théatre mais ces rivalités qui atrefois m'aurais beaucoup distraites ne m'intéresse plus." Je me recule et me rassoit en prenant un verre d'alcool fort que je bois d'une traite. "Voilà qui devrais nous éviter une perte facheuse de temps... maintenant... si tu as envie de faire plus ample connaissance calmement, je suis tout ouie..."

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Sujet: Re: Bitch mode ON • Blondie   Dim 2 Fév - 14:33
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J’avais eu besoin de lui faire face pour être capable de la cerner et à présent que j’étais face à elle, je n’éprouvais plus la même rancœur. Elle me semblait tellement inoffensive mais surtout, plus je l’écoutais et plus j’avais envie de la croire. Elle ne me semblait pas menteuse et je voulais croire que son intention n’avait nullement été de récupérer celui que j’aime. Je me mords la lèvre perdue dans mes pensées sentant une forme de culpabilité m’envahir. J’ai été très rude de l’agresser avec une telle violence alors même qu’elle ne m’a rien fait. Je ressens quelque chose de douloureux au fond de moi et je ne m’y attendais pas. Elle éveille des sentiments que je croyais oubliés comme la compassion, la culpabilité. Elle me change sans même s’en rendre compte. Je soupire légèrement avant de répondre d’un ton hautain. « Tu es certes très perspicace sur certains points ou plutôt tu es bien renseignée mais je crois que tu as manqué de nombreuses nuances de ma petite personne. A une époque, je pensais en effet qu’il y avait du bon en chaque être vivant et que ce sont les épreuves qui venaient les transformer. Quant à Klaus et moi, c’était bien plus complexe que cela mais c’était un autre temps. Tu prétends que je n’ai pas confiance en moi mais tu n’y connais rien. Quant à ce qui m’a rendue folle, tu te trompes largement. » Elle pensait que seul l’amour déçu peut faire perdre sa raison à une femme mais elle se trompe. C’est ce mal qui me ronge qui m’a tuée à petit feu. La mort m’a pris toute bonté pour ne laisser que haine et rancœur. J’avais la rage au ventre car on m’avait privée de mon existence. Je ne pouvais plus tendre la main à autrui car leur petite vie ne m’inspirait qu’indifférence.

Je ricane devant son discours si posé avant de répondre cinglante. « Oh mais écoutez la femme vertueuse que tu prétends être. J’ai pourtant entendu parler de cette part d’ombre qui t’habite et les actions peu louables que tu as semé sur ton chemin. Tu veux protéger tes filles ? C’est terriblement mignon mais tu les mets en danger à chaque instant où tu restes près d’elles. Tu n’as pas que des amis et quel meilleur moyen de te blesser que de s’en prendre à elle. Il paraît que l’une de tes filles est condamnée de naissance et mourra de la main de l’autre. Quelle tristesse car cela signifie que tu ne peux rien sauf si tu pouvais avoir accès à des objets magiques inattendus. J’espère avoir toute ton attention à présent ? » Un fin sourire étire mes lèvres alors que je ne réagis pas lorsqu’elle se libère. Je sais que cela piquera plus que probablement sa curiosité et à raison. Je songe à ces vieilles formules auxquelles je n’ai jamais rien compris. Malgré la mort, malgré les turbulences, j’ai gardé ces trésors familiaux qui portent en eux une magie surpuissante. Je pourrais l’aider mais encore faudrait-il qu’elle arrive à m’en donner l’envie. « Tu prétends que Klaus a compté pour toi mais tu l’as manipulé. Pourquoi as-tu cherché à le revoir ? Pourquoi cette école compte autant pour toi ? Comment comptes-tu protéger ces enfants des méfaits de cette ville ? » L’hostilité a quitté ma voix alors que je suis simplement curieuse. Je désire savoir si elle va me répondre en toute honnêteté ou si au contraire, elle va chercher à éviter cette discussion qui pourrait être très instructive. Je lui tends la main en signe de paix, momentanée au moins. J’attends de voir si elle va s’en saisir car je ne promets pas de garder mon calme autrement. « Tu es intriguante et je peux te proposer une alliance car il n’est pas question d’amitié à ce stade. Que du contraire. Mais nous avons des intérêts communs. » Je souris un peu plus sincère.

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Sujet: Re: Bitch mode ON • Blondie   Lun 3 Fév - 22:47
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Bitch Mode ON
"Qui es tu ?" -Un ange pour certain, un démon pour d'autres... •••

L'observais mon interlocutrice qui semblait tiraillée par tant d'émotion. Si j'avais juré au début de cette rencontre qu'elle voulait ma peau, à présent j'avais l'impression de lire une certaine compassion dans son regard, une certaine gêne à s'apercevant qu'elle c'était trompé sur ma personne. Je me détendais alors à mon tour légèrement, appuyant de nouveau mon dis contre le dossier de mon fauteuil. J'attrapais mon verre et buvais une gorgée avant de prendre une serviette pour essuyer le sang sur ma main déjà cicatrisée. Je l'écoutais se confier sur personne, à demi mot. Elle avait l'air d'être une vampire particulièrement torturée, qui ne l'était pas en vérité ? Si nous les vampires avont un dénominateur bien commun à tous, c'était la névrose ! Plus ou moins grave ! Mais toujours présente palpable, un fil sur lequel nous dansons au dessus des flammes de l'enfer, près sans cesse à y sombrer. Comme tout vampire souffrant, elle avait besoin de mordre, de piquer pour garder la face. Je la fixais intensément de mes prunelles limpides et j'arquais un sourcil devant son discours. Je grondais sourdement alors qu'elle osait évoquer mes filles et une lueur prédatrice et protectrice s'anima dans mon regard. Je n'avais jamais aimé la violence, je n'avais tué à ce jour qu'un seul humain par pur instinct primaire et les autres morts dont j'étais responsable avaient toujours été pour défendre les miens. Je n'en étais pas fière et je détestais avoir à faire ça. Mais si quiconque s'en prenait à mes filles, je n'hésiterai jamais à déverser ma rage et mon courroux et à réveiller la pire partie de mon âme pour les protéger ou les venger. Je me tendais à l'évocation de la fusion, cette femme en savait plus qu'il n'y paraissait. Ma main se crispait sur mon verre et ma mâchoire se serrait.

"Oh ne t'en fais pas je suis bien au fait que la mort nous poursuit, nous, vampires. C'est d'ailleurs pour ça qu'il y a quelques années j'ai demandé à leur père d'emmener les filles loin de moi. Je préférai sacrifier le bonheur de les avoir à mes cotés chaques jours au profit de leur sécurité. Il s'est avéré que j'avais tord. Elles sont deux créatures mêlées à ce monde dangereux et quoique je fasse, elles courreront toujours un grand danger. C'est pour cela que leur père et moi avons décidé de ne plus jamais nous désunir. Sache que je ne prends aucune décisions à la légère lorsqu'il s'agit de mes filles et je te serai reconnaissante de peser tes propos et tes insinuations au sujet d'une potentielle connaissance au sujet de la fusion à venir... j'ai tendance à être très sensible sur le sujet.... je peux très vite devenir irritable et personne dans cette ville n'a envie que je le devienne."

Sous mes airs de poupée de porcelaine, je pouvais très vite devenir leur pire cauchemar sans une once d'hésitation si l'avenir de mes filles en dépendaient. Alors qu'elle me posait des questions, je soupirais légèrement en humidifiant mes lèvres. Klaus et moi... longue et tortureuse histoire. Je n'avais pas envie de lui mentir, je n'y voyais pas l'intéret. Je relevais mes yeux brillants vers les siens et je décidais de mettre carte sur table.

"J'ai manipulé Klaus car il semait la terreur et la mort autours de moi dans la ville où j'habitais avant. Il était près à tout sacrifier y comprit la vie de mes amis et leurs proches pour arriver à ses fins. Lorsque nous nous sommes aperçu que Klaus me portais un certain intéret, nous en avons usé pour essayé de l'atteindre et..." Je riais légèrement à ses souvenirs. "ça n'a jamais fonctionné, il avait toujours plusieurs longueurs d'avances sur nous, bien entendu. A force d'avoir ces petites entrevues avec lui, j'ai appris à découvrir une autre facette de sa personnalité et..." J'haussais une épaule en soupirant. "Je m'y suis attachée, à toute cette complexité émanant de son personnage, toute cette torture que l'on pouvait lire dans son regard à l'époque, et même encore aujourd'hui." Je me pinçais les lèvres alors que mon regard s'embuait légèrement. "Lorsque je suis devenue vampire, je n'étais pas au courant de notre monde, j'étais seule, je ne comprenais rien à se qui m'arrivais et lorsque mes amis m'ont trouvé, j'avais déjà tué quelqu'un." Je mordais l'intérieur de mes joues et haussais les épaules. "Je ne me le suis jamais pardonnée, j'ai été rejettée par mes amis, ma mère, mon père... les Forbes sont une famille de chasseur alors tu vois un vampire dans les rangs ça faisait mauvais genre. Mon père a essayé de brimer mon vampire en me torturant avant d'en devenir un à son tour et de choisir... de mourir plutôt que d'être un monstre comme moi." Je souriais fébrilement avant d'en venir à la conclusion que je cherchais. "Si je te dis tout ça c'est car un jour, notre cher Klaus -après avoir certes légèrement commandité la morsure de mon petit ami lupin à mon encontre- est venu me donner l'antidote, son sang. Ce jour là j'étais prête à me laisser mourir. Après tout j'ai jamais voulu de cette vie, ou de cette mort... être coincé entre deux états ! Figée dans le temps. Soumis à cette violence, à ces bas instinct. Et... Klaus m'a ouvert les yeux, il m'a donné un point de vue différent, l'a ouvert de nouvelle perspective et ce jour là j'ai décidé de vivre car j'ai pris conscience que cet état, cette condition ne me définissais pas... c'était à moi de définir ce que je voulais que mon éternité soit et à chaque entrevue avec lui, j'ai renforcé ce sentiment, j'ai appris à aimer chaque facettes de cette nouvelle condition et c'est grâce à lui si j'en suis là aujourd'hui." Je me raclais la gorge et baissais le regard. "Klaus est sans le vouloir devenu un pillier dans mon existence et lorsque j'ai appris la rumeur comme quoi il était mort... il a fallut que je rentre." Je relevais mon regard vers Camille en haussant les épaules. "Mon mari était un autre pillier pour moi et il est mort.... j'ai déjà perdu une raison de croire en tout ça et je devais m'assurer que Klaus était l'homme intouchable que j'avais toujours connu. Je tiens à lui et d'une manière ou d'une autre je serai toujours là, dans l'ombre, pour lui. Qu'il le veuille ou non. Car même s'il a intenté plusieurs fois à ma vie..." Je riais en roulant les yeux. "C'est grâce à lui si j'en suis là, si j'ai pu avoir le bonheur d'être mère et si j'ai pris la décision d'élever les filles comme les miennes. Je lui dois tout..." Je finissais mon verre d'une traite après ces confessions, espérant qu'ainsi Camille comprendrait que je n'étais pas son ennemi. J'aimais Klaus oui, mais pas d'un sentiment amoureux. Il était un mentor pour moi, malgré lui. Je ne pourrais jamais oublié ce lien indéfectible qui nous lie lui et moi. "Quand à l'école, c'est une idée d'Alaric au départ... les filles ont commencé à difficilement gérer leur pouvoir quand elles avaient cinq ans. C'est devenu compliqué à l'école normale, forcément... dés qu'on les contrariaient elles s'amusaient à faire bruler des choses ou siphonnaient leurs interlocuteurs... Alaric a eut l'idée de créer une école pour des enfants comme elles... de par mon histoire, j'avais a coeur de faire en sorte que tous ces jeunes puissent trouver le soutien que je n'avais pas eut... Sentir que nous pouvons être une famille pour eux, encadrante, soutenante, aimante. Je compte les protéger en les formant, en leur permettant de découvrir qui ils sont, l'étendus de leurs pouvoirs, comment se maitriser, apprendre de leur ennemis, apprendre à se soutenir, à faire front communs. Les préparer à la dure cruauté de ce monde, les y exposer dés le plus jeune âge est le meilleur moyen de les préparer et de les protéger. J'ai essayé la fuite, bien trop souvent et... c'est Klaus qui avait raison... une fois de plus. On a beau courir ça nous rattrape toujours... Faire face est la meilleure des solutions. L'attaque et la meilleure des défenses. Je ferais tout pour que ces gosses puissent tenir le coup face aux longues années qui les attendent."

Je soupirais avant de me redresser et de me pencher vers elle pour entrer dans le vif du sujet, si nous n'y étions pas déjà.

"Maintenant que j'ai répondu à toutes tes questions Camille, et si tu veux faire alliance avec moi. Il va falloir m'en dire plus sur ce que tu sais à propos de la fusion qui pourrait m'être utile et m'expliquer ce que tu attends réellement de moi. Es-tu venue à ma rencontre uniquement pour t'assurer que je n'avais pas envie de marcher sur tes plates bandes concernant Klaus ? J'en doutes... alors je t'écoute..."


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Sujet: Re: Bitch mode ON • Blondie   
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