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Today, you will die or not | Jairo

Sujet: Today, you will die or not | Jairo   Mar 2 Juil - 1:53
Niklaus Mikaelson
The Mad Wolf ♛
Niklaus Mikaelson
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♞ Dans l'enténèbrement, je n'ai trouvé qu'un mausolée interne où la prose se rebelle pour épouser l'âme d'un solitaire.

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« Today, you will die or not »

       
L'indélicatesse d'un retour fracassant offrait mille explosions sur une terre, autrefois, choyée et tant convoitée. La nouvelle-Orléans était la naissance et la chute d'un roi impétueux vouant à accroître sa tyrannie dans le cœur de ses habitants. Un petit délice de pouvoir que je comptais reconquérir pour régner d'une main de fer dans l'antre de cette ville fantomatique où les âmes sondèrent un chemin harmonieux. Le crépuscule demeurait souverain pour une mort flatteuse d'un innocent se nichant au coin d'une ruelle ou dans les entrailles du manoir Mikaelson. Le voile éclatant de la lumière du jour revêtait son aura dangereuse pour assouvir son festin sur les hauteurs de la Nouvelle-Orléans. En effet, je vagabondais sur les toits à la recherche d'un massacre écœurant pour satisfaire ma soif sanguinaire. Je n'avais pas répété cette action de voyager dans les altitudes depuis un long moment bien que mon âme avait épousé la faucheuse. L'impression d'être un Peter Pan à la recherche d'enfants pour les recueillir dans un monde illusoire, ma conception était différente. Hommes, femmes, enfants restaient de maudits cafards grouillant dans un monde hostile où on devenait pleinement fou, par conséquent, ils étaient à éradiquer, aussi. Je brûlerais sans hésitation leur cœur peu importe leur ethnie si leur chemin emprunté n'était pas le mien. Aucune tolérance pour un pouvoir au sang prônant le toucher de la dynastie de ses terres. Alors que mon esprit fourbe divaguait de ses plus belles intentions envers ce monde, je suivais dans l'ombre une silhouette. Son corps avait l'air si minuscule comparable à une fourmi ou un pion d'échec que l'idée de l'aplatir s'immisçait de plus en plus.

Avec vivacité, j'employais ma force vampirique pour sonder le moment opportun de mettre à terre, ma proie :

« Tic, Tac, le temps des aiguilles devient ton pire ennemi » murmurais-je à moi-même. Un saut calculé ainsi qu'une chute maîtrisée s’amplifiaient pour une scène théâtrale exemplaire d'un moment d'hystérie.

Je ne portais aucune réflexion supplémentaire que les craquements des os de l'homme s'engouffraient dans le sol caillouteux. Un regard s'illuminant d'un sourire satisfait sur sa silhouette éclatée en plusieurs morceaux annonçait le commencement d'une belle brèche journalière. Je ramassais quelques membres pour viser la poubelle imitant un célèbre sport et un certain divertissement sur le moment. Hélas, je me lassais rapidement que mon corps s'envolait vers d'autres contrées. En effet, je rentrais de nouveau dans le bar que j'affectionnais particulièrement où mon accoutrement reniflait l'odeur du sang affichant des teintes rougeâtres foncées.

Je clamais fortement en levant les mains avec une innocence dans les traits de mon visage :  

« Travailler dans un abattoir à cochons n'est pas une réussite, je vous l'accorde. » scannant les visages déroutés de ma présence.

J'essuyais mes paumes ensanglantées - après avoir léché le bout de mes doigts pour savourer le sang frais - sur ma chemise blanche et secouais celle-ci mimant un signe de dégoût. Avais-je fait exprès de porter un vêtement clair ? Certainement. Avais-je le but d'impressionner ? Certainement pas, je laissais ma folie opérée.

Mes yeux bleu océan se déposeraient alors, sur un visage aux traits enfantin :

« Il est très tôt pour un gamin, dis moi. Une fugue, je présume ? Je comprends ou peut-être une ambition à assouvir ? On dit souvent que l'ambition appartient à ceux qui se lèvent tôt. » m'approchant du petit homme pour m'asseoir à sa table, en face de lui.

 
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« Des cendres de la haine, le destin d'un démon sous mes ailes ténébreuses fouettant l'invisibilité, j'inspire à l'incursion et à la diffamation ainsi qu'une folie frénétique. « Call me The Mad ». »


       
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