New life ! I breathe again ! [RP Libre]

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NEW LIFE ! I BREATHE AGAIN !

RP LIBRE FT SEBASTIAN

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"Ce n'est pas parce qu'il ne peut pas t'aimer comme tu le voudrais, qu'il ne t'aimes pas de toute sa personne." Je lisais les lignes de ce roman récent sans forcément en comprendre tout l'intéret. Je l'avais trouvé dans la chambre de Lizzie. Je m'y étais introduit en douce pendant que Josie était sortie avec sa mère et j'avais pris soin d'observer les affaires de la douce blondinette. Ma petite witchy était toujours en Europe, je soupçonnais ses parents de l'éloigner volontairement de moi pour défaire l'influence que j'avais sur elle. Je dois avouer que cela m'amusais beaucoup. Si tôt Lizzie serait rentré, il ne faudrait à mon esprit tordu que quelques jours pour renouer ce lien si spécial entre elle et moi. En son absence, et étant donné que mon avenir au sein de la prestigieuse Salvatore School n'était pas encore très clair, j'avais décidé d'en apprendre plus sur elle au travers de ses lectures et ainsi je m'étais un peu à jour également. Le monde changeait si rapidement ! Le seul fait qui m'aide à ne pas être trop dépaysait été bien entendu le surnaturel. Aujourd'hui ou il y a 600 ans, peu de choses avaient évolué. C'était un monde toujours aussi cruel et jugeant où il fallait sans cesse se battre pour sa survie. Il est fou de penser qu'en étant immortel, il est plus difficile de survivre que lorsqu'on est un simple humain innocent. Immortalité ne rime pas avec tranquillité. Qu'on se le dise. Sur ce banc, dans le vieux carré français de la Nouvelle Orléans. J'apprenais à découvrir Lizzie à travers ce bouquin et je me familiarisais avec cette ville. Je souriais et riais à certains passage, cette auteure Anna Todd avait un réel sens de l'humour, enfin, selon moi. Je trouvais cette histoire tellement superficielle, sans réelle profondeur. Enfin, un peu moins lorsqu'il s'agissait du point de vue de ce Hardin, Tessa était elle si facile à cerner, si prévisible. Ennuyeuse à mourir. Je ne voyais pas bien ce qu'avait pu apprécier Lizzie dans ce genre de lecture mais j'imaginais que pour une ado, ce genre de roman était ce que nous pensions être m'aour parfait et véritable. Je refermais le bouquin en levant les yeux au ciel et me mit à observer les passants. Mmm toutes ces gorges à porter de canines... Dans mes folles années j'aurais aimé réaliser un carnage ! C'était si amusant de voir la terreur à la simple évocation de mon nom. Aujourd'hui, mes desseins avaient quelque peu changé. Je me levais pour arpenter les rues, flânant devant les boutiques, je m'arrêter pour prendre l'une de ces boissons chaudes à emporter. Ce gout m'avait parut étrange puis familier. Je trouvais néanmoins que de manière générale ce monde avait bien moins de saveur qu'il y a 600 ans. Tout paraissait si fade. Que se soit en terme gustatif ou de relations sociales. Tout semblait être à disposition, les gens n'avaient plus besoin de se battre pour obtenir certaines choses. Cette société consommatrice qui puait le fric me fascinais. Une guerre ou deux rendraient l'enjeux de la survie tellement plus palpitante. Je souriais néanmoins curieux de découvrir ce monde presque aussi barbant que mon cercueil. Je terminais mon café et le jetait dans une poubelle avant d'être bousculé par une jeune femme... délicieuse. En tout point. Je décidais de la prendre en filiature sur plusieurs mètres. Les effluves de son sang me parvenait. L'école m'avais bien entendu fournit leurs petites poches de bunnies mais... j'avais besoin du gout humain, de sa chaleur... Même si j'étais un impitoyable vampire sanguinaire, j'avais toujours eut un extrême contrôle de mes pulsions. Si je tuais ma victime c'est car je l'avais décidé, et non par accident. Au détours d'une ruelle, j'hypnotisais cette âme égarée pour venir planter mes canines avec une certaine sensualité dans sa gorge. M'abreuvant juste suffisament pour satisfaire mes besoins primaires. Dans un feulement, je léchais la plaie de la demoiselle en remettant ensuite son écharpe en place. Je l'hypnotisais et la laissais partir sans plus de mal. J'essuyais le coin de mes lèvres de mon pouce que je léchais ensuite. Que c'était bon d'être réveillé !

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New life ! I breathe again

“Ft. Sebastian et Sam.”

A

ujourd'hui, j'étais heureux. J'avais revu mon créateur il y avait quelques nuits de cela. Ce créateur que je ne pensais plus jamais revoir et qui m'avait manqué à un point que je n'aurais jamais pu concevoir moi-même. C'est qu'on s'y attache à ces petites bêtes-là. Plus sérieusement, j'étais sincèrement heureux que Klaus soit de retour, mais ce qui m'avait également amené à revenir, en dehors de la joie que me procurait son retour, c'était l'aide que je pourrais lui apporter face à la situation quelque peu "merdique" de la Nouvelle Orléans en ce moment, si vous me passez l'emploi de ce mot fort peu élégant. J'avais fait la promesse à Klaus, il y a bien longtemps de cela, d'être toujours présent pour lui peu importe ce qu'il pourrait se passer et j'avais tenu parole. Oh bien sûr nous nous sommes disputés parfois, j'ai même parfois crû que ma dernière heure était arrivée, mais je le considérais toujours comme un ami, un mentor et je serais toujours de son côté.

E

tant quelque peu remuant, je n'allais pas attendre chez moi le bon vouloir de Klaus, je ne me voyais pas attendre assis dans un fauteuil qu'il me donne un ordre, j'aimais prendre des initiatives et puis je connaissais bien la ville et j'aimais bien repasser par certains endroits de mon passé, comme l'hôpital par exemple, que de souvenirs dans cet endroit, j'en étais réellement nostalgique. Cela ne faisait qu'une vingtaine d'années que j'étais un vampire et je ne pouvais me permettre de faire une petite visite à l'hôpital aux yeux de tout le monde, le risque que je croise un ancien collègue était trop grand. Je me contentais donc de me promener sur les toits du bâtiment, c'était plus discret et un peu plus "hors de portée". La maison que j'avais habité avec ma famille était à présent vide et laissé à l'abandon, je ne savais pas où ma femme et mon fils avaient déménagé et clairement, je m'en moquais. J'avais réussi à récupérer quelques "ustensiles" de l'époque de ma vie où j'étais médecin et je m'adonnais donc parfois à ce qui a toujours été ma passion, l'étude du sang, des blessures infligées au corps humain. Je faisais mes expériences sur mes futurs "repas", mais comme je me devais d'être discret, je ne faisais que très peu d'expérience. Disons que je faisais durer plus longtemps ma victime. Je n'en avais fait qu'une depuis mon retour.

P

our l'heure, je me promenais tranquillement dans les rues, je ne recherchais rien de particulier, je me contentais de me fondre dans la foule. Ce n'était pas très compliqué. Je n'avais nul besoin de me nourrir pour le moment donc me teint n'était pas trop "cadavérique" et quand bien même...les gens à l'heure actuelle avaient parfois des looks quelque peu particuliers, si bien que se fondre dans la masse devenait de moins en moins difficile.

A

lors que je m'apprêtais à rentrer chez moi, je vis un de mes congénères. Il semblait néanmoins beaucoup plus âgé que moi, mais je ne l'avais encore jamais vu en ville. En même temps j'en avais été absent quelques temps. Suspicieux, je décidais de le suivre à distance pour voir ce qu'il allait faire. Il suivait lui-même quelqu'un. Un sourire se dessina sur mes lèvres tandis que je pensais à à la situation, moi suivant un vampire qui suivait une humaine....c'était assez amusant.

I

l s'arrêta enfin et je le regardais s'abreuver un peu de la jeune femme. Je restais adossé au mur d'une maison tandis que je le regardais l'hypnotiser. Une fois qu'il eut terminé et qu'il se léchait le pouce tout en regardant sa proie partir, je m'approchais de lui, un sourire en coin affiché sur le visage.

- Vous avez plutôt bon goût. Excusez-moi, je ne me suis pas présenté. Samuel...Samuel Lacroix. Vous êtes nouveau ici ?

️ nightgaunt

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RP LIBRE FT SEBASTIAN

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Cette journée était plutôt très agréable jusqu'à ce que je ne me fasse prendre la main dans le sac par un parfait inconnu. J'avais senti sa présence et je me doutais qu'il était un vampire, comme moi. Je me demandais ce qu'il me voulait et ne connaissant pas encore bien cette ville, je préférais rester sur mes gardes. Je me retournais alors vers l'homme en question et j'arquais un sourcil devant ses propos. Samuel Lacroix, voilà un nom qui ne me parlait absolument pas. Je m'approchais alors de lui en gardant mon air assuré, mon sourire en coin et je lui tendais la main en me présentant à mon tour. "Sebastian Storm... enchanté Monsieur Lacroix. Effectivement, je suis nouveau ici, je me familiarise avec la population. Je dois avouer que vos spécialités culinaires sont particulièrement... succulentes... exotiques... c'est agréable à goûter et regarder." Chassez le naturel il revient au galop. Je ne pouvais pas m'en empêcher bon sang. La seule avec qui je réussissais à être légèrement différent c'était avec la jeune, si jeune Lizzie. Douce et névrosée Lizzie envoyé loin de moi. Comme si un océan pouvait rompre ce lien tissé si habilement. Malgré les siècles desséchés je constatais à quel point les parents n'avaient pas vraiment évolué. Toujours à coté de la plaque. Oui j'avais quelque soucis à régler de ce coté là. Je serrais la main de mon interlocuteur, ce contact m'aidant à ne pas me perdre dans mes pensées. Lorsque la belle blonde me venais à l'esprit, j'avais tendance à perdre le fil rapidement. Ce n'était pas très prudent ! "Alors Monsieur Lacroix... j'imagine que vous êtes un habitué des lieux ? Je réside à l'école Salvatore pour le moment et je ne vous y ai jamais vu donc... pourquoi m'avoir suivi ?" Je voulais qu'il sache subtilement que j'avais remarqué son petit jeu. Je ne le comprenais pas pour autant... s'il n'était pas envoyé par Alaric ou bien Caroline alors... pourquoi m'avait il suivit ainsi ? Cette situation allait finir par me rendre parano. Pourquoi fallait il à tout prie que je fasse mes preuves ? Pour intégrer cette école ? Moi qui avait toujours eut soif de liberté ! Peut être parce que la peur de ce monde inconnu me vrillais le ventre et que cette blondie hantait mes pensées sans que je ne puisse m'en défaire. Oh les femmes, ultime talon d'achille des hommes. Nous pauvres créatures souhaitant faire croire au monde que nous le dominons. Alors que sans Elles. Nous ne serions rien.

code by bat'phanie

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“Ft. Sebastian et Sam.”

L

a situation actuelle à la Nouvelle Orléans n’était pas des plus heureuse, bien au contraire. De ce fait, chaque nouveau vampire que je croisais était un suspect à mes yeux. Je ne savais bien sûr pas si la situation actuelle était causé par un vampire, mais qu’il en soit l’auteur ou bien qu’il en soit un partisan, je me devais d’être sur mes gardes. Comme je le disais, j’aime prendre des initiatives. Elles ne sont pas forcément couronnées de succès, mais le plus important, c’est de participer. Je n’avais pas fait spécialement d’effort pour dissimuler ma présence aux yeux de ce nouveau congénère, lorsqu’il eut terminé de se nourrir, je me doutais qu’il avait ressenti ma présence, mais si j’avais voulu qu’il ne me repère pas, il y avait d’autres endroits où j’aurais pu me dissimuler sans qu’il sache que j’étais là. Avec un petit sourire, je lui serrais la main quand il me la tendit.

- Moi de même Monsieur Storm. Ah, vous trouvez vous aussi ? Il est vrai que la nourriture d’ici est assez….épicée, si je puis dire.

P

ersonnellement, j’avais un faible pour la « cuisine » française, mais la Nouvelle Orléans a longtemps été une colonie française, c’est sans doute pour cela que j’aime me nourrir ici, je ne sais pas. La question de ce Sebastian me tira un sourire en coin.

- Un habitué ? Oui, on peut dire cela, bien que je suis parti depuis un petit moment et de retour depuis quelques jours. Effectivement, je ne fréquente pas cet établissement, quant à ce qui m’a poussé à vous suivre et bien….simple curiosité de ma part. Je n’ai pas de mauvaises intentions envers vous, mais je ne vous ai moi-même jamais vu ici et je suis curieux, je veux savoir ce qui attire à la Nouvelle Orléans, moi je suis natif d’ici, pendant ma vie « humaine », j’ai vu le jour ici, mais vous….est-ce le cas ou bien vous êtes venu ici par...je ne sais pas goût pour la nouveauté ?

Q

uoi ? J’ai le droit de me renseigner, non ? Je ne faisais rien de mal. Bon, certes j’étais curieux, mais qui ne l’étais pas ?

- Si vous voulez, je peux même vous faire faire un petit tour de la ville, il y plusieurs coins sympathique qu’on ne connaît que lorsqu’on est là depuis plusieurs années.

️ nightgaunt

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Epicée ! C'était le terme exact qui m'échappais jusqu'alors. J'avais beau souhaiter faire tous les efforts du monde pour ce cher Mr Saltzman et Mme Forbes... Je resterai un vampire quoiqu'il en coûte. J'avais besoin de sang frais et non de vulgaire poche de sang comme ils le proposaient dans leur académie. Cependant, j'avais un excellent contrôle sur mon vampire. Si je faisais un massacre c'est que je l'avais souhaité. Les légendes sur Sebastian Storm sont toutes vraies. J'étais un pirate sanguinaire mais je savais aussi être civilisé. Je m'interrogeais alors sur cet homme qui m'avais suivi. Je me demandais s'il était envoyé par quelqu'un pour me surveiller... apparement pas. Je restais méfiant tout en gardant mon sourire détendu sur mes lèvres.

J'apprenais en peu de temps que l'homme était natif de la NO, apparement il était partit un long moment et revenait tout juste au bercail comme on dit. Je connaissais ça dans ma vie d'avant. J'avais passé bien plus de temps en mer que sur terre et... aussi dans un cercueil que vivant. Soit. Je dodelinais de la tête à sa question et haussait une épaule. "Et bien disons qu'il y a plusieurs siècles, j'étais de passage à la Nouvelle Orléans quand j'ai été... momifié par la femme que j'aimais... pour mon bien, bref longue histoire. Et après avoir pourri 600 ans dans les sous sol de la ville j'ai été miraculeusement sortit de mon sommeil forcé donc... on peut considéré que je suis un habitué au final... un habitant de l'ombre !"

J'eus un rire alors assez glauque. Je n'étais pas vraiment gêné de raconter cette histoire. Tant qu'on ne parlait pas de Cassandra et de sa mort atroce sous mes yeux. Je continuais de regarder mon interlocuteur, ma foi, je n'avais rien de vraiment mieux à faire alors, pourquoi pas.

"Pourquoi pas, allons y... ça me changera de la vision sous-terraine que j'ai de la ville !"

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