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Des retrouvailles...jamais une sans l'autre.

Sujet: Des retrouvailles...jamais une sans l'autre.   Mer 18 Mar - 9:40
Stefan Salvatore
Humain ❖
Stefan Salvatore
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Cela faisait quelques semaines à présent que Caroline et moi ne nous étions pas revus. Et à vrai dire, qui aurait pu croire que nous nous recroisions un jour. Comme quoi, la vie est imprévisible. Depuis que je suis revenu à la vie -et dieu sait que c’est étrange de dire ça, d’ailleurs je suis certain que même les fans inconditionnels de films fantastiques n’y croiraient pas-, j’étais en vie. Certes, j’étais différent, mais en vie. Chaque jour qui passait, je continuais à m’améliorer, enfin tout du moins j’essayais, à l’aide de mon frère Damon, qui était déterminé à retrouver son…cher frère. Je ne lui en voulais pas pour sa fâcheuse tendance à se comporter durement envers moi, parce que c’était son caractère, et à vrai dire ça m’aidait bien à me souvenir de lui, de façon parfaite. Dire que je ne me souvenais pas encore de lui après tous ces mois à avoir retrouvé ma vie d’humain sans défense serait mentir. Certes j’avais eu du mal parce que tout était chamboulé dans ma tête et plus j’avais tenté de forcer, plus mes forces s’amenuisaient. Forcément, ça n’allait pas être aussi simple que je l’avais pensé. Si on m’avait fait revenir à la vie, ça avait un prix, forcément. Chaque moment de la vie comportait des obstacles, afin chacun un degré de difficulté. J’avais complètement oublié qu’être humain était aussi compliqué. Se déplacer avec autant de lenteur, être aussi vulnérable et redouté chaque fois de croiser des connaissances du passé…ce dont j’avais peur, c’était qu’elles voient à quel point j’avais changé, malgré ma volonté à redevenir celui que j’étais. Je savais bien que redevenir vampire de nouveau relevait de l’impossible, mais j’aurait au moins souhaité redevenir le Stefan que j’étais. Certes le Stefan qui se trouvait en moi avait encore quelques similitudes avec l’ancien Stefan mais il n’était guerre aussi fort, et guerre aussi peu sensible que maintenant…enfin, c’était mon impression, et sans doute l’image que tous mes proches se feraient de moi s’ils venaient à croiser mon chemin.
Alors que je me promenais de bon matin, humant l’air et scrutant les feuilles qui étaient humides de par la rosée du matin, je me rendais en ville, dans l’espoir de me changer les idées. Les passants étaient si calmes, ce matin, s’en était presque étrange. Enfin, ça me paraissait étrange, mais pourtant aux yeux des autres passants, tout était normal, tous étaient sereins. Ça devait être moi, qui ne sortait pas assez et n’avait donc plus l’habitude de côtoyer les habitant de la ville. Peut-être que depuis mon départ brutal en direction des morts tout avait changé, tout avait repris son cours. Du moins, c’était ce que j’espérais.

Je marchais doucement alors qu’au loin je remarquais une femme blonde, qui semblait aller dans la même direction que moi. Seulement, elle marchait avec plus de dynamisme que moi. Elle me faisait drôlement penser à Caroline. Mais j’espérais me tromper. Pourquoi espérais-je une telle chose ? Parce que nos retrouvailles, aussi étranges que cela puisse paraître, avaient été des plus douloureuses. J’avais peur que ce scénario se déroule à nouveau. Peur qu’elle se retourne et, au final, me voit à coup sûr.
Je baissais la tête et fixait donc le sol et, tout d’un coup, un homme plutôt baraqué me fila un gros coup d’épaule, avec toute sa délicatesse. Il me parlait d’une voix rauque, enfin plutôt il me parlait d’une voix très forte : « Hé, mec ! Viens donc par là. ». Surpris par ses paroles mais aussi déboussolé par le coup d’épaule qu’il m’avait lancé, je le laissais me plaquer contre le portail de la maison d’à côté. Il me tenait par les épaules et me fixait avec des yeux noirs. Je balbutiait : « Mais…qu’est-ce que vous me voulez ?... ». J’essayais de lui résister, en vain.
Sujet: Re: Des retrouvailles...jamais une sans l'autre.   Mer 18 Mar - 17:46
Caroline Forbes
Blondie Vampire ✝
Caroline Forbes
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"It's not a crime to love what you cannot explain"_ Klaus
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STEROLINE
Des retrouvailles jamais l'une sans l'autre
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"Les souvenirs de nous sont comme une plaie béante qui pourrie de l'intérieur, qui fait mal. Je suis là à griffonner ces pages idiotes en espérant soulager ce poid qui m'étouffe chaque nuit, m'empêchant de trouver la paix, le repos. Il est là, il est revenu, et pourtant je n'y arrive pas ! Je m'en veux de ne pas y arriver. Mais c'est au dessus de mes forces. Je pensais ne plus pouvoir aimer un autre que lui, je pensais ne plus pouvoir ouvrir mon coeur à un autre homme. En réalité je réalise, que je ne peux plus ouvrir mon coeur tout court. C'est si douloureux que je ne trouve pas la force pour le laisser à nouveau rentrer dans ma vie. Quand je pense à lui c'est la peur qui m'envahis, la peur, la colère, la tristesse, la solitude. Je crois qu'Alaric avait raison. C'est la mort qui nous poursuit, nous créature de l'obscurité. Je crois que Klaus avait raison. L'amour est la faiblesse des vampires. Je pensais que le temps aiderais, mais le temps n'a plus d'impact lorsque l'on est immortelle."

J'avais veillé une longue partie de la nuit, incapable de trouver le sommeil, j'avais écris dans mon journal. C'était peut être idiot et inutile mais les vieilles habitudes ont les dents longues. J'essayais de faire le tri dans mon esprit, de soulager cette conscience qui me rongeais de l'intérieur. Je n'avais personne à qui parler, personne à qui déverser mon chagrin. Mes amis n'étaient plus là, Alaric avait des gros problèmes à gérer avec Esther dans son esprit, Klaus n'était plus vraiment le même et pfff' quand bien même il l'aurait été, j'aurais honte de me confier sur un pareil sujet. ça n'est pas comme si on ne m'avait pas prévenu. Une nouvelle journée au paradis commençait ! Et comme après chaque nuits blanches ces derniers temps, je prenais une douche glacée, je me préparais pour partir à mes RDV. Un jean slim simple, un chemisier fluide fleurie, mes bottines à talons préférées, mon perfecto noir. J'avais bouclé mes cheveux pour qu'il retombe en cascade sur mes épaules de manière discipliné. Un peu de maquillage, soft. Je prenais ma sacoche avec mes dossiers, mon portable, mes clés et mon ordinateur portable. Je passais la lanière à mon épaule puis j'attrapais mon mug de voyage remplis de café pour sortir de mon appartement.

A peine un pied dehors, mon téléphone sonnait déjà. Je décrochais en soupirant, tenant le téléphone d'une main, mon café de l'autre. "Oui Peter... Oui... je suis en route... Comment ?... Non il nous faut impérativement une date pour le bal... Oui... Je m'en moque les élèves attendent ça... Bien sur... Nous ferons le nécessaire pour la sécurité... Oui... ok... Ah Peter attends, il faut contacter les investisseurs... Super t'es un génie... fais moi penser à t'augmenter un jour !" Je ris avec mon employé et je raccroche. Mon pas se fais pressant, je pianote sur mon téléphone pour checker mes RDV de la journée, buvant en même temps une gorgée de mon café quand une odeur viens titiller mes narines. Je me fige, mes doigts se serrent sur le mug, je l'aperçois, sa silhouette, au loin. Un vent de panique s'insuffle en moi et lâchement, je fais demi-tour... Mes pas se pressent pour me faire disparaitre de cette rue mais mon ouïe perçois le choc, perçois les paroles... Je m'arrête à nouveau. Je le sens, l'odeur de mon mari mais aussi l'odeur de la peur. Son pouls qui s'accélère, son coeur qui s'emballe. Je perçois l'odeur du prédateur, l'exitation qui coule dans ses veines comme un chat lorsqu'il déniche une souris et l'accule dans un coin. Je grogne, lâche mon café sur le sol qui se fracasse et se répends sur le bitume.

Je fais volte face et j'avance vers la ruelle où à été entrainé Stefan. L'homme est assez impressionnant. Je le fusille du regard en lançant :"Lâche le !" L'homme se redresse, rigole. "Sinon quoi ?" me sort il en sortant une lame de sa poche et en me menaçant. Je lève les yeux au ciel en soupirant. "Range ça tu vas te faire mal..." L'homme s'approche de moi. Je le laisse faire, il me plaque contre le mur en pointant la lame sous ma gorge. "Ce serait vraiment dommage d'abimer ce jolie visage Barbie !" Je souris avant de faire ressortir les traits du vampire. Mon visage se transforme, mes crocs se dévoilent, l'homme recule brusquement, il trébuche, tombe sur le sol. "Putain de bordel de merde c'est quoi ça ???" Je m'approche, le saisie par le col et le soulève d'un main pour le plaquer à son tour dos au mur. "Je pourrais t'arracher la gorge mais étant donné que je suis civilisée je vais me contenter d'un avertissement." Je met en marche la compulsion alors tout en continuant de lui parler. "Déguerpit en oubliant tout ce que viens de se produire, dés aujourd'hui tu feras en sortes de répandre le bien autours de toi pour racheter tes fautes du passé." Je le relâche brusquement et le laisse s'en aller ensuite. Je me baisse pour ramasser la lame qu'il a fait tomber et replis le petit canif' en soupirant.

Stefan est dans mon dos, je sens sa présence. Je ferme les yeux un instant, essayant de trouver un calme intérieur qui ne vient pas. Il est là. Il est vivant. Il est humain et sans défense. Je l'aime mais il m'a abandonné. Je rouvre les yeux et me décide à lui faire face, je n'ai pas le choix... Je le regarde... son visage n'a pas changé... c'est le même. Ses yeux verts sont toujours aussi profond pourtant, je sens au fond de moi qu'il n'est plus le même. Tout comme Klaus. Une fois revenu d'entre les morts, les gens ne peuvent plus être les mêmes. "Est-ce que tout va bien ? Il ne t'as pas blessé ?" En réalité je le sentirai s'il était blessé mais... c'était histoire de... meubler la conversation.


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Sujet: Re: Des retrouvailles...jamais une sans l'autre.   Sam 4 Avr - 23:05
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Il faut croire que j’avais encore eu une mauvaise idée de sortir, ce jour-là encore. Enfin, une mauvaise idée, oui et non. Mauvaise idée parce que j’avais pu encore une fois faire les frais d’un homme agacé, mais bonne parce que j’avais pu avoir l’opportunité de croiser…Caroline. J’avais décidé de m’aérer la tête et l’esprit, avec toujours l’espoir que tout redevienne…presque…comme avant. Pourquoi étais-je aussi déterminé alors que même après tous ces longs et interminables mois que j’avais passés après être revenu d’entre les morts, j’avais encore l’espoir de pouvoir tout retrouver, retrouver le bonheur que les sorcières, en me ramenant à la vie, m’avaient arraché ? Pourquoi fallait-il qu’il en soit ainsi ? Pourquoi à chaque fois et ce depuis le début, chaque fois que j’avais l’occasion de goûter au bonheur, il m’était presque aussitôt arraché ?

Après de multiples conversations avec mon cher frère -puis-je m’exprimer ainsi, puisque c’était lui qui m’avait récupéré, moi, Stefan Salvatore, au bord d’une route, persuadé d’avoir simplement fait un malaise à la suite d’un footing dans les bois-, j’avais pu me rendre compte d’une chose et cette chose, c’était celle pour laquelle je me battais, chaque minute qui passait, cette chose pour laquelle je me battais sans relâche afin de faire tout ce qui était en mon pouvoir pour pouvoir retrouver, comme me l’avais dit d’innombrables fois Damon, chaque soir lors de notre point sur mes souvenirs, afin de savoir s’ils revenaient, si mes efforts avaient payé, car ils m’épuisaient et me rongeaient de l’intérieur. Tout ce que pouvait faire Damon, c’est me raconter certaines étapes importantes de ma vie, tout en sachant qu’il ne pourrait jamais en faire complétement le tour. Il m’avait rappelé la période de ma vie qui, m’avait-il dit, ne m’avait jamais rendu aussi heureux : celle où j’avais pu faire la rencontre d’une jolie blonde nommée Caroline, qui avait affronté d’effroyables épreuves, dont la mort de sa mère.

La jeune femme blonde, je savais très bien qui elle était. Cela faisait maintenant plusieurs semaines que nous ne nous étions pas revus. Les retrouvailles avaient été tout aussi douloureuses pour l’un comme pour l’autre. Mais ces semaines passées, avaient permis à ma mémoire de faire un chemin qui s’avérait très important. Ce chemin était le chemin du souvenir certes, mais pas de n’importe quel souvenir. Ce souvenir était, je pense, tout aussi important pour moi que pour Caroline. Je savais pertinemment que c’était tout aussi douloureux pour elle que pour moi de me voir moi, me voir sans l’ombre d’un souvenir, avoir pu entendre de la bouche de celui qu’elle aimait qu’il ne se souvenait pas d’elle. Ces semaines avaient été bénéfiques pour moi, elles m’avaient permis de pouvoir revoir tous ses passages de ma vie, tout le bonheur que j’avais pu vivre, grâce à elle. Tous les meilleurs moments, je les avaient revus. Certes, les visions que j’avaient eues m’avaient coûté très cher, dans le sens où elles m’avaient très profondément affaibli. Mais je n’en avais que faire, je voulais retrouver mes souvenirs à tout prix, et comme je l’avais dit dans l’oreille attendrie de Damon dès qu’il m’avait ramené en lieu sûr chez lui : Je retrouverai mes souvenirs, quoi qu’il en coûte.

Alors que l’homme me plaquait contre le mur, la jeune femme blonde que j’avais aperçue tout à l’heure s’emparait de lui, d’une force qui échappait à mes pauvres yeux d’humain. Alors lorsque la force que l’homme exerçait sur moi fut relâchée, je pu enfin souffler. Mes yeux se rétrécirent doucement, je touchais mon épaule douloureuse et je regardais enfin de nouveau devant moi. Je remarquais toujours que la jeune femme blonde tenait ferment l’homme qui m’avait agressé, sans raison vraiment valable, d’ailleurs, à ma connaissance. Je n’arrivais pas à entendre ce qu’elle lui disait mais au vu du visage de l’homme que je pouvais apercevoir, il semblait à ses ordres, en quelque sorte. Tout cela s’était passé tellement vite, que je ne comprenais pas moi-même ce qu’il se passait à l’instant même. J'avalais difficilement ma salive, reprenant mes esprits, puis je levais des yeux verts profonds à la jolie blonde qui avait tourné les talons vers moi. Lorsqu'elle parla, mon cœur se mit à battre la chamade, de nouveau. Il ne battait pas de la même façon qu'il avait pu battre lorsque l'homme m'avait surpris. Il battait la chamade, signe d'un sentiment que je ne saurait décrire, que je ne pourrais décrire. Mon sang ne fit qu'un tour lui aussi, c'est comme si je perdais tous mes moyens. Alors que j'essayais après plusieurs tentatives d'ouvrir la bouche et de produire un son, je sentit le sol se dérober sous mes pieds, signe d'un profond malaise. Je perdais totalement le sens de la réalité. Alors je me rattrapais de justesse à l'une des rampes de l'escalier de la maison qui se trouvait près de moi, et je soufflait bruyamment.

- O...oui, ça va... En...enfin..je...je crois.

En vérité, tout n'allait pas bien. Mais il était hors de question que ça finisse comme avec Damon, qui me prenait sous son aile sous prétexte que j'étais un pauvre humain fragile. Certes l'homme m'avait fichu un gros coup d'épaule, mais ça passera certainement, avec un peu de pommade pour faire partir l’hématome, et tout rentrera dans l'ordre, enfin pour l'épaule bien sûr...
Sujet: Re: Des retrouvailles...jamais une sans l'autre.   Lun 6 Avr - 14:13
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Une petite décharge d'adrénaline de bon matin, quoi de mieux pour démarrer une journée ? Hum, peut-être tomber sur son mari défunt revenu miraculeusement à la vie ? Je le regardais se redresser et masser son épaule. Il n'avait visiblement rien de "grave". Stefan sembla perdre pied un instant, je fronçais les sourcils alors qu'il me mentait clairement dans sa réponse et je tentais de rester calme. Ne pas m'énerver. J'essayais de repenser aux paroles de Davina et de me laisser une chance de découvrir cette... nouvelle version de mon époux. Bien qu'en soit, ce ne soit pas réellement le fond du problème. Je soupirais et attrapais mon téléphone. Je pianotais un message à Peter afin qu'il ne décale tous mes rendez-vous de la journée. Une fois fait, je rangeais mon téléphone et me tournais vers Stefan. "Mon appartement n'est pas très loin... Viens." Je pouvais au moins lui offrir un verre d'eau ou un café pour se remettre de ses émotions.

Une fois assurée qu'il était au moins assuré de mettre un pied devant l'autre, je me dirigeais en silence avec lui jusqu'à mon immeuble. Je sortais mon trousseau de clé en grimpant les marches, jetant des coups d'oeil furtif à Stefan pour m'assurer que tout allait bien. Arrivée devant ma porte, j'ouvrais doucement et le laissait rentrer à ma suite. Je posais mon sac avec tous mes dossiers et dans ma nervosité ambiante, je renversais la moitié de mon café à emporter sur mon haut. "Et merde !" Je grognais en balançant le mug dans l'évier et je me tournais vers Stefan. "Installe toi dans le canapé, j'arrive, j'vais changer mon haut. Et essaie de pas faire un malaise en mon absence." Je m'éloignais doucement et sans réellement me soucier de sa présence ou non, je retirer mon haut avant de disparaitre vers ma chambre. Après tout c'était mon mari non ? Il m'avait vut bien plus dénudé que ça. Une fois dans ma chambre, je prenais le temps de souffler un moment. Pourquoi est-ce que j'avais cette boule au ventre, cette angoisse qui montait en moi dés que je le croisais. Des flash me revenaient. Je me voyais dans cette voiture avec Alaric et les filles, fuyant la ville, Alaric m'annonçant que Stefan avait fait le choix de rester là-bas... Je me revoyais sur le bord de cette putain de route, à laisser pathétiquement un message à sa boite vocale. J'attrapais brusquement un chemisier dans mon armoire et je revenais dans le salon en le boutonnant.

J'arrangeais mes cheveux et aggraffait le dernier bouton en regardant Stefan à nouveau. "Je peux t'offrir un café pour te remettre de tes émotions ou un verre d'eau. J'peux regarder ton épaule si tu veux et hum sinon j'ai du bourbon mais un verre aussi tôt pour un humain j'imagine que ça n'est plus trop recommandé." Je parlais assez vite et avec des gestes, signes de ma nervosité et de mon besoin de meubler la conversation pour en garder un certain contrôle.


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Sujet: Re: Des retrouvailles...jamais une sans l'autre.   Mar 7 Avr - 14:34
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Durant tout le chemin en direction de l'appartement de Caroline, je luttais, en quelque sorte, pour ne pas perdre pied de nouveau. J'avançais à ma vitesse tout en restant concentré pour coordonner mes pas l'un avec l'autre, l'un après l'autre. Ce malaise ne me surprenait guère ; c'était loin d'être le premier depuis que j'étais revenu à la vie. C'était devenu en quelque sorte mon quotidien, et ça n'était pas facile à vivre, mais jusqu'à présent c'était Damon seulement qui avait dû assister à cela. Et maintenant c'était Caroline. La seule différence que je pouvais apporter, si je devais donner mon ressenti sur ce malaise, c'était qu'il était bien différent des autres, même si enfin je pouvais y mettre des mots : ce malaise était dû à la simple pensée de Caroline. C'était elle qui me faisait perdre mes moyens. J'en était maintenant certain. Elle avait été mon déclencheur de souvenirs, mon déclencheur de souvenirs du bonheur que la mort m'avait arraché. Chaque soir, quand je me réussissais enfin à échapper à la garde de mon frère Damon, je m'octroyait un long moment de souffrances à creuser mon cerveau en quête des souvenirs que Damon m'avait rappelés. Chaque soir après notre réunion pour faire un point sur mes souvenirs, il me laissait enfin me retrouver seul avec moi-même, seul en quête de mes souvenirs les plus lointains.

La quête de ces souvenirs n'était pas sans efforts, mais elle était essentielle à mes yeux. Je ne voulais pas encore une fois me laisser asperger d'un malheur qui ne ferait que mon détruire encore plus que je ne le suis déjà. Je savais que j'étais détruit ; Damon et moi en avions déjà longtemps discuté, et ce même depuis le premier soir où il avait eu la chance -ou le malheur-, prenons le comme on le souhaite, de me retrouver, au bord d'une nationale. Cette longue discussion était difficile à admettre mais s'il y avait bien une personne qui savait ce qu'elle disait à mon propos, c'était Damon. Il m'avait longuement parlé de mon indifférence à son égard lorsqu'il m'avait retrouvé, et qu'il ne regrettait d'ailleurs pas le moins du monde de m'avoir giflé, même si au départ il est vrai qu'il pensait vraiment que je me moquait de lui, avant de savoir que non, je ne me moquait malheureusement pas de lui. Le temps que je me souvienne petit à petit de lui, le temps qu'il me bassine sur le chemin du retour, dans sa voiture, la musique presque à fond tout comme s'il essayait d'oublier mes sottises, qui d'ailleurs n'étaient en fait que la vérité, puisque je ne me souvenais véritablement pas de lui. Et moi qui, tout le temps du trajet tournait plusieurs fois la langue dans ma bouche, encore endolori e la gifle qu'il m'avait donné, n'ayant pas du tout mesuré sa force.

Les souvenirs étaient revenus petit à petit, et c'était les seules choses qu'il me restait, en plus de mon frère qui ne me laissait pas seul, à ma grande surprise. Au tout début, j'avais cru qu'il m'aurait laissé sur le bord de la route, à me dire : "Fiches toi de moi va s'y continue Stefan, je n'ai pas que ça à faire de ton baratin. Termine la route à pied, sous la pluie, ça te rafraîchira les idées.". Certes il m'avait décollé une bonne gifle mais il m'avait tout de même invité à monter, de force, dans sa voiture, et il m'a ainsi ramené chez lui.

Je suivais péniblement Caroline jusqu'à son appartement, et je rentrait à sa suite. Je détaillait très rapidement la pièce dans laquelle elle m'avait conduite, puis m'installait sur son canapé. Elle renversa sa tasse et m'interpella pour me dire qu'elle allait se changer. Cependant elle commença à retirer son haut...devant mes yeux. Mon sang ne fit qu'un tour, de nouveau. Mon coeur battait la chamade, encore une fois. Mes yeux se froncèrent jusqu'à se fermer quelques secondes. Des visions de Caroline, dévêtue me parvinrent de nouveau. Des voix, des éclats de rire, des mots d'amour envahirent mes oreilles. Tout d'un coup, je sursautait et revenait à la réalité, à demi essoufflé, dans une respiration bruyante, presque haletante. Lorsqu'elle revint après s'être changée, elle me parlait de façon très rapide, et mon pauvre petit cerveau d'humain eu du mal à suivre. Je lui répondait donc doucement, tout en essayant de la regarder sans flancher de nouveau. J'étais assis, c'était déjà ça.
- Euh je... ça va aller... enfin euh oui euh... tu peux regarder si tu veux, bien sûr que tu peux.

Sujet: Re: Des retrouvailles...jamais une sans l'autre.   Jeu 9 Avr - 12:52
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Des retrouvailles jamais l'une sans l'autre
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Il ne voulait rien boire... Ok. ça allait vite devenir gênant comme situation. Je relevais mon regard bleu vers lui alors qu'il acceptait que je ne l'examine. Je ne m'y attendais pas vraiment. Heureusement qu'avec les filles, j'avais de quoi soigner les petits bobos de tous les jours. "Hum, ok, enlève ton haut alors, j'vais chercher ce qu'il faut." Je partais vers la salle de bain, ouvrant le meuble à pharmacie, je sortais la crème pour les coups que j'avais et je revenais dans le salon où Stefan était à présent torse-nu comme je le lui avais demandé. Je bloquais un instant sur cette vision de lui, sur mon canapé... Avant de détourner mon regard en déglutissant. Concentre-toi Caro. "Hum j'vais chercher de la glace..." Je me dirigeais vers la cuisine pour ouvrir le frigo et sortir du freezer une poche avec un gel exprès qui gardait le froid pour appliquer dans ce genre de situation.

Je revenais vers Stefan en enroulant la poche dans un torchon propre et je venais m'installer à coté de lui. L'hématome était déjà en train de sortir sur son épaule mais par chance, elle ne semblait pas démise. "Ok ça va pas être agréable mais ça évitera au coup de sortir plus qu'il n'est déjà en train de le faire." J'appliquais la poche doucement, maintenant d'une main la poche froide et de l'autre, je tenais l'épaule de Stefan en place. J'évitais de trop penser au contact de mes doigts sur sa peau, et j'évitais aussi de croiser son regard. Je sentais mon pouls excessivement rapide, j'avais comme l'impression de suffoquer alors que je respirais très très bien. C'était la première fois que nous étions aussi proche et j'en ressentais un profond malaise. Si bien que, aussi inattendu que cela puisse paraitre, je ne prononçais pas un mot durant ces longues minutes où j'appliquais le froid. En le sentant tressaillir un moment, je retirais doucement la glace que je posais sur la table basse avant d'ouvrir le tube de crême. "Il ne t'as pas loupé..." dis-je simplement pour briser la glace -sans mauvais jeu de mot- j'appliquais doucement la pommade sur mes doigts et je commençais à masser doucement l'épaule de Stefan, m'appliquant pour ne pas lui faire mal. "Qu'est-ce que tu lui avais fait à cette brute pour qu'elle ne se mette en rogne comme ça ?" Je souriais légèrement en relevant enfin mon regard vers lui. C'était certainement la première fois que nous étions aussi proche sans nous crier dessus. C'était plutôt une bonne chose... même si je craignais que ça ne dure pas.




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Sujet: Re: Des retrouvailles...jamais une sans l'autre.   
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