Oublier et recommencer ft Stefan Salvatore

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OUBLIER ET RECOMMENCER.

Sans le pardon de nos fautes et de celles de nos proches autant que de celles de nos ennemis, l'avenir n'a pas la moindre chance d'approcher l'idée du bonheur véritable, à jamais perdu parmi tant d'autres illusions. ft Stefan Salvatore

Il y avait un bruit de fond, c’était assourdissant et sa tête semblait lourde. Elle reposait sur quelque chose de dur et l’odeur autour de lui était nauséabonde. Alors que ses yeux s’ouvraient, tout semblait trouble et il devait certainement halluciner, mais la voix de Caroline raisonnait dans sa tête, comme si elle était entrain de le SERMONER comme elle avait souvent eu l’habitude de le faire avec certains, prête à jouer les donneuses de leçons quand elle en avait l’occasion. Dans un grognement qui était presque digne d’un soupire, il se redresser et constatait, autour de lui une salle sombre, pleine de table et de chaises en désordre. Devant lui, se trouvait un verre de BOURBON quasiment terminé, il ne restait qu’une simple goute dans le fond du verre. Il ne savait même pas quelle heure il était, mais il y avait quelques personnes prêtent à quitter les lieux et une, entrain de nettoyer des verres derrière un bar. Combien de verre avait-il bu pour en arriver à ce point ? Certainement bien plus que deux bouteilles. Alors qu’il se redressait de son siège et qu’il longea les tables pour gagner la sortie, il sentit comme une présence, comme si quelqu’un était en train de l’épier.

- C’est qu’il a un joli petit FESSIER dites-moi le BEAU-GOSSE, avait-il entendu venu d’une voix qui lui semblait lointaine. Ça serait un SACRILEGE de le laisser s’échapper.

Lorenzo avait alors stoppé sa marche et avait tourner le regard vers la dite personne, la seule dont il était certain c’est qu’aucune personne n’était vampire ici, juste de vulgaires humains ne se doutant surement pas de qui était, mais surtout de ce qu’il était. Alors il avait tourné le regard vers lui sans montrer sa face humaine, mais il lui dévoilait les veines gonflées sous ses yeux désormais assombrit avant de finalement révéler ses crocs dans un souffle menaçant. Le voyant maintenant sur la défensive, Lorenzo eu un malin plaisir à venir à lui en vitesse vampirique le bloquant alors contre son siège. Il était à moitié grimpé sur lui, ses pupilles vampiriques plongé dans les siennes.

- Le gibier ici, c’est toi et non moi, prononça-t-il sur un air menaçant. Alors prend garde à qui tu t’adresse de la sorte, la prochaine personne ne sera peut-être pas aussi compatissante que moi.

Le vampire se relevait avant d’exercer une pression sur son torse pour le faire rester assis. Puis il tourna les talons avant de finalement partir. Lorenzo savait pertinemment qu’il n’était pas le plus sanguin des vampires bien que même avec toutes son humanité il savait ne pas avoir de remords dans ses actes. Certainement qu’un autre vampire lui aurait BRISER la nuque pour encore moins que ça. Il avait fini par longer un long couloir qui le menait à un petit escalier qui semblait mener vers la rue, certainement que ce bar agissait ANTICONSTITUTIONNELLEMENT, loin de toute légalité. Mais Lorenzo n’en avait que faire. Il était loin de tout ça, il ne lui aurait fallut qu’un petit tour de passe-passe pour échapper à la police s’il y avait eu un réel problème. Il était entouré de restaurant et d’odeur de friture, il était bien loin du bon vivre de la Nouvelle-Orléans, autour de ses fast-foods proposants divers burger ou encore TACOS, ça lui aurait presque soulevé le cœur, tant il devait avoir encore en lui tous ses litres de bourbons. C’était surement l’un des POUVOIRS qui le dérangeait le plus, pouvoir sentir toutes ses odeurs de manière décuplée. Si, ça c’était réduit simplement aux bonnes odeurs, il aurait pu accepter mais par moment c’était réellement gênant.

Avançant désormais dans la rue, Lorenzo se retrouvait rapidement prit dans une foule bien trop réveillé à son goût. Certaines personnes semblaient vouloir se frayer un chemin et d’autres semblait faire la fête de manière déchaîné. Il était visible que les personnes présentent à cet endroit n’était pas que sous l’emprise de l’alcool et il était d’autant plus remarqué qu’ils étaient tous d’un campus universitaire, il lui semblait même se retrouver au milieu d’une soirée digne d’une fin de rite de passage venant tout droit d’une FRATERNITE. Demain aucun n’aurait plus aucun souvenir certainement. Le vampire n’eu pas de mal à trouver des brèches dans la foule pour sortir de ce premier troupeau d'humain. Et alors qu’il se retrouvait dans une foule moins similaire à un banc de THONS pris dans les filets des pêcheurs, il pu maintenant serpenter entre diverses personnes. Mais, très rapidement, de loin il pu distinguer une silhouette qui lui semblait si familière. Fronçant les sourcils il fit quelques pas de plus jusqu’à pouvoir deviner à qui était ce qui n’était qu’une ombre jusqu’à peu de temps prêt et il n’arrivait pas y croire dans les premières secondes. Comment avait-il pu oublier cette silhouette et le corps de cet homme. Celui qu’il avait déjà choisi de mépriser avant même de le connaître. Celui pour qui il n’avait jamais eu une once de reconnaissance et surtout celui qui lui avait ôter la vie.

Aujourd’hui il était vrai que de l’eau avait couler sous les ponts. Il ne pouvait pas lui en vouloir pour sa mort, en tout cas pas à celui plein d’humanité, mais c’était plus à celui qui n’habitait aucune lumière en lui. Et à cet instant il ne savait pas quel partit de lui était présente. Allait-il encore vouloir faire de lui un SACRIFICE qui serait plus un dommage collatéral ? Ou alors tout allait être différent ?

Lorenzo n’était pas surpris de le voir ici, si lui-même avait pu revenir pourquoi dont lui non plus ? Peut-être avaient-ils été tous les deux guider ici ? Mais une chose était certaine, Lorenzo ne pouvait pas faire demi-tour et jouer à l’autruche. Ce n’était pas non plus le moment de jouer les gros-dur et de vouloir FRAPPER d’entrée de jeu, sans savoir où il en était. Alors quand il le croisa sur le chemin, Lorenzo lui attrapa le poignet pour le stopper et alors le faire reculer pour pouvoir lui faire face.

- Stefan ? lui avait-il demandé dans une voix qui était presque incertaine.

Peu importait la situation dans laquelle on était, croiser une personne normalement morte était toujours étrange, même si on était nous même revenu d’entre les morts. Tout cela n’entrait pas dans l’ordre normal des choses et Lorenzo avait beau être un vampire il n’en avait pas pour autant perdu son esprit et son humanité qui l’amenait toujours à penser et réfléchir. C’était bien la seule chose qui restait dans la transition d’humain à vampire, la finalité des choses.

love.disaster

Toutes ces années à sombrer dans l'inconscience, où plutôt la mort totale, ne m'avaient pas apporté que du bon. Il est vrai que je ne pouvais pas nier que j'avais revu toutes les horreurs que j'avais commises auparavant, durant ma longue et interminable vie de vampire.
Les souvenirs m'étaient revenus petit à petit, à mesure que le temps passait et cela surtout grâce à mon frère Damon. Il avait passé des soirées entières à me montrer des photos de lui et moi durant l'ancien temps, et à me raconter de longues et interminables histoires à mon sujet. Au début, je n'osait pas y croire, mais à mesure qu'il insistait et surtout qu'il paraissait sincère, je ne pu que le croire.

Même si cela était douloureux pour moi à encaisser, j'avais visiblement fait énormément souffrir Damon, alors que je pensais faire ce qui était le mieux pour lui et pour les autres. Pour faire simple, j'avais en vérité tout gâcher. Je ne saurais quoi dire pour lui prouver à quel point j'en était profondément désolé. Cela m'attristait, moi aussi.

Ce malaise dans la forêt n'avait été que du faux, en fait je venait de ressusciter, mais cependant un mystère restait à éclaircir : comment avait-il été possible que je revienne à la vie alors que Damon avait certainement dû essayé de trouver un moyen de le faire, et que de longues années après, je soit revenu à la vie ? Il devait y avoir eu quelque chose de surnaturel à l'origine de cela, restait à savoir ce que c'était. Surtout que le fait que j'aie perdu la mémoire n'était pas non plus négligeable, enfin seulement si on ne prenait pas en compte le fait que je reviens d'entre les morts après de longues années dans le monde des morts, et certainement en enfer au vu des horreurs que j'avais commises durant mes années vampiriques, où plus précisément mes années "Boucher".

Après la baffe monumentale que Damon m'avait mise, voilà que quelqu'un d'autre qui semblait très certainement me connaître venait lui aussi à la charge. Lui aussi semblait mécontent. Il venait me prendre le poignet, et m'interpeller.
Je lui lançais donc d'une voix très peu sûre de moi :

"Hum.. Hé bien au vu des nombreuses soirées passées avec mon cher frère Damon, je crois que je m'appelle en effet Stefan. Cependant je ne sais pas qui vous êtes, alors pourriez-vous d'abord commencer par me lâcher ? Je ne vais pas m'enfuir, enfin si vous comptez parler calmement et non pas à être aussi violent que l'a fait mon frère lorsqu'il m'a interpellé sur la grande route alors que j'étais persuadé de m'être réveillé après un long moment d'inconscience d'une chute dans les bois après un footing. Je ne sais pas pourquoi je vous dis ça d'ailleurs."

Dis-je en roulant des yeux et en essayant de me dégager de l'emprise de cet homme, qui paraissait empli de force quant à lui, alors que moi je n'avais pratiquement pas repris de force, ce qui était d'ailleurs très bizarre puisqu'un simple malaise aurait dû être facilement récupérable après un bon petit somme. Enfin bon, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi je dis ça, puisque visiblement il semblait que c'était plus compliqué que ça, et que je reviens d'entre les morts.

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OUBLIER ET RECOMMENCER.

Sans le pardon de nos fautes et de celles de nos proches autant que de celles de nos ennemis, l'avenir n'a pas la moindre chance d'approcher l'idée du bonheur véritable, à jamais perdu parmi tant d'autres illusions. ft Stefan Salvatore

Il fut dès le début surpris par sa façon de réagir. Son manque d’assurance lui faisait penser qu’il c’était peut-être trompé de personne et que par le plus grand des miracles il était potentiellement tombé sur Tom qui aurait très bien pu revenir à la vie, mais certainement qu’il aurait quant à lui réagit autrement et aurait potentiellement voulu prendre la fuite ou proférer des menaces remplient de peur. Mais très vite, ses paroles lui avait fait comprendre que c’était bel et bien lui. Sans pour autant lâcher l’emprise qu’il avait sur lui, il l’écoutait et à son sens tout sonnait faux. Essayait-il de se jouer de lui pour cette fois si peut être le tuer en son âme et conscience ? Toutes les hypothèses qui se bâtaient dans son esprit finissaient par trouver un point de chute avant de s’éteindre. Rien ne semblait cohérent dans son discours et il aurait encore moins cru voir Stefan s’ouvrir à lui ainsi.

Son mépris à l’égard de Stefan n’avait jamais su se taire. Il n’avait jamais pu stopper cette sorte de haine qu’il avait en lui à son égard. Enzo ne comprenait pas comment il pouvait mériter l’amour de son frère, mais lui de son côté n’avait jamais connu l’esprit de famille ou en tout cas celui qui se forgeait avec les années dans les liens du sang. Alors peut-être que son ignorance renforçait son sentiment à son égard, peut-être que au plus profond de lui tout cela n’était que pure jalousie, car Stefan partageait avec Damon un lien inéluctable. Stefan avait au fond tout se que Enzo avait toujours fantasmé, l’idée d’avoir un grand frère et il avait eu ses parents, il avait reçu l’amour de Lily de plus, Stefan représentait une barrière finalement pour le vampire, un obstacle à la vie qu’il aurait voulu avoir. Au fil de ses pensées, le regard du St-John s’était assombrit et il ne pu réprimer un petit rire nerveux.

- Donc tu ne te souviens plus de qui tu es ? Et c’est ton frère qui… « t’aide » à te souvenir ? demandait-il de manière rhétorique.

C’était une manière facile de revenir en se lavant de tout pêché. Il n’arrivait pas à cerner Stefan, encore moins à comprendre qui il était réellement. Les trait du visage d’Enzo commençait à se tendre et se froncer. Mais il allait peut-être devoir lui donner le bénéfice du doute. Un nouveau duel commençait en lui : Soit effectivement le lâcher et potentiellement tracer sa route ou bien insister et ne voir que le côté fourbe du Stefan qui lui avait arraché le cœur. Mais il semblait qu’il ne lui ai pas fait mention de cette partie de sa vie. De leur querelle. Enzo savait pertinemment que ce n’était pas son rôle. L’envie ne lui manquait pas, mais il n’était pas la personne la mieux placer pour lui faire savoir qui il est réellement. Peut être allait-il ainsi pouvoir retrouver Damon et inversement. Alors après un rapide sourire en coin il lâcha son poignet.

Mais Enzo préférait tout de même le mettre en garde, il valait mieux pour Stefan, qu’il sache qui il était. Le brun ne permettrait pas à Stefan de se souvenir et ainsi recommencer à blesser ceux qui l’entoure même si c’était involontaire. Il avait connu l’histoire de Damon et ensuite il avait pu voir Caroline plus que blesser et il connaissait aussi d’autres histoires parlant des miracles destructeurs de Stefan. Alors il était venu finalement tapoter le col de sa veste comme s’il voulait en retirer la poussière avant de venir saisir son épaule pour le rapprocher de lui.

- Je ne te laisserais pas recommencer comme avant Stefan. Lui disait il dans un murmure prêt de son oreille. Sache juste que des fois, il vaut mieux oublier que ce souvenir. C’est des fois plus douloureux qu’une partie de joie. Quand on se rend compte de la douleur qui surplombe notre passé on préfère à cet instant ne pas avoir eu à se rappeler, continuait-il. A toi de voir : Se reconstruire ou jouer avec le feu ?

De son côté Lorenzo, savait pertinemment ce qu’il ferait à la place de Stefan, dans la mesure où il ne souvenait réellement plus, il aurait certainement préféré tout reconstruire quitte à passer à côté de certaines choses fabuleuses de sa vie. Mais on ne perd pas son identité à ce point là sans raison, c’était peut être pour lui une réelle seconde chance d’enfin se connaître et prendre le bon chemin.

love.disaster

Non mais j'avais vraiment l'impression d'halluciner : on ne se connaissait pas lui et moi et j'en était certain, et il se permettait de me tutoyer tranquillement. La politesse devait avoir disparu, il fallait bien croire. J'avais réussi à me souvenir de comment je m'appelais, mais jusqu'au point de me souvenir de l'homme qui se tenait en face de moi, certainement pas. J'avais encore bien trop de choses qui m'étaient encore totalement inconnues. Mon frère m'avait aidé à me souvenir de certaines choses certes, mais il n'avait certainement pas dû prendre le temps de passer par le chapitre qui concernait cet homme. Je ne lui en voulais pas, il passait énormément de temps à tenter que je me souvienne de tout, mais j'avouais souffrir énormément de tout ce qu'il me réapprenait, de tout ce que j'avais fait.

Soudain, j'eu un gros flash et je fit un énorme bond, les yeux écarquillés. Plein de souvenirs désagréables me revenaient en tête, notamment celui où je revoyait l'homme, présentement en face de moi : je revoyais le meurtre que j'avais commis, et d'un coup quelque chose d'étrange -le mot était faible pour décrire la situation-, se produisit : je me retrouvait à terre, étouffant, les yeux écarquillés, la gorge nouée, tellement nouée que toute respiration en vint à se couper de façon instantanée : j'étouffais, clairement. Pourtant, ce n'était pas l'homme en face de moi, cela me donnait l'impression que c'était le bon dieu qui avait décidé de me faire revoir tout ce que j'avais commis à l'égard de cet homme, que je l'avais tué, sans l'ombre d'un regret. Je restait au sol, les mains tremblantes, la respiration presque totalement coupée, le visage commençant à devenir de façon très rapide d'un blanc immaculé. Je commençais ensuite à tousser, puis du sang s'échappa de ma bouche. Tout ce que je pouvais faire c'était tenter de respirer, même si c'était impossible. Je pouvais encore moins parler. Dans les flashs que j'avait actuellement, j'avais pu constater que j'avais tué l'homme, et je me souvenais à présent qu'il s'appelait Enzo, Lorenzo précisément. St John... oui, c'était ça. Tous les souvenirs atroces me revenaient et, aussi désagréable et insupportable que cela soit, ils étaient tous horribles : je revoyait tous ceux que j'avaient tués, sans l'ombre d'une hésitation, sans l'ombre d'un regret. J'avais arraché le cœur d'Enzo, je l'avais tué. Et ensuite j'avais voulu tuer Elena, qui était plongée dans un coma profond, et qui ne reviendrait pas tant que Bonnie n'aurait pas poussé son dernier souffle, mais j'étais tombée sur celle qui avait volé le cœur d'Enzo, et elle m'avait injecté le remède, je m'en souvenais maintenant.

"Qu'est-ce que... Tu t'appelles... Enzo... Tu es... Je t'ai tué... Mais ne t'en fais pas... Je mourrais bien assez... vite... Tu auras... ta satisfaction... Mais sache... que je n'ai... jamais voulu... te tuer... je ne contrôlait... pas mes émotions..."

J'étais incontestablement à bout de souffle, et mon visage blanchissait de plus en plus. J'étais à quatre pattes sur le sol, sans pouvoir reprendre ma respiration. Mais maintenant que j'avais repris mes émotions, je savais bien que je payerai pour toutes les horreurs que j'avaient commises, malgré que je ne les faisait pas de mon plein gré, au fond de moi. C'était seulement parce que je n'avais plus aucune ombre, aucune trace d'émotions lorsque j'avais brisé toutes ses vies, certaines innocentes, et d'autres non. Dans tous les cas j'allais passer une éternité de malheur comme me l'avait dit des centaines de fois mon cher frère Damon. Alors que je meures maintenant ne changera rien, j'étais mort de nombreuses fois et pourtant mon frère avait toujours eu la fâcheuse tendance à me ramener à la vie par tous les moyens possibles et inimaginables, alors qu'il s'obstinais à me dire qu'il me haïssait.

"Je... sais... je mérite... ce qu'il m'arrive... et toi tu rigolera bien... lorsque je serais mort... ne t'en fais pas... j'aurai la sentence que je mérite... ce ne sera pas long... encore quelques minutes... maintenant que je suis humain... ce sera plus simple pour toi... alors ne fais rien... laisse-moi... bientôt ce sera fini... bientôt tu auras enfin ce que tu souhaites depuis que je t'ai tué... ta revanche... ma mort... et si tu veux... tu peux même accélérer les choses... je sais ce que j'ai fait... j'ai tout revu... si je pouvais... j'aurai tuée Sybil... je n'aurai pas eu à éteindre mes émotions... j'ai voulu... sauver Damon... pour qu'il passe sa vie avec Elena... mais... en abandonnant mes émotions... j'ai voulu te tuer... parce que tu aidais Bonnie à protéger Elena... je voulais la tuer... je voulais faire brûler Mystic Falls..."